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Le seigneur des porcheries



Description ajoutée par tek 2010-08-13T22:41:36+02:00

Résumé

John Kaltenbrunner est un jeune garçon qui a perdu son père très jeune. Il vit sur la propriété familiale, au centre des États-Unis, avec sa mère. À l'école, rien ne va, car John est un garçon très différent des autres. Il est très intelligent, mais ne pense pas comme tout le monde. Il quittera donc l'école et s'occupe sur le domaine. Sa mère tombe malade et John va voir un défilé chez lui de femmes d'obédience protestante plus voraces les unes que les autres. Tout va disparaître de chez lui petit à petit pour terminer aux oeuvres de bienfaisance.

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Classement en biblio - 57 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T23:21:49+01:00

« Chacun savait que pour les catholiques, Jésus était le fils de Marie, pour les baptistes, il était le sauveur, pour les juifs, il n’était rien, et pour les méthodistes, il était une déduction fiscale. »

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Fanfan_Do 2024-12-13T17:35:32+01:00
Diamant

Les quelques premières pages m'ont laissée un peu perplexe tant je ne comprenais pas ce que je lisais. Il était question de citrons de l'usine de volailles, du Coupe-Gorge, de trolls et autres rats d'usine, tout ça fourré dans le panier à salade !? Quelle étrange entrée en matière !

En réalité ce roman nous raconte l'histoire de John Kaltenbrunner, fils de feu Ford Kaltenbrunner, ce père qu'il n'a pas connu et qui lui fait de l'ombre par-delà le trépas.

John s'avère être une sorte de petit génie rustique à huit ans à peine, que certains pensent détraqué - "Une merveille phénoménologique au sens le plus strict". Et en même temps il est une sorte de victime. Il sert d'exutoire à la frustration de tous les minables du coin, et ils sont légion. Ça va des représentants de l'ordre jusqu'aux grenouilles de bénitier en passants par toutes les strates de cette société rurale.

C'est rapidement la "fête" de l'Amérique du créationnisme, quelques piques envoyées au crétinisme ambiant, c'est tout simplement jubilatoire. Des phrases ciselées, une ironie mordante, un pur plaisir !

Cette histoire nous raconte l'Amérique profonde qui a supplanté les autochtones, pour le plus grand malheur de la nature et de tout ce qui vit en général. Implantation de l'homme blanc et des industries mortifères, saccage de la faune et de la flore, alcoolisme et éradication des premières nations. C'est tellement bien résumé qu'on se demande comment c'est possible d'être aussi con ! Car la façon dont l'auteur nous raconte les choses met une chose en évidence : la bêtise humaine est sans limite.

Tristan Egolf semble avoir eu un gros contentieux avec ses semblables, beaucoup de comptes à régler avec l'ignominie dont les humains sont capables. À chaque page il taille un costard à cette Amérique à la noix, à ces hypocrites qui vont à l'office du dimanche et bavent tant et plus sur leur prochain, jusqu'à l'humiliation, jusqu'à l'anéantissement. Car s'il est vrai que notre héros est un vrai malchanceux, cela tient beaucoup à la perfidie dont sont capables nombre de gens. Et pourtant, c'est par moments d'une drôlerie absolue. Quel talent il faut pour rendre drôle quelque chose d'aussi effroyable. C'est sans doute parce que l'humour permet de transcender la douleur. Cette histoire est un feu d'artifice, avec de nombreux moments complètement délirants, totalement hilarants.

Un art consommé de l'insulte, absolument ébouriffant "Il traita Dennis de junkie en phase terminale et de suicidaire avorté. Il traita Curtis de bâtard, Murphy de taulard, Wilbur de célibataire à marier le plus laid de la ville. le reste d'entre nous étaient des pédés à la Niche et une cinquième colonne de youpins inféodés aux Japs." Et ça, ce n'est qu'un échantillon...

J'ai été passionnée de bout en bout par l'histoire de John Kaltenbrunner, ce génie méconnu de ses contemporains, dans son bled paumé où on a l'impression que c'est la raison du plus fou qui prime.

Même dans les moments tragiques, l'auteur m'a arraché des éclats de rire.

C'est un roman totalement fascinant, cruel et tellement drôle à la fois. Ce roman, c'est la douloureuse odyssée flamboyante semée d'embûches de John Kaltenbrunner dans un coin paumé des États-Unis, entre les bigotes, les ivrognes en tout genre, le racisme à tous les niveaux, envers les immigrés ou les différentes classes sociales, et les petits détenteurs d'un tout petit pouvoir quelconque.

Et alors, quelle écriture !!! Tout simplement sublime, précise, parfaite. Jusqu'au point final. Et dire que j'ai rencontré ce roman par hasard, chez Emmaüs. Ce qui m'a attirée !? le titre, le contexte et l'Amérique profonde. Quelle belle rencontre !

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Commentaire ajouté par vallonsourn 2024-04-21T12:22:24+02:00
Diamant

lu il y a très longtemps : un must

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Commentaire ajouté par TomLarret 2022-02-13T09:06:34+01:00
Diamant

John naît sous la pire étoile du monde, à Baker, la ville la plus abominable du Midwest, un cocktail amer d'alcool frelaté, de misère et d'intolérance. Sa malchance incroyable et son caractère exceptionnel le conduisent, rapidement, à devenir un paria honni par une société répugnante et omnipotente.

Le Seigneur des porcheries présente sans concession les ravages du mépris de la différence et de la haine de l'autre dans une bourgade sinistre de la Corn Belt et la spirale de violence aveugle qui la dévastera. Avec un style élégant et râpeux, tout en listes, gradations, métaphores et paradoxes du plus bel effet, l’œuvre oscille et entraîne le lecteur dans un rythme frénétique et décousu, entre action délirante et plongée vertigineuse dans la psychologie dépravée des épaves humaines qui en constituent les personnages. Ce pamphlet cru et amoral contre le racisme, le fanatisme et toute forme d'ostracisation s'est rapidement hissé au rang des classiques de la littérature américaine, et ne m'a laissée aussi ravie que bouleversée.

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Commentaire ajouté par Paraffine 2017-02-04T00:19:25+01:00
Diamant

Je suis tombée sur ce livre par hasard. Ou est-ce lui qui m'est tombé dessus? J'ai passé outre les mentions du 4ème de couverture, qui n'avaient vraiment rien pour me plaire (mammouth ? Midwest ? Et le pompon : burlesque ! Vade retro...) Le titre sans doute, le sous-titre peut-être: "Le temps venu de tuer le veau gras et d'armer les justes".

Le premier chapitre fut sacrément difficile à passer. Je me suis demandé dans quelle galère j'étais embarquée. Le terroir français, oui, ça me parle, mais ma fille que fais-tu à lire une histoire chez les rednecks de la Cornbelt ? Présentés comme dégénérés, bigots, obtus, racistes, alcooliques, bornés, injustes (surtout, injustes !).

Et après, scotchée. J'ai lu (et relu, avant même de finir le livre) le récit des exploits de John tenant la ferme à bout de bras. Serré les dents à la maladie de la mère et aux nouvelles catastrophes. Halluciné à l'abattoir. Quand au grand affrontement des "boueux"...

Fichtre. C'est du livre, ça. Dans mes 2% de diamant, sans hésitation.

Chapeau au traducteur (Rémy Lambrechts), il a du s'amuser.

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Commentaire ajouté par Ariane_THK-_- 2012-08-03T09:55:09+02:00

Non je n'ai pas lue ce livre c'est ma mère et ma tante qui l'ont évaluée car je voulais leur montrée le fonctionnement de booknode pour qu'elles y adhèrent !

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Date de sortie

Le seigneur des porcheries

  • France : 2000-10-18 - Poche (Français)

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2022-12-16T22:45:20+01:00

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