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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:25:44+01:00

Ces chevaliers sans suite, sans écuyers et sans bannières étaient comme des fantômes, revenus d’entre les morts pour célébrer la tempête.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:25:32+01:00

Roulé en boule, les mains sur la tête, il attendit. Il attendit que la lame le frappe dans le dos. Mais rien ne venait. Lorsqu’il osa se retourner, de longues minutes plus tard, il n’y avait rien derrière lui. Rien que les arbres, les rochers, le vent, et les ténèbres.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:25:08+01:00

Un brouillard à couper au couteau s'était installé sur la mer, effaçant l'horizon. Il fallut un moment à la foule sur le port pour distinguer enfin, dans une lumière presque blanche, la silhouette imposante du vaisseau ducal. Trois mâts. Deux ponts. Une énorme figure de proue en tête de dragon. Cent hommes d'équipage, une écurie, une salle d'armes. Ce bâtiment avait été construit pour le duc, et même s'il pouvait transporter cinq cent âmes, il n'emportait que son maître, accompagné de sa garde rapprochée. A mesure qu'il naviguait vers la côte, on pouvait apercevoir le blason de Westlingshire sur la grand-voile gonflée par le vent.

Une demi-heure durant, la foule silencieuse le regarda se rapprocher.

Le brouillard s'intensifiait au loin, comme si leur terre d'origine disparaissait aux yeux du monde. Certains y virent un symbole - l'Eirin n'était plus rien sans le duc -, d'autres un présage. Car le navire semblait sortir du néant pour guider les hommes vers la victoire.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:24:42+01:00

Essoufflé, les côtes endolories, Cynon Bradwen donna un coup de pied dans le sable, et son adversaire au sol dut se protéger de l'avant-bras pour ne pas en recevoir dans les yeux.

- Rappelle-moi de ne jamais plus te tourner le dos, fit-il à voix basse.

- La prochaine fois, je te tuerai, grogna Arcus.

Cynon ramassa son heaume et quitta la lice dans la liesse générale. Les hauts barons de la tribune affichaient leur mépris pour cette empoignade de barbares, mais la populace était aux anges. Enfin, du spectacle ! Les ronds de jambe et les politesses, c'était bon pour les nobles, et la charité chrétienne, pour le sermon du dimanche. Ce qu'ils voulaient, eux, c'était du sang. Comme aux temps où les épées n'étaient pas émoussées, où les lances n'étaient pas creuses, où les vieilles traditions celtiques rognaient encore le pouvoir de l’Église.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:24:19+01:00

Trempé jusqu'aux os, le petit berger se tapit dans le buisson où il avait trouvé refuge. Il retint son souffle comme si ces hommes pouvaient l'entendre, à quelques mètres de là, sous leurs heaumes de métal. Une peur irraisonnée le tenaillait. Ces chevaliers sans suite, sans écuyers et sans bannières étaient comme des fantômes, revenus d'entre les morts pour célébrer la tempête.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:24:02+01:00

Vous êtes jeunes, et probablement plein d'illusions, mais vous apprendrez vite que le talent le plus utile pour un chevalier, c'est la flatterie

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:23:50+01:00

— Vous me direz des nouvelles de la frontière des Hautes Terres ; il paraît que c’est un endroit charmant. On y meurt beaucoup mais quand on n’y meurt pas, on adore.

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Extrait ajouté par leclipsa 2021-01-04T19:23:38+01:00

- Tu sais te battre, c'est très bien, maintenant il va falloir apprendre la diplomatie.

- Ce sera la pire des épreuves, s'amusa-t-il.

- Peut-être, mais c'est la seule qui en vaille la peine. On ne s'offre pas un carrosse en faisant la guerre.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2019-07-22T04:09:57+02:00

Ils étaient sept. Sept chevaliers sous un ciel d’orage, leurs boucliers luisant sous l’averse, leurs capes claquant dans la bourrasque. Un éclair déchira le ciel, illuminant la scène comme en plein jour, distordant leurs ombres sur le sol détrempé. Un cheval se cabra dans un hennissement, mais son cavalier le maîtrisa d’une main de fer. Au pied de la falaise, la mer rugissait sous le vent.

Trempé jusqu’aux os, le petit berger se tapit dans le buisson où il avait trouvé refuge. Il retint son souffle comme si ces hommes pouvaient l’entendre, à quelques mètres de là, sous leurs heaumes de métal. Une peur irraisonnée le tenaillait. Ces chevaliers sans suite, sans écuyers et sans bannières étaient comme des fantômes, revenus d’entre les morts pour célébrer la tempête.

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