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Son Prince lui décocha un de ses sourires dont il avait le secret. Son sourire en coin. Un sourire à tomber par terre. Puis il rampa au-dessus d'elle, à quatre pattes, avec l'agilité d'un fauve.

Cristalle ne fit pas un mouvement, toujours sur les coudes, elle le regarda venir à elle, jusqu'à ce que leurs visages ne soient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Dieu, qu'il était sexy. Elle allait avoir un orgasme sur place, s'il continuait ce petit jeu. Le sentir au-dessus d'elle, son corps si viril sur le point de la toucher, sa chaleur éveillant chaque parcelle de sa peau. Jamais elle n'avait voulu mais maintenant maintenant comment refuser ?

-Tu ne veux pas que je te mette au lit, trésor ?

-Hum.. .d'accord, mais je veux dormir.

Dimitri la dévisagea, le regard chargé de désir.

-Comme tu veux, mon poussin.

-Je ne suis pas ton poussin, résista-t-elle.

Le Prince haussa un sourcil plein de défi et se renversa, roulant sur le flanc. D'une main puissante, il la prit à la taille et attira son corps contre le sien tout en lui passant son autre main sous la nuque pour l'emprisonner dans ses bras.

-Oh si, tu es mon poussin, mon adorable petit poussin, la câlina-t-il de la voix qu'on prendrait pour parler à un enfant.

-Arrête ! protesta-t-elle, radieuse pourtant.

Dimitri glissa une main dans les cheveux de Cristalle et releva son visage vers lui.

Elle avait capitulé. Il lui embrassa doucement le front, le bout du nez puis la joue tout près de la bouche et laissa ses lèvres ainsi, pressées contre son visage.

Dans l'odeur et dans la chaleur de son Prince, elle eut soudain envie de pleurer.

Maintenant seulement, elle apprenait l'amour. Comme une douleur dont on se souvient sans l'avoir jamais connue, comme le regret de ce que l'on a jamais perdu.

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Lui, s'enfonçant en elle, peau contre peau, front contre front. Une vague de chaleur la submerge encore au souvenir de leur sueur, de leur halètement de bête Ses ongles à elle labourant le dos aux muscles bandés, ses dents à lui mordillant la chair tendre du cou. Un soupir, un instant suspendu, et sa main glisse du dos pour se crisper sur les draps humides.

Cristalle se cambre, transpercée par l'onde de jouissance, et elle retombe, morte, tandis que le Prince s'effondre sur elle.

Anéantis, corps contre corps, ils ne bougent plus et elle voudrait rester morte avec lui pour toujours. Mais lentement, dans l'atmosphère moite de la chambre, un souffle d'air passe et les muscles de Dimitri frémissent. Doucement, il ramène ses bras sous elle. Sur l'oreiller, les cheveux de Cristalle étalés comme un halo de soie et de lumière reprennent vie. Sa tête se soulève et elle tend ses lèvres, il les reprend pour un baiser d'une lenteur torride. Fermement, les mains puissantes du Prince remontent le long de ses bras frêles. Il s'arrête aux poignets trop fragiles qu 'il enserre. Elle gémit, il la regarde - ses yeux verts ; abîmes sombres où brûlent les flammes. Un moment d'attente. Ses mains libèrent ses poignets et la caressent jusqu'à ce que leurs doigts s'entrecroisent. Elle s'arque à sa rencontre pour qu'il la possède à nouveau, dans une danse à laquelle seule l'aube aura mis fin.

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Ouais, je suis au courant, bâilla Dimitri, c'est même moi qui l'ai fait attaquer. Je t'aurais volontiers prévenue grâce à ce miroir magique, mais tu m'as toujours dit de faire attention aux heures auxquelles je te parle afin qu'on ne nous surprenne pas, et comme je suis un garçon très obéissant... -Toi ! C'est toi qui as commandité l'attaque ! Tu as perdu l'esprit. A cause de toi, Cristalle va enfin connaître sa véritable identité, prendre possession des pouvoirs qui lui reviennent et être surveillée jour et nuit par les filles. Cela aurait été bien plus simple de la tuer tant qu'elle se croyait humaine ! protesta la femme à travers le miroir.

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L'inconnu se dressait devant elle, dans l'intimité de la rue. Les corps continuaient à brûler vif et les flammes semblaient rayonner sur son visage froid. Cristalle fut frappée par la découpe sauvage de ses traits, par son regard sombre et d'une profondeur d'abîme.

-Dis bonsoir au Prince Dimitri, ton sauveur et futur assassin, plastronna l'homme.

Elle se figea, la gorge nouée. Depuis qu'elle était dans la secte, le nom de Dimitri hantait ses pires cauchemars.

Elle le regarda s'approcher, pas à pas, le bruit des Ses chaussures résonnant sur le sol. Elle déglutit avec difficulté, submergée par un accès incontrôlable d'angoisse. Le Prince Sombre s'arrêta à quelques centimètres d'elle. Autour d'eux, le monde semblait immobile.

Cristalle leva les yeux vers lui.

Il plongea en elle son regard dévorant et plus rien d'autres n'exista.

Dimitri lui tourna autour. Un lion autour de sa proie. Enfin, il la tenait. Impuissante, terrorisée. Vingt-deux ans d'attente pour en arriver là. Vingt-deux ans à fantasmer sur cette rencontre. Une simple fille qu'il allait détruire tel un jouet.

D'une main ferme, il saisit le poignard coincé contre ses reins par la ceinture de cuir de son pantalon et effleura les cheveux d'or de la pointe, percevant la nuque si frêle sous la lame. Cristalle se contentait de trembler, attendant la défaite sans résistance. Il poursuivit sa marche, faisant glisser le métal dans la chevelure d'ange et toucha enfin la peau douce du cou. Elle ferma les yeux, une larme roula sur sa joue.

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Et j'ai trouvé le moyen de la piéger. J'ai aboli pour elle les barrières magiques qui empêchent les Damnés de me localiser. Elle finira par s'en rendre compte et venir à moi. Elle sera enfin isolée et sur mon terrain. Je la briserai.

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L'adorable enfant, râla Dimitri, sans cesser de promener ses mains sur les courbes de la statue. Il regarda Asia, les lèvres entrouvertes. Sa main s'était arrêtée à la taille de la statue, d'un geste violent et soudain il la frappa. L'effigie vola en éclat sur le sol et se brisa. Le Prince sourit. Un sourire cruel et diabolique. Il s'avança vers la jeune femme.

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je la trouverai seul. Elle est à moi. A moi. Sa mort m'appartient. Et quand je l'aurai, je l'anéantirai et j'enverrai sa chair suppliciée aux Chevalières. Je suis certain que ma chère Glory ne restera pas de marbre. Elle aime ça aussi, le sexe et la mort. La violence est une source de plaisir, ajouta-t-il en se léchant les lèvres. Les femmes le savent, n'est-ce pas, Asia ? Les faibles n'attendent que ça. La domination est une jouissance, la souffrance un nectar. J'ai bu le Mal jusqu'à la lie et je tendrai ma coupe empoisonnée au Tout Puissant. Sa grandeur m'a trop longtemps tenu en échec. Mais la puissance des ténèbres le touchera par son enfant.

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Et les hommes ? La précieuse fille du Tout Puissant est-elle désirable ? la questionna-t-il tout en caressant le sein de la statue. - Elle est différente, mais charmante, affirma l'esclave pour qui cette petite scène devint subitement limpide. Vos hommes de mains voulaient en abuser. - Ah oui ? susurra le monstre en retroussant sauvagement la lèvre supérieure. Je les aurais étripés de mes propres mains s'ils avaient osé. La violer, sans moi ! Si elle est belle, je tuerais quiconque m'empêchera de contempler sa dégradation.

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Cristalle est jeune, très jeune. Comme vous le vouliez, j'ai suivi Glory. Grâce aux immenses pouvoirs dont vous avez eu la bonté de me faire don, je suis arrivée à retrouver la fille du Tout Puissant, je suis la seule de vos fidèles qui y soit parvenue, et... - Je sais tout ça et je perds patience, l'interrompit Dimitri d'un geste impérieux de la main. - Oui Maître, pardonnez-moi, je pensais que c'était important. -Ne pense pas. -Oui, Maître. La fille du Tout Puissant... Oh, c'est une adolescente. Très humaine, mais jolie. Perdue, je crois. Elle semble extrêmement seule.

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Bruxelles

Dans l’appartement miteux du jeune homme, les effluves d’encens, qui s’élevaient en minces volutes, ne parvenaient pas tout à fait à couvrir une vague odeur de moisi. Par terre, sur le linoléum sale, traînaient les restes épars de la soirée. Une bouteille de mauvais vin aux trois quarts vide, un bout de pizza, un joint à demi consumé dans le cendrier plein de mégots froids.

Mais à cette heure tardive, le jeune homme ne se préoccupait plus du décor. Etendu dans son lit aux draps imprégnés d’une saveur moite de transpiration, il était en train de baiser la fille la plus bandante qu’il ait jamais eue. Assise sur lui, Cristalle arrêta un instant ses mouvements pour lui effleurer le torse de ses mains frêles. Il voulut saisir son regard mais elle l’évita soigneusement. Ce n’était que du sexe, elle ne voulait rien partager avec lui, juste s’envoyer en l’air. Et ça lui convenait parfaitement. De ses mains froides, il malaxa les seins crémeux et pleins de sa maîtresse puis descendit le long de la peau pâle et soyeuse et saisit sa taille souple pour la faire bouger encore.

Avec un léger gémissement, Cristalle se remit à onduler doucement, faisant presque sortir complètement son partenaire d’elle à chacun de ses soulèvements de bassin. Putain, elle est trop bonne… Il haleta, les yeux fermés, la bouche ouverte, dans une expression crue et obscène. La jeune fille laissa sa tête rouler sur ses épaules fragiles faisant danser sa chevelure blond d’or et accéléra ses ondulations, le prenant en elle plus profondément. Elle lui arracha des râles de plaisir et un éclair de satisfaction passa dans ses yeux d’un bleu profond. Peut-être que son amant de passage la sautait mais elle le dominait en quelque sorte.

Le contrôle sexuel qu’elle exerçait lui permettait d’oublier qu’elle couchait avec un type médiocre et inconnu qui ne l’aimait pas. Cristalle serra sa verge palpitante dans son intimité étroite et le sentit perdre pied. Il attrapa ses petites fesses rondes et fermes et fit en elle des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus brefs. Elle se laissa faire, désabusée. Il la prenait comme un lapin, cherchant son plaisir sans s’inquiéter de l’orgasme qu’elle n’aurait pas.

Il jouit bruyamment, éjaculant dans sa féminité de la même manière qu’il l’aurait fait avec une poupée gonflable. Dégoûtée, elle attendit à peine quelques secondes qu’il recouvre ses esprits avant de sauter souplement du lit.

-Tu te casses déjà ? lui demanda-t-il d’une voix dépassionnée en la voyant se rhabiller.

Cristalle reboutonna son chemisier et lui lança un regard digne, cachant sa détresse.

-Exactement, je rentre chez moi.

Il haussa les épaules quand elle claqua la porte de son appartement.

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