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- Vous vous rappelez ce morceau de lapin, Monsieur Frodon? dit-il. Et notre endroit sous le talus chaud au pays du Capitaine Faramir, le jour où j'ai vu un oliphant?

- Non, je le crains, Sam, dit Frodon. Du moins, je sais que ces choses se sont passées, mais je ne les revois pas. Il ne me reste aucun goût de nourriture, aucune sensation d'eau, aucun son de vent, ni souvenir d'arbres, d'herbes ou de fleurs, aucune image de la lune ou d'étoiles. Je suis nu dans les ténèbres, Sam, et il n'y a aucun voile entre moi et la roue de feu. Je commence à la voir même de mes yeux éveillés, et tout le reste disparaît.

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« Le royaume de Sauron est fini ! dit Gandalf. Le Porteur de l'Anneau a accompli sa Quête. »

Et comme les Capitaines contemplaient au sud le Pays de Mordor, il leur sembla que, noire sur le voile de nuages, s'élevait une ombre, impénétrable, couronnée d'éclairs, qui remplit tout le ciel.

Elle se dressa, énorme, sur le monde et étendit vers eux une vaste et menaçante main, terrible mais impuissante ; car, au moment où elle se penchait sur eux, un grand vent la saisit, tout fut emporté et disparut ; et un silence tomba.

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Car la fragrance qui vint à chacun était comme un souvenir de matins humides de rosée par un soleil sans voile en quelque terre dont le monde au printemps ne serait lui-même qu'un souvenir éphémère.

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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes qu'elles se sont emparées de vous."

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Alors, sans se retourner, Aragorn cria de façon à être entendu de tous : « Oubliez votre fatigue, mes amis ! Forcez, maintenant, forcez ! Il nous faut être à la Pierre d’Erech avant la fin de ce jour, et le chemin est encore long. » Aussi, sans un regard en arrière, ils gravirent les champs de la montagne, jusqu’au moment où ils arrivèrent à un pont au-dessus du torrent grandissant et trouvèrent une route qui descendait dans le pays

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Aragorn avait apporté des torches de Dunharrow, et maintenant, il marchait en tête, en brandissant une bien haut, et Elladan allait en queue avec une autre, tandis que Gimli, tout trébuchant, s’efforçait de le rattraper. Il ne voyait rien d’autre que la faible flamme des torches, mais si la compagnie s’arrêtait, il lui semblait entendre tout autour de lui un murmure sans fin, un murmure de paroles en une langue qu’il n’avait jamais entendue auparavant

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« Isildur dit alors à leur roi : « Tu seras le dernier roi. Et si l’Ouest se révèle plus puissant que ton Maître Noir, j’appelle cette malédiction sur toi et les tiens : N’avoir jamais de repos jusqu’à l’accomplissement de votre serment. Pour cela, la guerre durera d’innombrables années, et vous serez appelés de nouveau avant la fin. » Et ils fuirent devant la colère d’Isildur, et ils n’osèrent pas partir en guerre du côté de Sauron ; ils se cachèrent dans des endroits secrets des montagnes et ils n’eurent pas de rapports avec les autres hommes, mais se réduisirent lentement dans les collines stériles. Et la terreur des Morts sans Sommeil reste autour de la Colline d’Erech et de tous les lieux où ces gens s’étaient attardés. Mais par-là je dois aller, puisqu’il n’est plus de vivants pour m’aider. » Il se leva. « Allons ! s’écria-t-il, tirant son épée, qui étincela à la lueur du crépuscule de la salle. À la Pierre d’Erech ! Je cherche les Chemins des Morts. M’accompagne qui veut ! 

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« Une lutte plutôt plus sinistre en ce qui me concerne que la bataille de Fort le Cor, répondit Aragorn. J’ai regardé dans la Pierre d’Orthanc, mes amis. » « Vous avez regardé dans cette maudite pierre ensorcelée ! s’écria Gimli, dont le visage révélait la peur et l’étonnement. Avez-vous rien dit à… à lui ? Même Gandalf redoutait cette rencontre. 

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Théoden parla alors à Eomer, il leva la main et cria d’une voix forte, et là-dessus les Cavaliers se mirent en route. Ils franchirent la Chaussée et descendirent dans la Combe, puis, tournant vivement vers l’Est, ils prirent un chemin qui longeait le pied des collines sur un mille environ avant de regagner les collines par un tournant au Sud et de disparaître à la vue. Aragorn alla jusqu’à la Chaussée et observa jusqu’à ce que les hommes du roi se fussent éloignés dans la Combe. Puis il se tourna vers Halbarad

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Ce fut ainsi que, dans une obscurité croissante, le Roi de la Marche s'apprêta à mener tous ses Cavaliers sur la route de l'Est. les cœurs étaient lourds, et nombreux étaient ceux qui défaillaient dans l'ombre. Mais c'était un peuple dur, fidèle à son seigneur, et peu de pleurs ou de murmures se firent entendre, même dans le camp du Refuge où étaient logés les exilés d'Edoras, femmes, enfants et vieillards. La ruine planait sur eux, mais ils l'affrontaient en silence.

Deux heures passèrent rapidement, et le roi était à présent monté sur son cheval blanc, luisant dans le demi-jour. Il avait une apparence fière et majestueuse, bien que la chevelure qui s'échappait de sous son haut casque fût de neige ; et nombre des hommes s'en émerveillaient et prenaient courage à le voir ainsi détentu et impavide.

Là, sur les larges terrains plats au bord de la bruyante rivière, étaient rangés en nombreuses compagnies plus de cinq mille Cavaliers en armement complet, et des centaines d'autres hommes avec des chevaux de rechange légèrement chargés. Une unique trompette sonna. Le roi leva la main et, en silence, l'armée de la Marche se mit en mouvement. En tête venaient douze hommes de la Maison du roi, Cavaliers de renom. Puis le roi suivait avec Eomir à sa droite. Il avait fait ses adieux à Eowyn dans le Refuge, et le souvenir en était pénible ; mais il tourna alors sa pensée vers la route qui s'étendait devant lui. Derrière, Merry montait Stybba en compagnie des messagers de Gondor, et derrière encore douze autres hommes de la Maison du roi. Ils passèrent le long des rangs des hommes qui attendaient, le visage dur et impassible. Mais quand ils furent arrivés presque à la fin de la rangée, un homme jeta un regard rapide et perçant sur le Hobbit. "Une jeune homme de taille et de corpulence moindres que celles de la plupart", se dit Merry, répondant à son regard. Il saisit la lueur de clairs yeux gris : et il frissonna, car il lui apparut soudain que c'était là le visage de quelqu'un qui, sans espoir, allait au-devant de la mort.

Ils descendirent la route le long du Snowbourn qui se précipitait sur ses pierres ; par les hameaux de Sousharrow et d'Upbourn, où maints tristes visages de femmes regardaient hors de sombres portes ; et ainsi, sans cors ni harpes ni musique de voix d'hommes, commença la grande chevauchée vers l'est, dont les chansons de Rohan devaient se nourrir durant bien des générations ultérieures.

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