Date de sortie
Le système du Dr Goudron et du Pr Plume
- France : 2003-01-03 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Le système du Dr Goudron et du Pr Plume
Résumé
Le Système du docteur Goudron et du professeur Plume est une nouvelle humoristique écrite par l'auteur américain Edgar Allan Poe et traduite en français par Charles Baudelaire. Extrait : Pendant l’automne de 18..., comme je visitais les provinces de l’extrême sud de la France, ma route me conduisit à quelques milles d’une certaine maison de santé, ou hospice particulier de fous, dont j’avais beaucoup entendu parler à Paris par des médecins, mes amis. Comme je n’avais jamais visité un lieu de cette espèce, je jugeai l’occasion trop bonne pour la négliger, et je proposai à mon compagnon de voyage (un gentleman dont j’avais fait, par hasard, la connaissance quelques jours auparavant) de nous détourner de notre route, pendant une heure à peu près, et d’examiner l’établissement. Mais il s’y refusa, se disant d’abord très-pressé et objectant ensuite l’horreur qu’inspire généralement la vue d’un aliéné. Il me pria cependant de ne pas sacrifier à un désir de courtoisie envers lui les satisfactions de ma curiosité, et me dit qu’il continuerait à chevaucher en avant, tout doucement, de sorte que je pusse le rattraper dans la journée, ou, à tout hasard, le jour suivant.
Afficher en entier