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Né à Babylone la rayonnante, Azriel est un fantôme. Triste, violent et très puissant, il est le jouet de forces obscures qui, des siècles durant, le tirent du néant pour semer le désespoir ou la peur parmi les hommes. Au XXe siècle, à New York, il se trouve projeté au milieu d'un crime. Qui l'a commis ? Dans quel but l'a-t-on appelé ? Et d'abord qui est donc Esther Beikin, la victime, riche, ravissante et timide ? Quels étaient ses rapports avec son père, redoutable gourou du "Temple mondial", secte de l'âge informatique ? C'est ce qu'il lui faut découvrir pour racheter sa liberté, mais aussi parce que étrangement la mort de la jeune femme est devenue pour lui une véritable obsession.
Si cette maison avait déjà été plus chaude et plus accueillante, si j’avais apprécié davantage la compagnie de quelqu’un, je n’en avais nul souvenir. Je n’avais qu’un désir : être avec lui et lui parler. J’éprouvais un pincement au cœur à l’idée que, lorsqu’il aurait terminé son récit, notre intimité prendrait fin ; rien alors ne serait plus jamais pareil pour moi.
L'histoire de base est assez sympa : un fantôme qui nous obéit quand on l'appelle, un peu comme un génie, le concept est intéressant. Mais pour moi, ça s'arrête là.
Je me suis ennuyée les trois quarts du livre. J'ai accroché à partir de Spoiler(cliquez pour révéler)la mort de Rachel soit une centaine de pages avant la fin, mais je n'ai pas été captivée par le reste.
La première partie est intéressante car on en sait plus sur Azriel, mais ça traine en longueur et c'est dommage. La deuxième partie, pareil. La troisième partie est plus prenante même si j'ai trouvé une scène assez improbable, mais bon après tout, c'est de la fiction :)
Je ferme à l'instant ce livre et je ne sais pas trop comment décrire mes sentiments à son égard ...
Le début a été fastidieux : beaucoup de descriptions, d'histoire, de tergiversations, dans un style d'écriture dont je n'ai pas l'habitude ... Je ne cache pas que j'ai failli abandonner ...
Puis la deuxième partie qui relève de l'apprentissage, fut plus intéressante, plus prenante ...
Enfin et surtout la troisième partie nous mène au coeur de l'intrigue qu'on attendait depuis le départ ...
Bref ... J'ai eu du mal mais l'arrivée en valait la peine ...
Anne Rice décrit avec brio la folie de certaines formes de croyances, de religions ...
Je retenterais peut être du Anne Rice un jour, mais pas tout de suite !...
La force d'Anne Rice réside selon moi en deux points : son écriture, magnifique, gothique, victorienne, toujours poétique et prompte à susciter la fascination, l'horreur, l'émerveillement... Elle a véritablement une écriture qui permet de ciseler le bien et le mal, d'en ombrer les contours, d'en souligner les merveilles et les nuances...
Le deuxième point, bien sûr, ce sont ses personnages. Les personnages d'Anne Rice semblent toujours tirés hors du temps, hors de l'humanité, hors de la morale, de la mort, et l'auteur prend plaisir à nous dévoiler les conséquences d'une telle transformation.
Dans Le Sortilège de Babylone, le contrat est encore une fois respecté : le personnage d'Azriel est fascinant, tout comme sa malédiction qui le condamne à demeurer enchaîné à ses os pendant des siècles et des siècles...
Cependant, si l'on est suspendu aux lèvres de ce fantôme millénaire, l'histoire manque quant à elle du souffle qui était propre aux Chroniques des Vampires - je pense bien entendu plus spécifiquement à Entretien avec un Vampire et Lestat le Vampire. En effet, même si les réflexions sur la nature humaine, la mortalité et la damnation sont toujours présentes, je trouve l'histoire plus vaine et les enjeux moins intéressants, moins importants, peut-être même du fait qu'Azriel est lui aussi pendant longtemps totalement coupé des réalités et de ses propres souvenirs.
Je trouve enfin la fin assez frustrante, vis-à-vis du devenir d'Azriel...
En bref, une écriture et des personnages toujours saisissants, mais comme un manque de "grandeur" dans cette fable macabre.
Un roman très original de Anne Rice, je me le suis offert pour changer un peu de mes lectures habituelles, et je ne le regrette pas, j'ai d'ailleurs lu un autre de ses livres par la suite.
De nombreuses références historiques rendent cependant ce livre un peu difficile à lire.
Roman de fantaisie avec un fort élément d'histoire – à travers les temps commencant à Babylon de l'antiquité, passant à la Grèce, au Moyen Age et finissant à New York de notre temps.
Le personnage principal est Azriel, un jeune homme qui par des circonstances magiques est changé en fantome immortel, très puissant qui passe de lieu à lieu à travers les temps, mais qui est toujours le servant de celui qui possède le coffret contenant les os d'Azriel, le jeune homme.
Le roman contient beaucoup d'éléments de l'histoire juif. A New York Azriel se venge du meurtrier d'une jeune femme juive ce qui le mène aux machinations d'une secte juive qui a des adhérants partout dans le monde. Le chef de cette secte qui dispose d'une fortune de billions aspire à prendre le pouvoir du monde.
A mon avis, ce roman n'est pas le meilleur d'Anne Rice mais il reste agréable à lire même s'il possède quelques longueurs... Je le conseille aux fans d'Anne...
Un esprit majeur sauve et se confie à un écrivain qui rédige alors les confidences du "Serviteur des Ossements". La narration nous transporte tour à tour à l'âge d'or de la Mésopotamie et au XXème siècle américain. On se surprend à voir le monde à travers les yeux d'un immortel...
Résumé
Né à Babylone la rayonnante, Azriel est un fantôme. Triste, violent et très puissant, il est le jouet de forces obscures qui, des siècles durant, le tirent du néant pour semer le désespoir ou la peur parmi les hommes. Au XXe siècle, à New York, il se trouve projeté au milieu d'un crime. Qui l'a commis ? Dans quel but l'a-t-on appelé ? Et d'abord qui est donc Esther Beikin, la victime, riche, ravissante et timide ? Quels étaient ses rapports avec son père, redoutable gourou du "Temple mondial", secte de l'âge informatique ? C'est ce qu'il lui faut découvrir pour racheter sa liberté, mais aussi parce que étrangement la mort de la jeune femme est devenue pour lui une véritable obsession.
Marqise66
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