Commentaires

Ce livre m'a été offert et je dois avouer que le résumé ne me faisait pas du tout envie, je partais déjà avec un avis plutôt négatif. Mais bon, je me suis dit que c'était peut être juste un mauvais résumé, que ça me sortirait de ma zone de confort et que ça pouvait être une bonne surprise.

J'aurais bien aimé...

Premièrement, la construction du livre avec les 2 histoires en parallèle (les chapitres "classiques" et les chapitres du Dieu) est assez complexe à comprendre. En effet, quand environ 6 mois se déroulent dans le monde "normal", les chapitres du Dieu s'étendent sur plusieurs années, et ce, malgré le peu de pages qu'ils contiennent.

Ce qui fait que pendant une très grosse partie du livre, on ne voit absolument aucun lien entre ces 2 histoires.

Ensuite, l'identité de Khors (que personnellement j'avais comprise assez tôt) est révélée de façon très abrupte au détour d'un chapitre classique, sans transition, ni réelle explication. Cela m'a donné l'impression de sortir de nulle part.

Je dirai que ce roman n'a pas été très bien écrit (en mon humble avis), ou en tout cas, qu'il m'a paru un peu "bâclé". Par exemple, certains personnages "disparaissent" pendant de nombreuses pages parce qu'ils sont séparés des autres (Aleksei, Théodore).

Enfin, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à Octavia et l'univers violent très (trop) présent dans l'histoire ne m'a pas plu.

Maintenant, j'ai quand même classé ce livre en "Lu aussi" et pas "Non apprécié" (ce n'est pas passé loin) parce que j'aime globalement l'univers de la magie qui a été développé (pas bien exploité à mon sens), ainsi que le personnage d'Aleksei.

Même si j'ai été un peu attirée par les premiers chapitres de la suite, je ne la lirai pas car j'ai peur d'être encore énormément déçue (ce qui est dommage, pour moi le second tome a plus de potentiel).

Je n'ai pas l'habitude d'écrire des commentaires négatifs et je suis triste de le faire. J'aurai aimé apprécier ce roman pour me prouver avoir eu tort, mais aussi découvrir une nouvelle auteure française. Cela n'a malheureusement pas été le cas...

Il est assez rare que le personnage principal d'une histoire soit un anti-héros mais Octavia en est le parfait exemple. Et c'est en cela que le récit est assez original.

Mais étant prête à tout pour ressuscité sa famille, pas mal de ses comportements ont fait que je n'ai pas réussi à m'attacher à elle malgré son histoire. Hormis Alekseï, je n'ai pas trop apprécié non plus les autres personnages du groupe.

Je trouve qu'il y a des longueurs dans le roman et cela a rendu la lecture un peu lourde. Cependant, Spoiler(cliquez pour révéler)j'ai bien aimé que l'on ne sache qu'à la fin qui se cachait derrière les chapitres du dieu, cela m'a permis de réfléchir à son identité tout du long du roman. J'ai quand même bien appréciée la fin qui a su susciter ma curiosité et je pense que je lirais le tome suivant.

Une lecture sympathique, assez différente de ce que j'ai l'habitude de lire. En effet, au centre de cette histoire, trônent les Dieux. Tout au long du roman, le lecteur en apprend sur l'accès à la divinité, le lien entre ces derniers et les magiciens, et les secrets qui gravitent autour des figures divines.

J'ai rencontré quelques difficultés à rentrer dans l'histoire, au début, mais la deuxième moitié du roman s'est révélée plus prenante que le commencement.

J'ai apprécié l'idée de la cérémonie de choix, durant laquelle les apprentis sont amenés à sélectionner la magie qu'ils souhaitent approfondir et maîtriser. Il peut s'agir des sortilèges, de la divination, de la magie des ombres, ou encore de la magie du sang, comme Octavia, l'héroïne. Ce choix, rarement privilégié par les étudiants, est dicté par un désir de vengeance, et est le reflet de la rage qui l'habite. En effet, toute sa famille a péri dans un incendie avant son entrée à l'Académie, et elle regrette d'en être sortie vivante, seule.

Derrière l'aspect fantastique du roman, un thème très ancré dans le réel est traité: le deuil, la perte d'un ou plusieurs parents, l'acceptation (ou non) de la situation. Octavia, en l'occurrence, vit dans l'illusion folle de ramener ses mères et son frère à la vie, et refuse catégoriquement d'accepter leur décès soudain.

J'aurais aimé davantage de profondeur chez les protagonistes. Je suis ressortie de ma lecture avec un sentiment d'inachevé, comme si les relations entre les héros n'étaient pas assez approfondies, et méritaient d'être davantage travaillées.

Ce roman est malgré tout une bonne découverte, et j'ai pris plaisir à le lire. Cependant, je ne suis pas certaine de me tourner vers le tome 2 lorsque celui-ci sortira. Je pense m'en tenir à ce premier tome, et me contenter de cette fin, bien qu'elle promette de nouvelles aventures pour les personnages, et probablement de nouveaux protagonistes.

Le thème est bien mais j'ai eu beaucoup de mal à le terminer ...la leture n'est pas simple

Octavia a perdu toute sa famille dans un incendie. Et elle est déterminée à tout faire pour les ramener à la vie. Aussi quand elle arrive à l'Académie, une école de magie, elle choisit la magie du sang et de s'allier au dieu maya du sacrifice et des morts violentes...

Ce roman est un coup de coeur ! Je souhaitais lire depuis longtemps un roman avec des complots des dieux, donc je suis ravie d'autant plus que l'auteur nous distille par-ci par-là des chapitres sur eux, créant à la fois frustration et suspense.

Même si Octavia est un personnage assez antipathique et que Théodore m'a un peu agacée au début, les personnages sont bien construits. Toutefois avoir un personnage principal peu sympa et qui est aussi fort que faible sur certains aspects, change un peu. J'ai surtout apprécié Clémence, qui a une vraie évolution, et le mystérieux Aleksei.

J'aurais bien aimé en savoir plus sur les cours de l'Académie mais la suite, qui va mettre en scène une secte, m'a beaucoup plu. Par moment j'avais un peu l'impression de lire un Brussolo qui est friand de ce genre d'organisation en huis-clos.

Le rythme du roman est dynamique, les révélations arrivent régulièrement et l'auteur n'a pas peur de narrer des scènes cruelles. On ne s'ennuie pas une seule seconde. Et puis les réflexions sur la vie, la mort et le sens à lui donner... sont intéressantes.

Bref, une lecture qui sera sans aucun doute l'une de mes favorites de l'année, et dont la fin me donne très envie de lire la suite !

J’ai obtenu ce livre par l’opération «lire avant tout le monde» avec Booknode. J’avoue que je m’étais inscrite à ce tirage sans grande conviction car je n’avais jamais remporté de livre. Il a fallu que j’obtienne celui-ci. Je ne m’y attendais pas et j’ai été très déçue, je n’ai pas aimé ma lecture.

Je ne connaissais pas du tout Bleuenn Guillou. Et bien, une fois mais pas deux. Je n’ai absolument pas accroché à sa plume, sa façon d’écrire et de décrire les situations. Beaucoup de détails pour pas grand chose rendant la plume lourde.

Pour revenir au livre : à première vue, ce n’est pas un livre que j’aurais acheté, par rapport à la couverture. A mon sens, elle est beaucoup trop chargée, trop de fioriture, de détails sans intérêt qui n’ont même pas de lien avec l’histoire (les fleurs tout ça, tout ça, je ne comprends leur présence sur toute la couverture). En ouvrant le livre, j’ai vu flou. Les pages sont à l’image de la couverture : chargées! J’ai eu un mal fou à me plonger dans ma lecture: les marges des pages sont très étroites et en plus sont décorées sur les côtés rendant la lecture vraiment entravée. J’ai chopé plusieurs migraines à lire tellement mes yeux avaient du mal à s’adapter à autant de choses sur une page.

Des sujets forts puissants, mais mal abordés selon moi. La notion du deuil est vraiment mal apporté. Selon moi, l’autrice n’a jamais vécu le deuil d’un proche (parents/frères) et n’a pas fait appel à des sensitives readers. (Après certains auteurs abordent ces sujets très biens, mais là, ce n’est pas le cas). Tout comme la question du suicide, du sacrifice, et de la mort.

J’ai eu un mal fou à comprendre ce changement de point de vue au départ, je trouvais ça inutile et sans intérêt. Ce n’est qu’au deux tiers que j’ai compris vraiment où cela menait. Au moins je n’ai pas lâché ma lecture et j’ai eu des rebondissements de la fin. Enfin, j’aurais peut-être préféré ne pas les avoir :J’ai vraiment eu la nausée, Spoiler(cliquez pour révéler) lors du rituel du sacrifice de Basile Lestringant, où Virgile, Octavia et Clémence, mange littéralement le coeur humain de l’homme. Mais au moins j’ai eu les véritables intentions des dieux.

C’est un roman sombre qui selon moi n’a rien à faire dans la catégorie adolescent de Hachette. Je n’imagine pas des ados de 15 ans lire ce livre aussi sombre et violent. En soit l’univers et l’idée étaient intéressants. Seulement je n’ai pas accroché à l’imagination de l’autrice et je ne recommande pas ce livre.

Une intrigue sombre et originale. Octavia est une anti-héroïne, j’ai apprécié ce point mais il m’a manqué de l’attachement aux personnages notamment ceux qui gravitent autour d’elle. Je regrette aussi quelques longueurs au milieu du roman. En revanche la fin m’a convaincue. Au programme de ce livre : rebondissements, surprises, mensonges, trahisons et violence. Cela donne envie de lire la suite !

Dès le début du roman, j'ai été étonné de voir à quel point Octavia avait une personnalité grise voire très noire. Elle est vraiment prête à tout et ça fait peur parfois de constater son égoïsme. Ca peut en exaspérer certains mais moi j'ai adoré, je trouvais ça très à propos et rafraichissant.

Sinon l'intrigue et l'univers sont bien décrits. J'aurai juste aimé me poser un peu plus dans l'histoire et en savoir plus sur Alexei et Théodore car le rythme du livre est effréné mais je pense que ce rythme contribue beaucoup à l'addictivité.

Alors, j'avoue avoir été très intrigué et emballé par cette histoire.

J'ai eu un peu de mal à me mettre dedans , certains passages sont brouillons également.

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L'intrigue est originale, des magiciens voulant devenir les héritiers des Dieux ( Grecques, Aztèques , Slaves etc... )pour 100 ans , car les Dieux ne sont pas immortels, ils reviennent sur terre au bout de 100 ans et sont remplacés par un héritier qu'ils ont eux même choisit .

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L'héroïne, Octavia, va être accompagné d'autres personnages, chacun ayant sa propre magie . J'ai pas mal apprécié son personnage , même si pour parvenir a ses fins, elle doit manipuler et mentir . Elle est rongé par un malheur, elle est déterminée a mener à bien sa mission .Je pense que beaucoup de gens ne l'apprécient pas pur ca mais je pense que c'est l'effet voulu ( elle n'a pas été choisit par Buluc pour rien ..). D'ailleurs, j'ai adoré Buluc.

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Pour moi ce fût une chouette découverte , j'en attend beaucoup du tome 2, avec peut être moins de violence si c'est possible malgré tout .

Personnages : ⭐⭐⭐⭐/5

Écriture : ⭐⭐⭐⭐/5

Univers : ⭐⭐⭐⭐/5

Additivité : ⭐⭐⭐⭐/5

Final : ⭐⭐⭐⭐,5/5

Suspens : ⭐⭐⭐⭐⭐/5

Originalité : ⭐⭐⭐⭐/5

Global : ⭐⭐⭐⭐/5

Représentation 🏳️‍🌈

Représentation Poc

❌Description physique des protagonistes faible

❌manque d'explications et approfondissements personnages secondaires.

Ce premier tome est axé sur le personnage D'Octavia et son arrivée au sein de l'académie. Elle a vécu il y a peu un drame, sa famille a péri dans un incendie dont elle est la seule rescapée. Bien déterminée a les ramener parmi les vivants, elle décide de s'initier à la dangereuse magie du sang.

En parallèle nous suivons l'intronisation du Dieu Khors, nouvel arrivant à l'Olympe pour une durée de 100 ans. Une fois le siècle écoulé, la divinité doit choisir un mortel pour lui succéder mais cela ne convient pas à tous les dieux.

Pour un premier roman, Bleuenn Guillou à réussi à offrir un monde fantastique accrocheur, sombre et palpitant. Un vrai « Page-Turner ». le MPDV à la troisième personne est un choix judicieux et intelligent.

Octavia est une héroïne antipathique. Elle ne provoque que très peu d'empathie mais j'ai apprécié la construction de son personnage. Obnubilée par son objectif, elle ne reculera devant rien pour l'atteindre. Mentir, manipuler, tuer, trahir ? Elle est prête à tout piétiner sur son passage. On a beaucoup de mal à s'identifier à ce personnage mais sa psychologie fascine. Elle défend ses convictions jusqu'au bout. Une force de caractère qui impressionne autant qu'elle fait grincer des dents.

Les personnages secondaires sont les cibles des mensonges d'Octavia, cela les confrontent à des choix cornéliens. En retrait dans la première partie du livre, ils s'affirment dans la seconde. Clémence est une véritable surprise, Théodore mérite mieux et Aleksei l'impassible était indispensable !

J'ai trouvé l'idée de mélanger les dieux de différentes religions et culture vraiment passionnant. On découvre d'autres types de mythologies et la magie se place finalement au second plan.

Ces moments à l'Olympe sont hors du temps, on perçoit l'envers du décor. Au cœur de la cohabitation divine se trame des complots et des manigances politiques. Les Dieux perchés en haut de leur tour d'ivoire se détachent de l'humanité, regardant d'un œil lointain les événements historiques les plus marquants. Ils réexaminent l'accession à l'immortalité et ses conséquences. Sans conteste ce que j'ai préféré dans le livre, cette partie était captivante !

Je me suis laissée emporter par ce premier tome qui ne divulgue pas tout le potentiel de la saga. le rythme était dynamique et les rebondissements nous font élaborer des théories invraisemblables. Au cours de l'histoire on essaye d'assembler les pièces du puzzle pour savoir ce qu'il s'est réellement produit la nuit de l'incendie. Au fil des pages on comprend qu'on était loin du compte le système magique/l'académie et l'aspect mythologique reste assez vague et les premières pages du second tome annoncent du lourd. J'ai hâte de le lire ! Sortie prévue en novembre 2022