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Le temps qui va, le temps qui vient



Description ajoutée par sennyo 2014-05-09T12:45:47+02:00

Résumé

C’est non pas une coupe de saké mais un poisson à la main que l’on pénètre dans ce petit quartier commerçant de Tôkyô. Car c’est surtout dans la boutique du poissonnier amateur de Cocteau que se rencontre la chaleureuse communauté de gens qui l’habitent. Chacun à son tour prend la parole dans une manière de fugue à la composition surprenante, à la fois très structurée et d’apparence aussi aléatoire que le hasard qui enchevêtre ces vies les unes aux autres. De chapitre en chapitre, les fils de ces existences séparées peu à peu se rejoignent et dessinent un motif qui ne deviendra pleinement visible qu’aux derniers accords de la fin.

Il est question de solitude et de rencontres, de passions secrètes, de joies modestes mais délectables, et l’écriture ne se fait jamais plus légère que lorsqu’il s’agit d’évoquer les choses graves.

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Classement en biblio - 13 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Whale 2016-05-23T18:44:53+02:00

Mme Ishihara porte Shôtarô aux nues. C'est la mère de la petite Sanae qui a un an de moins que Yukari, et depuis qu’un jour Shôtarô a défendu Sanae que d'autres garçons malmenaient, elle l'adore. Par "défendre", il faut entendre que Shôtarô s'est simplement approché du bac de sable et a crié "Arrêtez !" à l'adresse des gamins qu jetaient des poignées de sable sur la petite, enfin bon... En plus, non contents de continuer, les gamins excités par l'intervention de Shôtarô ont redoublé d'ardeur, tant et si bien que leurs victimes se sont retrouvées couvertes de sable, ils en avaient tous les deux jusque dans la culotte qui leur piquait les fesses et ils sont rentrés à la maison en pleurant. Voilà l'épisode peu glorieux qui avait fait dire à Mme Ichihara que mon fils a sauvé sa fille, enfin passons...

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Commentaires récents

Lu aussi

Le temps qui va, oui, le temps qui vient, non. J’ai l’impression d’avoir perdu mon temps en lisant ce roman. Oui bon voilà, je n’aime pas la littérature contemplative, enfin très rarement mais on va commencer par le positif.

J’aime bien l’idée qu’on suive des personnages différents et que les destins se mêlent peu à peu, ça donne envie de continuer (et surtout finir) le roman. Le narrateur fait le lien entre tous les personnages et ça m’a bien plu d’avoir une vision à la fois extérieure et intérieure de ce petit quartier de Tokyo. Voilà c’est tout, non quand même, le décor est magnifique, cette petite rue commerçante, on est plongé dedans et j’avais bien envie d’y rester encore un peu.

J’ai trouvé les chapitres un peu trop longs, sûrement dû à mon ennui latent, le temps n’est pas venu à moi comme l’annonçait le titre. La fragile harmonie ne m’a pas séduite, je suis dans une période où je préfère les thrillers et on en est loin, très loin. C’est un roman contemplatif, j’entends par là qu’il faut s’attendre à laisser les choses infuser avant d’avoir des réponses et bon… c’était long, je veux du café instantané pour avoir ma dose de caféine et on me sert un thé à pause longue, ça ne colle pas. Toutefois j’y reviendrais peut-être un jour plus calme car la plume de l’auteure est belle.

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Argent

Une réflexion en demi-teinte sur un roman contemporain d’une autrice très primée. Et pourtant, j’avais adoré « les années douces », j’attendais donc beaucoup de ce roman. Trop ? Peut être pas.

Hiromi Kawakami nous livre ici la chronique d’une petite rue commerçante de Tokyo, sous la forme des destinées croisées d’une dizaine de ses habitants qui se retrouvent tous près de la poissonnerie qui constitue le pivot géographique du roman. À tour de rôle, chaque habitant raconte ses souvenirs, ses joies, ses peines, ses découvertes et ses attentes. Dans chaque histoire apparaissent, l’espace d’un instant, les personnages entrevus ou détaillés dans d’autres chapitres. On est, dans l’esprit, plus proche d’un recueil de nouvelles ou d’un film à sketches que d’un roman. Bien que tous les personnages aient une histoire, parfois singulière, leur intérêt est inégal. Pour apprécier ce roman, il faut le lire d’une traite, explorer ce quartier en une fois, et voir d’entremêler les histoires qui dessinent, à la fin, un tableau vivant, mélancolique et quelque peu fataliste où se croisent commerçants à la vie sentimentale agitée, amants infidèles, jeunes garçons se remémorant leurs premiers émois, vieilles dames au passé agité et jeunes femmes en proie au doute ou à une certaine forme de résignation devant le quotidien. On y apprend ainsi, entre autres, comment le mari et l’amant d’une femme magnifique et morte trop tôt en sont venus à fraterniser et à travailler ensemble.

Ce roman est aussi une mise en lumière de la puissance des souvenirs. Chaque personnage, chaque caractère même nous montre comment il a été façonné, et comment sa trajectoire se retrouve contrainte par son passé. On en retire le sentiment d’une liberté illusoire, et même, parfois, inutile.

Le titre original du roman, Dokokara ittemo tōi machi, que l’on pourrait traduire par « où que vous alliez, même dans une ville lointaine » est peut-être d’ailleurs une référence à ce passé que nous ne pouvons qu’emporter avec nous et dont il est difficile de s’abstraire.

Au final, c’est un bon roman d’un auteur dont on pouvait attendre mieux, sans doute, mais qui se distingue par son ambiance particulière et sa construction originale. Si vous êtes sensible à la peinture des caractères, à la petite musique du quotidien, à la façon dont les sentiments, refoulés ou exprimés, interfèrent dans nos vies, vous serez intéressés, sinon conquis, par ce livre.

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Or

"Le temps qui va, le temps qui vient", un monde où des gens d'un même quartier se croisent, échangent, partagent.

Chaque chapitre est une parcelle de souvenir, racontée par l'un des habitants. Ils y parlent de lien familial, d'amitié, d'amour, de choix, de déception, d'attente, de doute.

Chacun d'eux nous fait partager son vécu, ces petites choses du quotidien, et des anecdotes de leur vie. Toutes ces histoires sont reliées par un personnage, un lieu, ou un souvenir.

Loin d'être un roman d'action et de fiction, Kawakami Hiromi nous fait ressentir par ce style calme et simple, l'esprit zen, des réflexions sur la vie et son sens, la simplicité de l'instant, ...

Un livre écrit avec beaucoup de sensibilité, de finesse et de poésie.

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Or

Ah, je suis la première à mettre un commentaire !

Ce livre se lit très vite, on accroche bien à la mécanique. Une succession de tranches de vies, mais elles sont toutes liées les unes aux autres. Et j'ai trouvé ça vraiment intéressant. C'est très bien ficelé et on a l'impression de faire partie de ce quartier.

Ce qui est vraiment intéressant aussi, c'est de voir que derrière chaque personne, chaque caractère, il y a une vie marquée par des évènements plus ou moins forts qui expliquent le pourquoi du comment. En cela, on peut voir une sorte de morale comme : "ne jugez pas au premier coup, vous ne connaissez pas la vie de l'autre".

Bref, un très bon livre que je recommande ^^

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Date de sortie

Le temps qui va, le temps qui vient

  • France : 2013-02-28 - Poche (Français)

Activité récente

Ansoh l'ajoute dans sa biblio or
2020-10-30T01:13:19+01:00
Ardemea l'ajoute dans sa biblio or
2016-08-06T23:51:33+02:00
Whale le place en liste or
2016-05-23T18:41:53+02:00

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 13
Commentaires 4
extraits 3
Evaluations 5
Note globale 7.2 / 10

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