Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 525
Membres
992 769

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode


Ajouter un commentaire


Liste des commentaires

Commentaire ajouté par marine_livraddict 2023-03-29T17:07:32+02:00
Argent

Ma fascination pour la célèbre famille Borgia est immense, et ce, depuis de nombreuses années. Je l'avais découverte à l'époque grâce au jeu vidéo Assassin's Creed Brotherhood où elle faisait office d'adversaire. Ce fut la découverte, le coup de cœur et depuis, j'ai vu les deux séries TV que j'adore, lu plein de livres sur eux, fictions ou non. Alors quand j'ai vu que Kate Quinn, l'autrice de la saga La Maîtresse de Rome pour laquelle j'avais eu un énorme coup de cœur, s'était lancée dans une nouvelle saga sur les Borgia, je ne pouvais pas passer à côté !

L'intrigue se déroule en Italie et plus particulièrement à Rome, durant cette époque appelée Renaissance, vers 1492, du temps des Borgia. Entre intrigues, alliances, mariages, conclaves et accession au trône de Saint Pierre. Nous découvrons Rodriguo Borgia, futur Alexandre VI, pape ; son fils aîné, Cesar, ecclésiastique (évêque plus précisément), froid, intelligent, ambitieux ; Juan, Duc de Gandie, garde, hautain, sûr de lui ; Lucrèce, fille bien aimée, d'une beauté ensorcelante, solaire ; Joffrey, le plus jeune, incarne la douceur et l'innocence. Des enfants qui ne sont que des pions sur un échiquier géant, celui de leur père. Ces personnages illustres qui ont marqué l'Histoire, le Temps, nous apparaissent à travers trois personnages, trois points de vue. Celui de Giulia Farnese, surnommée la Bella ou Vénus du Vatican, qui deviendra la maîtresse de Rodrigo Borgia alors qu'elle est mariée à un Orsini, dont la liaison n'est plus un secret, et cette dernière est prête à tout pour garder sa place auprès du pape. Le point de vue de Leonello, un nain au service de Giulia et Lucrèce en tant que garde du corps, adroit aux lancers de couteaux et intelligent, ce dernier va enquêter sur une série de meurtres de femmes au sein de la cité romaine. Et le point de vue de Carmelina, la cuisinière attitrée des Orsini, très douée dans son domaine et dont son secret peut tout lui coûter.

Les plus du roman : une seconde partie beaucoup plus passionnante ; une fiction mais avec des dates clés, des lieux, des personnages et des faits historiques réels ; trois points de vue pour une meilleure immersion et différents statuts explorés ; des descriptions délicieuses et riches ; une accentuation sur la cuisine italienne, de quoi vous donner l'eau à la bouche ; l'ascension de la famille Borgia à travers le regard de trois personnages de leur entourage.

Les points négatifs : Leonello m'a un peu trop fait penser à Tyrion Lannister de la saga Game of Thrones et cela m'a énormément perturbé ; pas mal de longueurs qui ont failli me faire abandonner, surtout au début de ma lecture ; une entrée dans l'histoire difficile ; quelques frustrations de ma part tant cela manquait de "sel", de piquant au roman.

En bref, j'ai beaucoup aimé ce premier tome, bien que je lui trouve beaucoup de longueurs et un manque flagrant de peps. J'ai aimé découvrir l'ascension des Borgia par le biais de trois personnages distincts, cela en fait une fiction originale. Il me tarde de découvrir La Concubine du Vatican.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par luucie65 2021-05-11T20:56:38+02:00
Diamant

Très bonne lecture, j'ai hâte de lire le tome 2.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Aurore80 2020-06-07T11:49:11+02:00
Diamant

Un roman historique captivant. L'époque est bien décrite, les personnages sont attachants, et tous intéressants à suivre. Giulia est forte et bienveillante, et loin d'être une potiche sans cervelle. Quant à Carmelina, j'ai adoré les descriptions de sa cuisine, qui m'ont donné l'eau à la bouche...

Afficher en entier
Commentaire ajouté par kkittymelo 2020-05-18T08:41:09+02:00
Argent

Un peu moins emballée par cette histoire. Je doute que le contexte historique m'intéresse vraiment. En revanche, j'aime toujours autant la manière de Kate Quinn à créer des récits aussi addictifs où on suit avec délectation les tribulations des personnages.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Lildrille 2019-10-10T11:29:10+02:00
Or

Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=23116

J'ai mis la note de : 15/20

Mon avis : Fille d’un historien, Kate Quinn a réussi à faire son petit bonhomme de chemin dans la littérature des romans historiques. Son premier roman, La Maîtresse de Rome, paru en France en 2012, a été un véritable succès et a fait reprendre goût à l’Histoire Antique, notamment celle de l’Empire Romain.

Ce roman raconte l’histoire de deux esclaves, Thea la Juive, et Arius le Breton, lors du règne de l’empereur Domitien (81 ap. J.-C. – 96 ap. J.-C.). La suite, intitulée L’impératrice des 7 collines, nous fait vivre les parcours tumultueux de Vix, jeune gladiateur à la retraite, et de Sabine, fille d’un sénateur en quête d’aventures, sous le règne de l’empereur Trajan (98 ap. J.-C. – 117 ap. J.-C.). Le troisième tome est déjà paru dans sa version originale sous le nom de The lady of the eternal city et continue de suivre Vix et Sabine, cette fois-ci sous le règne de l’empereur Hadrien (117 ap. J.-C. – 138 ap. J.-C.). Sa parution en version française ne devrait plus tarder. Il fera d’ailleurs très certainement l’objet d’une critique sur le site. Ouvrez l’œil !

L’auteure a également publié un autre roman relatant les épopées des empereurs romains et pouvant se voir comme une préquelle à cette trilogie : les héritières de Rome. Ce livre décrit une année marquée par le sang, une année que l’on nomme celle des quatre empereurs : de juin 68 à décembre 69, trois empereurs (Galba, Othon, Vitellius) vont se succéder avant que le pouvoir ne soit donné à l’empereur Vespasien, père de l’empereur Domitien.

Cette épopée romaine, certes très satisfaisante pour l’auteure, l’a lassée le temps de s’intéresser à une autre grande épopée historique de l’Italie : celle de la famille Borgia ! Si ce nom ne vous est pas inconnu, cela peut être dû à vos cours d’Histoire, dont quelques réminiscences vous reviennent de temps à autre, à la série télévisée de Canal+ ou à votre passion pour cette incroyable famille qui ne cesse d’intriguer les historiens tant elle est entourée de mystères. Dès que mystère il y a, Kate Quinn est au rendez-vous et se plaît à investiguer et affabuler sur ce qui aurait pu se passer, en se basant sur des références historiques solides.

Deux tomes sont déjà sortis sur ce thème. Le premier est Le serpent et la perle (paru en poche en 2016).

Ce roman détaille une partie de la période pendant laquelle Rodrigo Borgia régna en tant que pape, sous le nom d’Alexandre VI (de 1492 à 1503). Ce pape, aux mœurs dissolues, est surtout connu pour ses frasques, ses scandales, son autoritarisme et son goût insatiable pour les plaisirs de la chair. Ce dernier point n’est particulièrement pas apprécié par ses compatriotes qui le désignent comme un suppôt du diable. Cependant, ses aventures auront permis à Rodrigo de donner le jour à plusieurs enfants dont, certains, bien plus connus que lui. Les deux romans mettent surtout en avant deux liaisons bien connues du pape : celle avec Vannozza Cattanei et celle avec Giulia Farnèse. Vannozza est restée la maîtresse de Rodrigo pendant près de dix ans et lui a donné quatre enfants : César, un tyran violent, prêt à tout pour aider son père, Juan, un inconditionnel amoureux des boissons et des jeux, Lucrèce, une jeune femme prometteuse, et Joffre, un jeune garçon timide et effacé. Quant à Giulia, elle ne donna qu’une fille à Rodrigo, Laura, même si celui-ci douta de sa paternité dans cette affaire, préférant que Laura porte le nom du mari officiel de Giulia, Orsini.

L’intrigue débute en effet avec cette drôle d’histoire : un mariage qui n’en est pas un, un mari lâche manipulé par sa mère qui préfère ‘vendre’ sa nouvelle femme pour récupérer de nombreux privilèges et un futur pape qui tombe amoureux et désire aussitôt faire de Giulia sa nouvelle maîtresse. La jeune femme n’accepte pas tout de suite tant cela est contraire à tout ce qu’on lui a enseigné et parce qu’elle se sent répudiée par Orsino Orsini, celui qu’elle vient d’épouser et qu’elle ne voit déjà plus. Elle se sent trompée.

Ce roman décrit le cheminement de ses pensées, de son mariage à son statut de maîtresse du pape. Giulia, que l’on surnomme « la Bella », finit par s’attacher à Rodrigo qu’elle détestait de premier abord. Par la suite, on suit la jeune femme dans sa nouvelle demeure où elle doit gérer son nouveau statut et où elle se lie d’amitié avec Lucrèce.

Etre maîtresse du pape a toujours existé même si cela est très mal vu par l’Eglise. Le précédent pape avait même plus d’une dizaine d’enfants qu’il désignait comme ses neveux ou nièces. Sous son règne, Alexandre VI ne déroge pas à cette règle mais amplifie la chose : sa maîtresse est connue de tous, n’est plus cachée et il s’affiche avec elle à tous les galas mondains au lieu de garder sa liaison discrète comme il est de coutume. Ce comportement déplaît grandement à ses adversaires politiques et Giulia est mal aimée à travers le pays. Personne ne lui rend visite, à part les enfants de Rodrigo. Sa propre famille la rejette même si cette dernière profite dorénavant d’avantages octroyés par le pape en personne. La vie de Giulia est bien triste et solitaire et son mari officiel n’a pas le droit de lui rendre visite. La mère de ce dernier surveille au grain et vit avec la Bella. Tout doit être fait pour plaire au pape et subvenir à ses besoins. Mais même si la jeune femme est méprisée, on vient la voir pour demander des grâces au pape par son intermédiaire. Une vie plutôt ironique s’il en est : Giulia est méprisée publiquement mais jalousée secrètement.

Pour enjoliver son récit, l’auteure a créé deux personnages fictifs : Leonello, un nain pas si petit que cela, maniant le couteau comme un chef et étant féru de lecture, et Carmelina, une cuisinière de talent au passé tumultueux et au caractère bien trempé. L’ajout de ces personnages ajoute un certain piquant au récit et le destin de Giulia sera vite lié au leur.

Le serpent et la perle s’articule autour d’une narration particulière : nous vivons le récit sous trois points de vue différents. Cette alternance de points de vue à la première personne trouble légèrement au départ mais s’estompe vite. Effectivement, l’auteure laisse s’étirer un point de vue souvent sur plus d’une dizaine de pages, ce qui permet de bien s’imprégner la personnalité du personnage et de ressentir ce que ce dernier vit. Aucun point de vue n’est inintéressant, le lecteur plonge dans chacune de ces trois personnalités avec plaisir. Grâce à Carmelina, le lecteur en apprend plus sur la cuisine de l’époque, les aliments, la manière dont sont traitées les femmes dans ce domaine et comment fonctionne une maisonnée noble. Avec Leonello, le lecteur devient vite plus ironique, plus sarcastique, car le petit homme a un passé lourd et un humour bien à lui. Enfin, la personnalité de Giulia laisse entrapercevoir une époque bien douteuse dans laquelle une personnalité innocente a du mal à se frayer un chemin.

Ces trois destins, plus liés que l’on ne le pensait au début, nous fascinent tout au long de la lecture. Ils sont bien rythmés et le fond historique est passionnant pour les amoureux de l’Histoire. On y voit évoluer Lucrèce Borgia et César Borgia, entre autres personnalités de l’époque. On y découvre également une Rome libre, une Venise fêtarde et une France méprisée.

Il ne se passe pas spécialement beaucoup de choses dans ce roman, en termes de rebondissements. Le livre prend le temps de présenter les trois protagonistes et leur passé, de mettre en place le fond historique et les personnages importants de l’époque. Une fois tous ces sujets abordés, la lecture n’en devient que plus passionnante, surtout lorsque des évènements majeurs viennent perturber le récit. On se prend vite au goût de suivre la vie de Giulia et du pape. De plus, deux autres intrigues secondaires, liées à Carmelina et Leonello, se poursuivent tout au long du récit. Ces personnages apportent ainsi vraiment un plus non négligeable.

Les précisions historiques de l’auteure à la fin du roman donnent des indications sur ce qui est réel ou non dans son récit. Ces quelques pages d’explication sont très intéressantes et renforcent la crédibilité de ce que vous venez de lire.

Pour ce qui est de l’écriture, celle-ci est simple, sans fioriture. L’auteure y insère souvent du vocabulaire italien qui permet de mieux s’immerger dans l’intrigue et les descriptions des lieux et actions sont claires et assez précises pour qu’on les visualise sans peine.

Kate Quinn a, de nouveau, montré son talent pour la romance historique, faisant la part belle au vrai comme au faux et s’amusant à redonner vie à des passages brumeux de l’Histoire.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Calypso2000 2019-03-25T10:14:12+01:00
Bronze

J'accroche moins à cette série, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire néanmoins une fois qu'on est dans le cœur de l'histoire on veut savoir la suite.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Maatneferkara 2018-08-25T20:59:06+02:00
Or

Un premier tome riche en informations historiques malgré quelques incohérences, que l'auteure nous souligne d'ailleurs à la fin du livre. Le tout avec une plume rendant l'histoire captivante et entraînante.

Hâte de lire la suite.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par GinnyMarion 2017-07-31T15:57:26+02:00
Argent

Un très bon livre qui, chose rare, respecte le contexte historique en plus d'être une fiction intéressante.

Le changement de points de vue au fur et à mesure des chapitres nous permet de mieux nous situer dans ce monde et de "goûter" à tous les statuts sociaux.

Une très bonne intrigue et des personnages haut en couleurs dignes des Borgia !

A lire de toute évidence !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Eleanara 2017-07-23T19:45:15+02:00
Lu aussi

Tout d'abord, je dois dire que si j'ai été attirée par cet ouvrage, c'est essentiellement grâce à Kate Quinn. J'aime beaucoup ce qu'elle fait ; j'apprécie énormément son autre saga autour de la Rome Antique. Si je ne suis pas particulièrement intéressée par les Borgia, j'étais tout de même curieuse de les découvrir d'une autre plume que celle qui a écrit Francesca. De plus, le résumé parlait d'une jeune femme qui se fait prendre au piège mais ne se laisse pas faire. Il n'en fallait pas plus pour me donner envie de me lancer.

Quelle déception. Du moins, pour ce qui concerne Giulia : si le début présageait de bonnes choses la concernant, les choses se sont vite détériorées. Je la voyais succomber à la « cour » du pape et je ne parvenais pas à comprendre ses sentiments, ses réactions. C'était tout bonnement hors de portée de ma compréhension. Son comportement ne s'améliore pas rapidement, tant et si bien qu'elle a dégringolé dans mon estime. Seuls Leo et Carmelina réussissaient à me garder accrochée à ma lecture. Sans eux, je pense honnêtement que j'aurai abandonné. La manière dont se pavanait Giulia et se comportait avec le pape me laissaient des plus perplexes. Si on prend en compte la grande différence d'âge, les ennuis que lui coûtent cette relation et le comportement du pape auprès de l'être que Giulia aime plus que tout... Je ne comprenais vraiment pas comment elle pouvait être aussi attachée à sa personne. D'autant plus qu'elle admet elle-même ne pas se servir de cette relation pour obtenir plus de pouvoir, de prestige ou de cadeaux. Alors : pourquoi le fait-elle? C'était impossible pour moi de la comprendre et donc d'adhérer à ses choix.

Je ne l'estimais pas à ce moment-là, pourtant, à ma grande surprise, son comportement s'améliore dans les toutes dernières pages. Elle prend son indépendance autant qu'elle le peut et je commençais à apprécier ce que j'entrevoyais du personnage. Malheureusement, cela s'est produit trop près de la fin pour que je puisse pleinement apprécier son personnage. Même si elle s'est rattrapée sur la toute fin, je ne pense pas continuer cette saga. Pourtant, je reconnais volontiers le talent de Kate Quinn ; elle réussit toujours à créer des personnages construits et intéressants et à reconstruire un univers historique dans lequel on se plait de voyager le temps d'une lecture. Leo m'intriguait beaucoup ; sans surprise, son personnage me faisait énormément penser à Tyrion, du Trône de Fer. Pourtant, il réussit à se distinguer au fil des pages puisqu'on apprend à mieux le connaître. Carmelina aussi m'a plu, dans une certaine mesure, par son caractère spontané.

Comme je l'ai écrit plus haut, l'univers est reconstruit avec suffisamment de justesse et de détails pour que le lecteur puisse s'immerger de manière efficace. J'ai apprécié notamment d'en apprendre davantage sur la cuisine à travers le personnage de Carmelina. En ce qui concerne l'intrigue, je dois avouer ne pas avoir été passionnée ni particulièrement intéressée. On découvre ce qui en est dans les deux dernières pages. Ce qu'on apprend ne m'a pas surprise outre mesure – les explications devraient surgir dans le tome suivant. Malheureusement, cela ne suffira pas à me pousser à lire la suite.

En conclusion, Le Serpent et la Perle est un roman qui ne me restera pas à l'esprit longtemps. Je ne peux pas le considérer tout à fait comme une déception, mais cela s'en approche. Si le talent de Kate Quinn est intact, son style d'écriture toujours aussi plaisant à lire, l'histoire n'a pas réussi à me convaincre ni à me séduire, probablement à cause du personnage de Giulia. Toutefois, si vous êtes curieux et intrigué par les personnages des Borgia, je vous invite à le lire. Si la magie n'a pas opérée sur moi, peut-être en sera-t-il autrement pour vous.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par nathnoirm 2017-04-06T22:47:08+02:00
Diamant

J'ai adoré ce livre. Souhaiterais lire la suite en poche. Espère vivement sa sortie prochaine. Je recommande aux amateurs du genre

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode