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Dans l'esprit de La Servante écarlate ou du Dernier Homme,
le nouveau roman d'anticipation de Margaret Atwood.
Un tour de force.
On les appelle les « liogneaux », les « porcons », etc. Ce sont des animaux transgéniques créés par l'homme. Dans le monde chaotique et terrifiant qui constitue le cadre du nouveau roman « dystopique » de Margaret Atwood, ces créatures ont pris le pouvoir. La société y est gangrenée par le culte de l'argent et de la marchandise, une absurde division du travail y sévit, ainsi qu'une impitoyable guerre des classes.
Une secte religieuse et écologique, les Jardiniers de Dieu, dont Adam Premier est le chef spirituel, entraîne ses adeptes dans une mission sacrée : favoriser les conditions nécessaires à la survie d'une partie de l'espèce humaine, puis à sa restauration... Pour cela ils s'isolent du « monde exfernal » dans leur Jardin.
Car pour Adam et les Jardiniers de Dieu, l'arrivée du « Déluge des Airs » ne fait aucun doute. Une catastrophe naturelle apocalyptique va châtier les hommes pour les pillages et les destructions infligés par leur espèce à la Terre et à son environnement. C'est seulement une question d'échéance... Et il faut s'y préparer. Mais dans cet univers diabolique, l'entreprise s'annonce pour le moins ardue, voire désespérée...
Autour d'Adam, après le passage de l'effroyable désastre annoncé, plusieurs personnages s'aventureront dans le monde exfernal pour tenter de survivre et de retrouver d'éventuels rescapés. Parmi eux, Ren et Amanda, deux jeunes filles que tout aurait dû opposer, réussiront à tisser une belle et solide amitié, sous la protection de Toby, leur aînée, qui par sa grande sagesse deviendra en quelque sorte leur ange tutélaire...
Chers Amis, chères Créatures, chers Mammifères, mes Frères et mes Sœurs :
Le Jour de la Création, il y a cinq ans, ce Jardin de toiture d'Édenfalaise était une désolation fumante cernée par des taudis urbains purulents et des antres de perversité ; aujourd'hui, il s'est épanoui comme une rose.
En recouvrant de verdure des toitures dénudées, nous accomplissons notre modeste part dans la rédemption de la Divine Création, l'arrachant à la stérilité et à la déréliction qui règnent autour de nous, ce qui nous permet en outre de disposer d'une nourriture vierge. de toute pollution. Certains qualifiaient nos efforts de futiles, mais si tous suivaient notre exemple, quels bénéfices en tirerait notre Planète bien-aimée ! Une lourde tâche nous attend encore, mais n'ayez crainte, mes Amis : nous avanceons sans fléchir.
Dans ce livre nous suivons deux personnages principaux, Toby et Ren. Qui vont essayer de survivre dans ce monde post apocalyptique qu’est devenu la Terre après qu’un virus ait ravagé l’ensemble de la population.
Dans le livre nous avons plusieurs alternance : premièrement l’alternance entre l’histoire et les poèmes extraits du livre de cantiques des jardiniers de Dieu. Deuxièmement nous avons un alternance de points de vue entre Ren et Toby se qui mène à une alternance de narration entre externe pour Toby et interne pour Ren.
J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, mais une fois cela fait, je me suis laissée submerger par le récit et j’ai beaucoup aimé.
Dans "Le temps du déluge", deuxième tome de la trilogie de Margaret Atwood débutée avec "Le dernier homme" et qui se terminera avec "Maddaddam", j'ai pris un réel plaisir. Il est recommandé de commencer par "Le dernier homme" plutôt que par "Le temps du déluge", ce que j'ai fait, et je ne le regrette pas. Atwood maîtrise son art et manipule l'intrigue avec élégance. Toutefois, suivre la chronologie dans cet ordre est préférable pour pleinement apprécier cette magnifique saga.
Même si ce tome est clairement en dessous du premier que j'avais adoré, je me suis laissée prendre au jeu et j'ai tenu bon en poursuivant ma lecture, que j'ai trouvée agréable. Bémol majeur : la chronologie du récit parfois vraiment déroutante.
J'ai davantage aimé le premier volume. Mais maintenant que les deux premiers tomes se sont rejoints dans leur intrigue, on verra bien ce que réserve le dénouement.
J'ai du lire ce livre pour un cours de littérature à la fac. La prof nous a demandé de lire directement ce tome 2 sans lire le premier d'où le fait que je n'ai pas du tout accroché et ai eu du mal à comprendre le fonctionnement du monde où nous plonge Atwood. J'avais d'abord mis ce livre dans "Lu aussi" mais à cause des circonstance dans lesquelles je l'avais lu je l'ai finalement déplacé dans "Pas apprécié". Je pense que je n'aurais pas accroché même en ayant lu l'ensemble de la trilogie. C'est dommage.
Ce livre est nettement inférieur en ce qui concerne la trame, le suspens, et le style par rapport à la Servante écarlate ou Les testaments....et même le tome 1. On n’est aucunement pris en haleine par ce livre qui offre une maigre intrigue.Le style est agréable, les personnages vivants, la secte des jardiniers de Dieu sympathique, mais je regrette un peu que l’auteure ait cru utile de raconter son histoire dans le désordre. Commençant par deux scènes de l’an 25 après la création de la secte, le dernier, puis alternant an 12, an 21, an 14… A part anéantir le suspense et être à la mode je ne vois pas l’intérêt de cette pratique. Le lecteur a du mal à s'y retrouver !!!
Deuxième tome nette baisse !!! Je n'ai pas accroché ! Ce livre est nettement inférieur en ce qui concerne la trame, le suspens, et le style par rapport à la servante écarlate ou les testaments.
On n’est aucunement pris en haleine par ce livre qui offre une maigre intrigue.!
Je n'avais pour ma part pas compris que ce livre était le deuxième tome donc je n'ai pas lu le premier. Est-ce cependant important ? Je ne sais pas, je lirai le premier tome pour avoir ma réponse.
L'univers de l'auteur est assez perturbant comme son style, mais je crois que c'est ce qu'il fait que l'on apprécie... ou pas. J'ai été déroutée pour La Servante Ecarlate, je savais un peu plus à quoi m'attendre ici. La lecture n'en reste pas moins un peu compliquée, du moins, j'ai eu du mal à terminer ce livre. Et pourtant, je l'ai apprécié. Tout parait un peu "fouillis" et pourtant tout se rejoint. On a des points de vue différents, pas toujours à la première personne, on part dans le passé et on revient dans le présent.
L'auteur soigne ses personnages mais aussi son décors avec quelque chose de bien planté et qui parfois cependant manque un peu d'explication (mais c'est peut-être parce que j'ai pas lu le premier tome !). Nous avons ici avant tout une mise en avant de femmes qui chacune à leur manière évoluent et font face à leur vie et au Déluge qui frappe la planète.
Je dirai donc que j'ai apprécié ma lecture mais que cela reste un roman qui prend du temps à lire. Je vais me renseigner sur le tome précédent et suivant, car j'avoue que la fin me laisse un peu dubitative, après tant de page, on ne peut pas finir comme ça !!
Deuxième tome d'une trilogie dystopique, Le Temps du Déluge est le pendant du Dernier Homme, où nous suivions les pensées de Jimmy, alias Snowman, et ses souvenirs lors de sa vie dans les Compounds, lieu ultra-protégés dédiés à une élite riche et arrogante. Ce deuxième tome change d'univers, et se déplace du côté des plèbezones, où se retrouve la lie de la société, les déclassés, les divers trafics, mais aussi les ceux qui fuient la toute-puissance du CorpSeCorps, milice au service des puissants. Nous y suivons la vie de Jardiniers, de doux écolo-religieux dont l'organisation s'apparente à une secte, et en particulier celle de Toby, et de Ren, dont les histoires croiseront celles de personnages rencontrés dans le 1er tome, et qui, comme dans le 1er tome, navigueront entre leurs souvenirs de leur vie d'avant, et leur vie d'après le Déluge, cataclysme viral qui a anéanti une bonne partie de l'espèce humaine. Beaucoup de réflexions sur la place de l'homme sur Terre, son rapport aux autres espèces, sur les manipulations génétiques, le traitement réservé aux femmes, et leur force d'adaptation. Un excellent roman, dont j'ai hâte de lui la suite, MaddAddam.
Le Temps du déluge rejoint progressivement le Dernier Homme - le tome précédent - et permet de retrouver certains personnages dont Snowman. Comme le premier tome, celui-ci fonctionne à la fois sur des retours en arrière pour comprendre comment on en est arrivé à la catastrophe, et à des passages dans le présent montrant deux femmes tentant de survivre après. Et l'originalité est la création du groupe des Jardiniers, un groupe religieux dont la doctrine est un moyen de se préparer à la fin du monde. Les cantiques et les sermons sont très intéressants.
On retrouve les très bonnes idées de Margaret Atwood sur la génétique et le pouvoir des grandes entreprises, mais aussi la célébration de la nature, et la force de femmes pour s'adapter à un monde machiste et impitoyable pour elles.
Résumé
Dans l'esprit de La Servante écarlate ou du Dernier Homme, le nouveau roman d'anticipation de Margaret Atwood.
Un tour de force.
On les appelle les « liogneaux », les « porcons », etc. Ce sont des animaux transgéniques créés par l'homme. Dans le monde chaotique et terrifiant qui constitue le cadre du nouveau roman « dystopique » de Margaret Atwood, ces créatures ont pris le pouvoir. La société y est gangrenée par le culte de l'argent et de la marchandise, une absurde division du travail y sévit, ainsi qu'une impitoyable guerre des classes.
Une secte religieuse et écologique, les Jardiniers de Dieu, dont Adam Premier est le chef spirituel, entraîne ses adeptes dans une mission sacrée : favoriser les conditions nécessaires à la survie d'une partie de l'espèce humaine, puis à sa restauration... Pour cela ils s'isolent du « monde exfernal » dans leur Jardin.
Car pour Adam et les Jardiniers de Dieu, l'arrivée du « Déluge des Airs » ne fait aucun doute. Une catastrophe naturelle apocalyptique va châtier les hommes pour les pillages et les destructions infligés par leur espèce à la Terre et à son environnement. C'est seulement une question d'échéance... Et il faut s'y préparer. Mais dans cet univers diabolique, l'entreprise s'annonce pour le moins ardue, voire désespérée...
Autour d'Adam, après le passage de l'effroyable désastre annoncé, plusieurs personnages s'aventureront dans le monde exfernal pour tenter de survivre et de retrouver d'éventuels rescapés. Parmi eux, Ren et Amanda, deux jeunes filles que tout aurait dû opposer, réussiront à tisser une belle et solide amitié, sous la protection de Toby, leur aînée, qui par sa grande sagesse deviendra en quelque sorte leur ange tutélaire...
Source : Robert Laffont
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