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Liste des extraits

« Le royaume de Sauron est fini ! dit Gandalf. Le Porteur de l'Anneau a accompli sa Quête. »

Et comme les Capitaines contemplaient au sud le Pays de Mordor, il leur sembla que, noire sur le voile de nuages, s'élevait une ombre, impénétrable, couronnée d'éclairs, qui remplit tout le ciel.

Elle se dressa, énorme, sur le monde et étendit vers eux une vaste et menaçante main, terrible mais impuissante ; car, au moment où elle se penchait sur eux, un grand vent la saisit, tout fut emporté et disparut ; et un silence tomba.

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« M'empêcher, moi ? Pauvre fou. Aucun homme vivant ne le peut ! »

Merry entendit alors de tous les sons à cette heure le plus étrange. Il semblait que Dernhelm riait, et la voix claire était comme le tintement de l'acier.

« Mais je ne suis pas un homme vivant ! C'est une femme que tu vois. Je suis Éowyn, la fille d'Éomund. »

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Je ne dirai pas : ne pleurez pas, car toutes les larmes ne sont pas un mal.

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" Debout, debout, Cavaliers du Rohan !

Des événement terribles s'annocent ; feux et massacres

La lance sera brisé, le bouclier volera en éclat .

Une journéé de l'épéé, une journéé rouge, avant que le soleil se léve.

A la victoire ou a la ruine du monde ! "

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"Rappelons-nous qu'un traître peut se trahir lui-même et faire un bien qu'il n'avait pas en vue."

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Puis soudain Merry le sentit enfin, sans aucun doute : un changement. Le vent soufflait sur son visage ! La lumière entrenuisait. Loin, très loin dans le Sud, des nuages se voyaient faiblement, formes grises reculées qui s'élevaient en volutes et dérivaient : le matin s'étendaient au delà.

Mais au meme moment, il y eut un éclair, comme si la foudre avait jailli de la terre sous la Cité. Durant une seconde fracassante, elle se dressa aveuglante au loin en noir et blanc, avec sa plus haute tour semblable à une aiguille scintillante; puis comme l'obsurite se refermait, vint roulant par dessus les champs, un grand grondement.

À ce bruit, la forme courbée du roi se redressa brusquement comme par l'effet d'un ressort. Il parut de nouveau grand et fier; et, debout sur ses étriers, il cria d'une voix forte, si claire qu'aucun de ceux qui étaient la n'en avaient jamais entendu de pareille chez un mortel.

Debout, debout Cavaliers de Theoden !

Des événement terribles s'annoncent : feux et massacres !

La lance sera secouée, le bouclier volera en éclats,

Une journée de l'épée, une journée rouge, avant que le soleil ne se

lève !

Au galop maintenant, au galop ! À Gondor !

Là dessus, il saisit un grand cor des mains de Guthlaf son porte-étendards, et il lança une telle sonnerie que le cor se rompit. Et aussitôt tous les cors de l'armée furent élevés à l'unisson et la sonnerie de cors de Rohan en cette heure fut comme une tempête sur la plaine et le tonnerre dans les montagnes.

Au galop maintenant, au galop ! À Gondor !

Le roi cria soudain un ordre à Nivacrin, et le cheval bondit en avant. Derrière Theoden, son étendard flottait au vent : un cheval blanc sur un champ vert ; mais il le distançait. Derrière lui, les chevaliers de sa maison galopaient dans un bruit de tonnerre, mais il était toujours en avant. Eomer chevauchait là, la queue de cheval de son casque flottant avec la vitesse, et le front de la première eored mugissait comme les flots déferlant sur la grève; mais Theoden ne pouvait être gagné de vitesse. Il paraissait emporté par la folie, ou la fureur de bataille de ses pères courait comme un nouveau feu dans ses veines, et il était porté par Nivacrin comme un dieu jadis, voir comme Oromë le Grand à la bataille de Valar, quand le monde était jeune. Son bouclier d'or, découvert, brillait telle une image du soleil, et l'herbe flamboyait de vert autour des pieds blancs de son coursier. Car le matin se levait, le matin et un vent venu de la mer; les ténèbres se dispersèrent ; les hommes de Mordor gémirent, et la terreur s'empara d'eux; ils s'enfuirent, et moururent, et les sabots de la colère passèrent sur eux. Alors toute l'armée de Rohan éclata en chants; et les hommes chantaient tout en massacrant, car la joie de bataille était sur eux, et le son de leur chant, qui était beau et terrible, parvint jusqu'à la Cité.

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- Je ne souhaite pas jouer au devinettes. Parlez plus clairement !

- Eh bien, si vous y tenez, Madame, dit-il: vous ne partez pas, parce que seul votre frère vous a appelée, et contempler le Seigner Aragorn, l'héritier d'Elendil, dans son triomphe ne vous apporterait à présent aucune joie. Ou parce que je n'y vais pas et que vous désirez encore être auprés de moi. Peut-être aussi pour les deux raisons à la fois et parce que vous-même ne pouvez choisir entre elles. Ne m'aimez-vous pas, Eowyn, ou ne le voulez vous pas?

- Je souhaiterais être aimée d'un autre, répondit-elle. Mais je ne désire la pitié d'aucun homme.

- Cela, je le sais, dit-il. vous désirez l'amour du Seigneur Aragorn. Parce qu'il était haut et puissant, et que vous désiriez avoir renom et gloire et être élevée bien au dessus des êtres mesquins qui rampent sur la terre. Et il vous paraissait admirable comme un grand capitaine à un jeune soldat. Car c'en est un, seigneur parmi les hommes, le plus grand qui soit maintenant. Mais quand il ne vous donna que compréhension et compassion, vous ne désirâtes plus rien qu'une mort vaillante au combat. Regardez-moi Eowyn!

Et Eowyn regarda Faramir, longuement et fermement et Faramir dit:

- Ne méprisez pas la compassion qui est le don d'un coeur doux, Eowyn! Mais je ne vous offre pas ma compassion. Car vous êtes une grande et vaillante dame, et vous avez vous-même acquis un renom qui ne tombera pas dans l'oubli; et vous êtes une dame d'une beauté que ne sauraient même dépeindre les mots de la langue elfique. Et je vous aime. J'ai eu pitié de votre chagrin. Mais à présent, seriez vous exempte de toute peine, de toute crainte et de toute privation, seriez-vous l'heureuse Reine de Gondor, je vous aimerais encore. Ne m'aimez vous pas Eowyn?

Alors, le coeur d'Eowyn changea en bien enfin comprit-elle. Et soudain son hiver passa et le Soleil brilla sur elle.

- Je me tiens dans Minas Anor, la Tour du Soleil, dit-elle; et voila que l'ombre est partie! Je ne serai plus une vierge guerriere, je ne le disputerai plus aux grands Cavaliers, et je ne trouverai plus la joie dans les seuls chants de massacres. Je serai guérisseuse, et j'aimerai tout ce qui pousse et n'est pas stérile. (Et elle regarda de nouveau Faramir). Je ne désire plus être reine dit-elle.

Faramir eut alors un rire joyeux.

- Voilà qui est bien, dit-il car je ne suis pas Roi. J'épouserai pourtant la Blanche Dame de Rohan, si telle est sa volonté. Et si elle veut alors traversons le Fleuve pour demeurer, en des jours plus heureux, dans la belle Ithilien, où nous ferons un jardin. Toutes choses pousseront là avec joie, si la Dame Blanche y vient.

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p. 53

Aragorn : "[...] Et là, je pense, nous entendrons des nouvelles de guerre, et les Cavaliers de Rohan descendront sur Minas Tirith. Quant à moi et à ceux qui m'accompagneront...

- Moi, pour commencer ! s'écria Legolas.

-Et Gimli avec lui ! dit le Nain. "

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Le roi acceuillit alors ses hôtes, et ils mirent pied à terre; et Elrond rendit le sceptre et mit la main de sa fille dans celle du roi; ils montèrent ensemble à la Cité Haute, et toutes les étoiles fleurirent dans le ciel. Aragorn, Roi Elessar, épousa Arwen Undomiel dans la Cité des Rois le jour du solstice d'été, et l'histoire de leurs longues peines ce trouva achevée.

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Il s’approcha néanmoins, et il vit Aragorn s’agenouiller, tandis qu’Elladan élevait les deux torches. Devant lui se trouvaient les ossements d’un homme de grande stature. Il avait été revêtu de mailles, et son harnois était encore intact, car l’air de la caverne était aussi sec que la poussière, et son haubert était doré. Sa ceinture était d’or et de grenats, et le casque qui recouvrait son crâne, face contre terre, était enrichi d’or. Il était tombé près du mur opposé de la caverne, comme on pouvait maintenant le voir, et devant lui se trouvait une porte de pierre solidement assujettie : les os de ses doigts étaient encore agrippés aux fentes. Une épée ébréchée et brisée gisait à son côté comme s’il avait voulu taillader le roc dans son ultime désespoir

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