Le sens de nos pas

Premier coup de cœur de l’année 💘

C’est l’histoire d’une rencontre improbable. Celle d’Auguste, 85 ans qui vit avec son fils et sa belle fille et qui sent qu’il est un poids pour eux, et Philomène, 15 ans, qui a perdue sa mère et qui sait qu’on lui cache la vérité sur ce drame.

Ils ne se connaissent pas, mais vont fuguer ensemble et vivre le temps de quelques jours une aventure inoubliable, qui marquera un tournant dans la vie de chacun.

📖 C’est une histoire très touchante, qui aborde des sujets difficiles tels que : le deuil, la fin de vie assistée. Mais, détrompez vous, même si ces sujets ne sont pas des plus joyeux, c’est avant tout une histoire de transmission, de résilience, d’amitié. Le récit n’est pas écrit de façon à nous plomber le moral et finalement, il est assez positif.

Cette histoire nous rappelle ô combien il est important de savourer l’instant présent, d’aimer, de transmettre….

C’est un roman qui vous fera ressentir un panel d’émotions, on passe du rire aux larmes. Il vous permettra peut-être de vous recentrer sur les choses essentielles de la vie, en tous les cas, personnellement ça m’a fait réfléchir.

Vous vous attacherez incontestablement aux personnages, parce qu’ils sont touchants, parce que leur histoire est sublime…

J’ai retenue mes larmes à la fin. C’est vraiment un récit bouleversant, qui aborde des sujets tabous mais importants.

Je ne peux que vous le conseiller….

Émouvant, prenant! J'ai dévoré ce livre, entre deux pauses lecture pour me remettre de mes émotions et ne pas le terminer trop vite. Le savourer.

Les sujets de la vie, la mort, la mort assistée, l'amour sont abordés de manière à la fois simple et profonde.

J'ai un peu ri, beaucoup pleuré, j'ai adoré!

Un livre bouleversant, drôle et rempli d'émotions.

Une plume addictive et une lecture fluide dont on prend plaisir à tourner les pages.

Un sujet difficile, tabou et d'actualité sur le choix de la fin de vie.

La rencontre inattendue entre Auguste, un vieux monsieur dont sa belle-fille veut envoyer finir ses jours dans une maison de retraite et Philomène une ado de quinze ans, qui est d'ailleurs un sacré phénomène. Avec leurs tracas, ils vont décider de fuguer afin d'aider Philomène à chercher la vérité sur le décès de sa mère.

Une belle amitié va alors se nouer entre ces deux là...

Un très beau roman de Claire Norton ! L'auteure aborde des sujets très difficiles, le suicide assisté, le deuil et les traite avec beaucoup de délicatesse et de sensibilité. L'écriture est fluide, tendre et parfois énergique. Les personnages ont des tempéraments bien trempés, ils sont présentés avec leurs forces et leurs faiblesses, leurs qualités et leurs défauts. Ils ressemblent à tout le monde, ce qui permet une identification rapide. On est emporté par cette histoire et chaque page nous offre une multitude d'émotions. Un roman très réussi !

L'histoire est belle et pleine d'émotions grâce à la plume de claire norton. Les sujets abordés sont touchants et amène à réfléchir pourtant je reste mitigée sur ma lecture. Je ne saurait dire exactement pourquoi mais je me suis ennuyé à certains moment et j'ai un peu lu en diagonale le long récit d'auguste vers la fin car il y en avait un peu trop.

Coup de coeur pour cette belle histoire de vie.

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De suite j’ai été émue par les mots d’Audrey aux portes de la mort, alternant entre ses dernières pensées en tenant la main de la femme en rose et son électrocardiogramme…

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De suite j’ai été prise par les mots d’Auguste l’octogénaire qui ne se sent plus chez lui chez lui, dans cette maison qui a été sienne et celle de sa femme tant d’années, qui tient tant de souvenirs dans ses murs, et qui aujourd’hui est prise d’assaut par sa belle fille qui a peu de considération pour lui, le vieux …

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De suite j’ai été touchée par l’adolescente Philomène qui veut comprendre pourquoi sa mère est morte, pourquoi on lui a caché des secrets.

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De suite Benoît m’a plu aussi, ce père désemparé face à la douleur de sa fille, face à ses interrogations quant à l’amour de sa mère pour lui. Alors que nous, nous savons ce que cette mère a pensé à la toute fin.

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Au fil des pages les personnages secondaires apportent de la lumière aux questionnements des uns et des autres, nous font avancer avec eux le long de leur périple et de leurs réflexions avec les rencontres et leurs premiers derniers moments.

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Ce roman va nous parler tout en pudeur de deuil, de foi en la vie, de fin de vie assistée, de droit à la dignité, de vieillesse, de transmission, de choix, de pardon, d’amour, de respect, de mort et de vie.

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Et oui, de mort et de vie : de l’importance de se rencontrer, de vivre sa vie, de suivre ses désirs malgré la peur, de se retrouver, de savoir s’écouter et écouter.

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C’est simple : je n’ai pas pu reposer ce livre après l’avoir commencé. Je devais absolument continuer, tourner les pages, découvrir, m’émouvoir, m’attendrir, sourire avec eux jusqu’au bout.

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En bref : Auguste et ses origamis resteront longtemps dans ma mémoire, bien après son dernier chapitre qui m’a même fait verser ma petite larme.

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Ps: la couverture grand format avec le banc et l’origami était vraiment géniale, la poche avec le ballon est mignonne mais l’autre me parle plus.

Ce livre a été un vrai plaisir pour moi. J'ai adoré le sujet qui est abordé avec simplicité et profondeur. Un beau livre à découvrir au plus vite.

Plutôt déçue. J'ai adoré le début, notamment le chapitre avec la montgolfière.

Puis, je me suite lassée pour plusieurs raisons :

- pas de surprise dans ce livre. Tout marche comme sur des roulettes pour les 2 protagonistes qui font les bonnes rencontres au bon moment. Je n'ai pas accroché à l'histoire que j'ai trouvé peu réaliste et invraisemblable,

- Auguste est désagréable et manque d'empathie avec Florent et surtout avec Marc Divarin (depuis quant, le responsable d'un accident est celui qui appelle et non celui qui décroche le téléphone ? Le seul responsable de l'accident d'Audrey est Audrey elle-même qui se demande d'ailleurs pour quoi elle a décroché alors qu'elle roulait si vite)

- la fin est un plaidoyer répétitif sur le suicide assisté.

Cela aurait pu être une belle histoire.

Aucune différence entre l'écriture et la commère du quartier : et papati et patata et gnagnagna. Que ça devient saoulant.

Niveau de difficulté de lecture et de compression du texte : CE1

On aurait pu entrer dans le pathos, mais là aussi c'est saoulant et gnagna.

Bref le livre "Mode" style "Feelgood" pour (essayer de) sensibiliser les adolescentes

Roman.

Magnifique, bouleversant.

Auguste rencontre Philomène. Auguste a 85 ans, Philomène 15. Ces deux personnes vont se rapprocher et s'aimer ; Auguste va aider Philomène dans ses recherches et en cela, il évoluera aussi. Lui, qui était persuadé de ne plus être utile à qui que ce soit, il vivra encore des "premières fois" et au-delà de ce qu'il supposait. Auguste deviendra pour Philomène un véritable grand-père.

Par ailleurs, ce livre évoque également une question d'actualité : l'euthanasie et le suicide assisté. Un sujet qui pose beaucoup de questions et donne peu de réponses. Tout y est discuté, avec beaucoup de pudeur et de dignité.

A lire absolument.