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En fan de Bussi, j'avoue être un peu mitigée concernant les deux derniers ouvrages, qui n'ont pas la saveur des autres.
Le roman est satisfaisant et on se laisse assez facilement emporter par cette histoire corse mais je reproche parfois à l'auteur d'en faire un peu trop et de tirer des ficelles un peu grosses par moment....On ne s'ennuie pas certes mais ce n'est pas un livre qui restera en mémoire, pour moi.
Pas le meilleur Bussi. Point positif : très belle description, on voyage en Corse durant toute l'histoire. Points négatifs : les personnages sont caricaturés au maximum possible. Les clichés et les rebondissements sont prévisibles. L'histoire semble de plus en plus absurde au fil du dénouement
J'ai adoré cette lecture. Du suspens du début à la fin. Un indice, on pense à une personne, et en fait non, et ainsi de suite. Je ne m'y attendais pas. Je n'arrivais pas à me décrocher de ma lecture.
Prévisible, le suspense comme l'enquête et facile à deviner. Je n'ai pas aimé le fait que il y a eu de la tromperie dans deux mariages qui sont expliqués dans le livre. C'était vraiment juste une lecture sympa parce que facile à lire mais pas pour moi.
Deuxième livre que je lis de cet auteur, et si le premier m'avait laissé une impression mitigée voire carrément négative, ce deuxième est plutôt une réussite. Il m'aura fallu cinq jours pour le lire mais c'était un chouette moment ! 😍
L'auteur nous embarque dans la vie de Clotilde qui, à quinze ans, a survécu à l'accident qui a tué ses parents et son frère. Elle revient sur les lieux, en Corse, vingt-sept ans plus tard avec son mari et sa fille. Mais une fois revenue sur les terres de son paternel, des événements étranges se manifestent. On ne peut pas recevoir une lettre de la part d'une morte... n'est-ce pas ? 🤔
Je vais commencer par mon impression générale : j'ai énormément aimé ce qu'a proposé ici Michel Bussi. Un dépaysement total, au cœur de la Corse. Je me suis sentie absolument immergée sur cette île, j'ai voyagé, j'ai pris mes vacances. J'avais l'impression d'avoir les pieds dans l'eau 🌊, le soleil sur ma peau 🌞, l'odeur de monoï qui flotte 🌸... J'avais besoin de changer d'air et ce livre me l'a permis l'espace de quelques jours. D'autant plus que l'auteur a choisi de donner la voix à Clotilde, l'effet est plus immersif encore.
Alors, bien que j'aie trouvé que l'histoire avait un peu de mal à démarrer, le fait de l'avoir écouté en audio a atténué cette impression. Une fois l'intrigue bien lancée, c'était terriblement prenant et vraiment difficile pour moi de lâcher mon casque 🎧 pour avoir mon quota de sommeil obligatoire.
J'ai trouvé la plume vraiment jolie, poétique, efficace. Elle m'a embarquée, m'a fait rêver. Dans « Maman a tort », Michel Bussi n'avait pas su me captiver. Je n'avais pas adhéré ; la lecture de Le temps est assassin ne me faisait pas du tout envie. C'est vous dire. Et finalement, la surprise a été extrêmement agréable. Ici, il a su me captiver, m'emmener avec lui, me proposer des vacances au camping des Euproctes. Vraiment, je m'y suis crue. Et les chapitres courts m'ont permis d'accrocher entièrement 😌
Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est la double temporalité. 2016 avec Clotilde et sa fille. 1989 où Clotilde a quinze ans. On suit les intrigues d'adolescents en vacances, avec leurs caractères, leurs vies respectives, leurs liens. Grâce au journal intime de Clotilde, les indices sur ce qui a pu se passer nous sont dévoilés en douceur... pour peu qu'on les comprenne. Des histoires d'adolescents liées à celles d'adultes et qui forment des drames. Jusqu'à celui qui mettra fin à tout 🥺
Pour autant, cette fin qu'on nous propose, je n'y ai pas cru. Elle ne m'a pas convaincue. C'est bien dommage, c'était pourtant bien parti 😕 Ça a commencé lentement et ça a fini... par sortir du sac de Mary Poppins. En dehors de cette impression, les personnages sont tout en nuances. Il n'y en a pas un que j'ai apprécié par-dessus tout. Pas un seul que j'ai vraiment haï. C'était beaucoup plus subtil que ça. Ils ont chacun leurs forces et leurs faiblesses, des intérêts, des valeurs.
Pour conclure, une très bonne lecture qui m'aura fait voyager et merci, parce que ça m'a fait beaucoup de bien 🏖 Alors, tentés ?
L'auteur sait nous tenir en haleine, à chaque chapitre on se fait une opinion, on essaye de comprendre, jusqu'au bout on pensera à beaucoup de chose, l'écrivain nous bluffe tout du long.
Même si sans dévoiler la fin, j'ai trouvé le dénouement un peu tiré par les cheveux, car je ne comprend pas pourquoi il s'en prend à cette famille, alors que le soucis venait de la sienne. Je trouve que d'autre suspect aurait parfaitement pu l'être et on aurait mieux compris. C'est un peu décevant.
Mais les paysages décrits comblent cette petite déception, on à la sensation d'être en Corse, aux Euproctes, de sentir le parfums des arbustes, figuier, arbousiers, de gouter les plats, de sentir les rayons du soleil, on se sent en vacances, et de quitter Clo et toute sa famille, fait un pincement au cœur.
Le soleil cogne dur sur la Balagne pour une intrigue tortueuse comme les routes corses. Le temps est assassin est un casse-tête réussi dans lequel l'écrivain prend le temps de déployer une ambiance oppressante, autour d'une famille touchée par une tragédie survenue 27 ans plus tôt. Ce drame corse s'enracine dans les traditions de l'île et la façon de vivre de son peuple. Une histoire prenante, des personnages attachants et bien construits, des rebondissements inattendus. J'ai beaucoup aimé la construction du roman qui alterne entre 1989 et 2016. On croise des amours de jeunesse, des amours adolescentes et des parents à la conduite par toujours très mature, dans une Corse sous la coupe impénétrable d'influents clans familiaux. Michel Bussi met en avant des personnages denses et humains, aux forts tempéraments. Entre flash-back, souvenirs, incertitudes et mensonges, on va de découvertes en révélations dans un décor sublime et sauvage où s'opposent deux visions du monde, celles de ceux qui veulent préserver intactes les merveilles de l'île de beauté et celles des partisans du tourisme de masse. Si l'on accepte quelques invraisemblances et un final rocambolesque, on passe un très bon moment entre les aspirations de l'adolescence et la puissance des souvenirs. Un bon polar d'été à dévorer sur la plage !
J'ai eu énormément de mal avec ce début. Déjà parce que je ne trouvais aucun intérêt à lire le journal intime d'une ado ennuyeuse et plus tard d'une adulte fade et que parce que j'en pouvais plus de voir Bussi écrire ses femmes comme des seins sur pattes juste bonnes à faire plaisir aux hommes.
Résumé
Été 1989.
La Corse, presqu'île de la Revellata, entre mer et montagne.
Une route en corniche, un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite... et bascule dans le vide.
Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux.
Été 2016.
Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l'accident, avec son mari et sa fille ado, en vacances, pour exorciser le passé.
A l'endroit même où elle a passé son dernier été avec ses parents, elle reçoit une lettre.
Une lettre signée de sa mère.
Vivante ?
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