Le 2 mars 1476, Charles le Téméraire, le tout puissant duc de Bourgogne est contraint par les Suisses d’abandonner à Grandson, son camp et les richesses fabuleuses qu’il contient. Un trésor dont le joyau le plus important est peut-être son chapeau de parade couvert de perles dont le « fermail » du sommet se compose de pierres exceptionnelles sur un rang de perles : trois rubis dits « Les Trois Frères » et un gros diamant triangulaire bleuté « Le Grand Diamant de Bourgogne ». Ce fermail qu’il ne reverra jamais, il le considère comme son talisman. Il mourra devant Nancy le 5 janvier 1477… Cinq siècles plus tard, les quatre pierres vont s’appliquer à pourrir la vie d’Aldo Morisini et de son « gang ». Il suffira pour cela d’une visite à son notaire et d’un drame dans l’église Saint-Augustin, à Paris…
- C'est au Collège de France que l'on récolte ces babioles? plaisanta Madame de Sommières en soulevant l'une d'elles du bout d'un doigt.
- A la guerre aussi! répondit Hubert en se raidissant comme au garde-à-vous.
- A la guerre? On pouvait rapporter des éléphants en or?
- Amélie, ne cherchez pas à me mettre en colère: vous m'abîmeriez cette soirée. Je consens à vous apprendre que ceci est le Million d'éléphants du Laos qui m'a été remis par le roi en personne lors d'un passionnant voyage d'études.
- Il est vrai qu'un druide sur un éléphant doit être un beau spectacle, fit-elle en riant. Mais un million? Il n'a jamais dû y en avoir autant chez vos affidés !
Dans la lecture de ces 2 tomes, on retrouve tous les éléments qu’on aime tant chez Juliette Benzoni.
Une belle partie historique, des personnages attachants, intrépides et colorés, vivant des aventures rocambolesques. Par contre, définitivement pas le meilleur de la série du Prince Morosini. Beaucoup de longueurs mais surtout, totalement irréaliste… Quand un personnage se fait kidnapper trois fois, ça commence à faire beaucoup…Par contre, l’intrigue est bien intéressante, au final.
Ce n'est pas vraiment le meilleur roman de Benzoni ! L'histoire est intéressante mais un peu ennuyeuse pour moi. je ai pris le deuxième tome. Je le lirai donc ! D'ailleurs je me souvenais pas de la date de l'époque des enquêtes de ce bijoutier renommé. J'étais pendant toute la lecture a me demander quand la période se situait fin 19è ou début 20è? un peu embêtant....
J'ai adoré. Enfin une nouvelle aventures d'Aldo et de son gang.
J'apprécie toujours autant de découvrir un pan d'histoire à partir de bijoux célèbres. Et cette fois ci, l'auteur s'intéresse au mythe de Charles le Téméraire, le célèbre duc de Bourgogne à la tête d'un fabuleux trésor avec des pièces historiques. Heureusement qu'Aldo est là pour parcourir l'Europe pour nous apprendre l'histoire et qu'il peut compter sur son gang surtout sur Marie-Angéline du Plan-Crépin !
On ne peux pas le quitter, chaque page nous incite à lire la suivante, encore et encore...c'est vraiment une merveille!
Je fais connaissance avec cette merveilleuse écrivaine qu'est Juliette Benzoni grâce au concours lancé par Virgile, et je l'en remercie ici encore car il m'a fait découvrir cette excellente auteure.
J'ai retrouvé avec plaisir Aldo et le gang pour cette nouvelle aventure. Certains reprochent à l'intrigue d'être trop domestique, mais c'est au contraire ce que j'ai aimé dans ce tome : j'ai l'impression de mieux connaître les personnages, de plus suivre leur vie. Pour ma part, il ne m'a pas paru long du tout, notamment grâce à cet aspect familial.
Certes la course aux joyaux paraît moins importante mais j'ai bon espoir qu'on les voit revenir dans le tome suivant !
Ce treizième tome des aventures d’Aldo Morosini (commencées il y a 20 ans) est le début d’un nouveau cycle (comme Le Boiteux de Varsovie). Ce cycle est consacré au talisman du Téméraire. Dans ce tome, on s’intéresse tout particulièrement aux trois rubis du Téméraire.
J’ai toujours beaucoup de plaisir à retrouver Aldo et son “gang”. Mais cette fois-ci, je n’ai pas autant apprécié ma lecture que d’habitude. J’ai trouvé le roman long et sans beaucoup d’actions. Les personnages passent leur temps à se remémorer des événements des tomes précédents. Comme si l’auteur voulait meubler.
Le point positif dans ce nouveau tome, c’est que Marie-Angéline est mise en avant. C’est elle qui tient le devant de la scène. Et vu la fin de ce tome, elle devrait encore être bien présente dans le prochain tome. D’ailleurs, il semblerait que Juliette Benzoni soit devenue une adepte des fins de tomes à suspense. Je ne me souviens plus si s’était le cas dans le cycle du Boiteux de Varsovie, mais après la fin du tome 11, voilà que le tome 13 nous laisse aussi dans l’attente du prochain tome (dans pas trop longtemps j’espère).
Bon, même si je n’ai pas trop apprécié ma lecture, j’ai adoré retrouvé mes personnages chouchous. C’est toujours un régal de les voir vivre les uns avec les autres. Et puis Lisa reprend du poil de la bête, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Tome en demi-teinte donc, j’espère que le prochain remontera le niveau.
C'est toujours un plaisir de retrouver le clan Morosini, et ce nouvel opus ne fait pas exception. Je regrette simplement que la chasse aux joyaux soit délaissée au détriment d'intrigues plus domestiques (comme dans les précédents tomes d'ailleurs); ainsi que le côté parfois un peu trop prévisible de l'intrigue (quand on connait bien les romans de Benzoni, certains shémas narratifs on tendance à se répéter). Malgré cela, je n'ai pas boudé mon plaisir, et j'attends déjà la suite avec impatience!
Résumé
Le 2 mars 1476, Charles le Téméraire, le tout puissant duc de Bourgogne est contraint par les Suisses d’abandonner à Grandson, son camp et les richesses fabuleuses qu’il contient. Un trésor dont le joyau le plus important est peut-être son chapeau de parade couvert de perles dont le « fermail » du sommet se compose de pierres exceptionnelles sur un rang de perles : trois rubis dits « Les Trois Frères » et un gros diamant triangulaire bleuté « Le Grand Diamant de Bourgogne ». Ce fermail qu’il ne reverra jamais, il le considère comme son talisman. Il mourra devant Nancy le 5 janvier 1477… Cinq siècles plus tard, les quatre pierres vont s’appliquer à pourrir la vie d’Aldo Morisini et de son « gang ». Il suffira pour cela d’une visite à son notaire et d’un drame dans l’église Saint-Augustin, à Paris…
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