Le solitaire apprivoisé
Auteur
- Katherine Sutcliffe (Écrivain)
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Classement en biblio - 39 lecteurs
extrait
Commentaires récents
Ah les hommes et leur égo quand leur apparence est touchée, ils deviennent des ours mal léché
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Il avait pourtant une bonne idée ce livre, mais pas assez (ou mal) exploitée. L'intrigue est bateau, les perso sont trop naïfs et le dénouement est prévisible. Un petit moment agréable mais sans plus
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Un livre à l'eau de rose simple avec une fin un peu décevante (non pas que cela finit mal c'est juste mal coupé ) malgré tout un roman touchant
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C'est vraiment un très bon livre: les personnages ont du caractère et je trouve l'histoire émouvante. Néanmoins, à mon sens, ce livre a 2 gros défaut:
- déjà c'est la duchesse douairière qui a tout l'argent. Alors, je veux bien que c'est un roman et que ça ne reflète pas la réalité. Mais là, je trouve ça quand même un peu fort. Soyons clair, c'est lui le duc, c'est donc lui qui a hérité de toute la fortune à la mort de son père. Sa grand-mère n 'a rien à voir la-dedans. Je comprends pourquoi elle a choisi cette optique, mais il me semble qu'elle aurait pu arriver au même résultat par des moyens plus fins (l'honneur, la dévotion filiale,...). Je me suis d'ailleurs demandée si c'était la même grand-mère au début et à la fin du roman: elle a l'air de fort aimé son petit-fils quand celui-ci est un monstre, mais quand il redevient "humain", c'est elle qui devient un "mostre".
- 2ème point qui me dérange:
Spoiler(cliquez pour révéler)la fin ne rime à rien. Que va-t-il se passer après qu'il soit parti de chez lui? Que vont-ils devenir sans un sou?
Bref, sans ces 2 points là, j'aurais facilement pu faire monter ce livre jusqu'à l'or.
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Date de sortie
Le solitaire apprivoisé
- France : 1998-12-17 - Poche (Français)
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Résumé
Le monstre: c'est ainsi que l'on surnomme le duc de Salderton. Du moins depuis qu'il a perdu la raison... Ne communiquant plus que par des grognements, en proie à d'inexplicables crises de violence qui terrorisent son entourage, Trey n'est plus que l'ombre de lui-même.
Lorsqu'elle pénètre pour la première fois dans la chambre où le duc est confiné, Mary Ashton s'insurge. Cet antre, plongé dans l'obscurité, est d'une saleté repoussante et le malade manifestement abandonné à lui-même! Comment guérirait-il dans de telles conditions? Il lui faut de la lumière, des fleurs, de la musique - cette musique qu'autrefois il aimait tant... Grâce aux soins attentifs de sa nouvelle infirmière, Trey retrouve peu à peu forme humaine.
Mais que perçoit-il réellement de ces changements? Son visage aux traits aristocratiques conserve la même expression figée et vide. Pourtant, Mary l'aurait juré, elle a vu s'allumer dans ses yeux une lueur de désir...
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