Palanquine, immense corps céleste qui se rue sur le système solaire et promet de tout balayer sur son passage, à commencer par la Terre. Palanquine, ou le rappel de la finitude des choses, constante réaffirmation de l’inanité de la condition humaine…
Il y a Lockerbie, génie exceptionnel à l’invention non moins exceptionnelle, qui promet d’ajouter à la catastrophe annoncée.
Il y a Eleanor et John, les derniers des rectifieurs. Leur amour infrangible.
Et cette question : l’amour peut-il à lui seul sauver un monde à l’agonie ?
Elle est immense dans les teintes bleu rosé du soir naissant, plein Ouest, surgit du froid patient de l'univers - entière et inexplicable. Palanquine offre son disque démesuré, cet orbe parfait qui pulse, vibre de milliers d'éclats pourpres sur le pourtour et au plus profond du cœur. La mort rouge sang hante désormais les portes du système solaire. Nous ronge peu à peu ; impose son temps.
Le début du livre nous fait espérer plus que la suite, il se laisse lire mais ressemble plus à un journal de bord avec par moment de grandes lenteurs. dommage.
Résumé
Délicité, ville monstre. XXIIe siècle.
Le monde est noir et rouge.
Noir de suie.
Rouge de Palanquine.
Palanquine, immense corps céleste qui se rue sur le système solaire et promet de tout balayer sur son passage, à commencer par la Terre. Palanquine, ou le rappel de la finitude des choses, constante réaffirmation de l’inanité de la condition humaine…
Il y a Lockerbie, génie exceptionnel à l’invention non moins exceptionnelle, qui promet d’ajouter à la catastrophe annoncée.
Il y a Eleanor et John, les derniers des rectifieurs. Leur amour infrangible.
Et cette question : l’amour peut-il à lui seul sauver un monde à l’agonie ?
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