Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 811
Membres
1 008 320

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Aiguille était Robb et Bran et Rickon, elle était Père et Mère, elle était même Sansa. Aiguille était Winterfell et ses murailles grises et les rires de ses habitants. Aiguille était les neiges d'été, les histoires de Vieille Nan, l'arbre-coeur avec ses feuilles rouges et sa face angoissante, la chaude odeur d'humus des jardins de verre, le tapage du vent du nord s'acharnant contre les volets de sa chambre. Aiguille était le sourire de Jon Snow.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Sheldie 2012-05-22T11:25:31+02:00

“J’aime sentir l’averse sur mon visage, Sam. Elle me donne l’impression que ce sont des larmes. Laisse-moi rester là quelque temps encore, je t’en prie. Cela fait une éternité que je n’ai pas pleuré."

Afficher en entier
Extrait ajouté par LizzieB 2016-05-22T15:11:18+02:00

Quand j'étais petite fille, je me figurais que tous les hommes étaient aussi nobles que mon père. Même ceux qui lui disaient comme elle était mignonne, comme elle était grande et vive et futée, comme elle était gracieuse quand elle dansait. C'est septa Roelle qui l'avait brutalement dessillée. « Ils disent ces choses à seule fin de se gagner les bonnes grâces de ton seigneur père, avait-elle déclaré. La vérité, c'est dans ton miroir que tu la trouveras, pas sur la langue des hommes. »

Afficher en entier

_ [...] J'expédierai incessamment Balon Swann à Lancehélion lui livrer la tête de Gregor Clegane.

Ser Balon serait aussi chargé d'une autre mission, mais il était préférable de taire cet aspect des choses.

_ Ah.

Ser Harys Swyft tripatouilla sa ridicule barbichette entre le pouce et l'index.

_ Il est mort, alors? Ser Gregor?

_ J'inclinerais à le penser, messire, fit en pince-sans-rire Aurane Waters. J'ai ouï dire que séparer la tête du corps est souvent mortel.

Afficher en entier

_ Lorsque tu sens le parfum qu'exhalent nos cierges en brûlant, qu'est-ce qu'il t'évoque, mon enfant?

Winterfell, aurait-elle pu confesser. Il m'évoque les aiguilles de pin, la neige et la fumée. Il m'évoque les écuries. Il m'évoque les rires de Hodor, et les ferraillement de Jon et de Robb, il m'évoque les chansons de Sansa célébrant je ne sais quelle belle dame stupide. Il m'évoque les cryptes où trônent les rois de pierre, il m'évoque le pain chaud dans le four. Il m'évoque le bois sucré. Il m'évoque ma louve, il m'évoque sa fourrure presque aussi nettement que si elle se trouvait encore auprès de moi.

_ Il ne m'évoque absolument rien du tout, fit-elle enfin, pour voir ce que son mentor dirait.

_ Tu mens, dit-il, mais libre à toi de garder tes secrets si tu le désires, Arya de la maison Stark.

Afficher en entier

Before he had lost his sight the maester [Aemon] had loved books as much as Samwell Tarly did. He understood the way that you could sometimes fall right into them, as if each page was a hole into another world.

Afficher en entier

C'est Alayne, sa fille, qu'il a sauvée, chuchota en elle une petite voix. Sauf qu'elle était également Sansa, et qu'il lui arrivait d'avoir l'impression passablement fréquente que le lord Protecteur du Val n'était pas moins lui-même deux êtres à la fois. Il était Petyr, son protecteur à elle, chaleureux, drôle et attentionné, mais il était aussi le Littlefinger dont elle avait fait la connaissance à Port-Réal et qui souriait d'un air de deux airs et caressait sa barbichette tout en susurrant à l'oreille de la reine Cersei. Et Littlefinger n'était nullement de ses amis personnels. Lorsque Joff avait ordonné de la rosser publiquement, c'était le Lutin qui s'était fait son défenseur, pas Littlefinger. Lorsque la populace avait cherché à la violer, c'était le Limier qui s'était démené pour la tirer d'affaire, pas Littlefinger. Lorsque les Lannisters l'avaient mariée malgré elle à Tyrion, c'était ser Garland le Preux qui s'était efforcé de la réconforter, pas Littlefinger. En dépit du sobriquet dont on l'affublait, Littlefinger n'avait jamais levé pour elle ne serait-ce que son petit doigt.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Nepheria 2015-12-18T13:35:23+01:00

« Tu dois les avertir, Sam, dit-il. Les archimestres. Tu dois leur faire comprendre. Les hommes qui se trouvaient à la Citadelle quand j’y étais moi-même sont morts depuis cinquante ans. Les autres n’ont jamais rien su de moi. Mes lettres... A Villevieille, ils ont dû les prendre pour les divagations d’un vieux gâteux. Tu dois les convaincre, alors que moi je n’ai pas su. Dis-leur, Sam... dis-leur comment c’est, sur le Mur... les spectres et les marcheurs blancs et le froid qui progresse en rampant...

— Je le ferai, promit Sam. J’ajouterai ma voix à la vôtre, mestre. Nous le leur dirons tous les deux... tous les deux, ensemble.

— Non, fit le vieil homme. Il faudra que ce soit toi. Dis-leur. La prophétie... le rêve de mon frère... Lady Mélisandre a mal interprété les signes. Stannis... Stannis a un peu de sang du dragon dans les veines, oui. Ses frères en avaient aussi. Rhaella, la gamine de l’Œuf, c’est par elle qu’il leur en est venu... la mère de leur père... elle m’appelait Oncle Mestre quand elle était toute petite. Je me suis souvenu de ça, alors je me suis permis d’espérer..., peut-être bien que je l’ai voulu… nous nous abusons tous nous-mêmes, quand nous voulons croire à tout prix. Mélisandre plus que quiconque, à mon avis. L’épée est fausse, il faut qu’elle sache ça..., de la lumière sans chaleur... un prestige vide... l’épée est fausse, et la lumière fallacieuse ne peut nous mener que plus profondément dans les ténèbres, Sam. Daenerys est notre espoir. Dis-le-leur, à la Citadelle. Fais-toi écouter d’eux. Ils doivent lui envoyer un mestre. Daenerys doit être conseillée, instruite, protégée. Pendant toutes ces années, je me suis attardé à attendre, à guetter, et maintenant que le jour a commencé à poindre, je suis trop vieux. Je suis en train de mourir, Sam. »

Afficher en entier

_ Messire Commandant, lui lança ser Kevan quand il vint chevaucher près de lui à la tête de la colonne. Sa Grâce a-t-elle quelque ultime consigne à me faire signifier?

_ Cersei n'a rien à voir dans ma présence ici.

Un tambour commença à battre dans leur dos, sur un rythme lent, solennel, lugubre. Mort, semblait-il déclarer, mort, mort.

_ Je suis venu lui faire mes adieux. Il était mon père.

_ Et son père à elle.

_ Je ne suis pas Cersei. Moi, j'ai de la barbe, elle des nichons. Si vous persistez à nous confondre encore, Oncle, comptez nos mains. Cersei en a deux.

_ Vous avez un fieffé penchant pour la dérision, tous les deux, riposta Kevan. Épargnez-moi vos plaisanteries, ser, elles ne sont pas de mon goût.

_ Comme il vous plaira.

Afficher en entier

_ Nous sommes ses héritiers, Jaime, lui chuchota-t-elle. C'est de nous qu'il dépendra d'achever son oeuvre. Tu dois prendre la place de Père en qualité de Main. Tu t'en rends sûrement compte, maintenant. Tommen aura besoin de toi...

Il dénoua leur étreinte en la repoussant puis leva son bras pour lui fourrer son moignon sous les yeux.

_ Une Main sans main? Quelle mauvaise plaisanterie, soeur. Ne me demande pas de gouverner.

[...]

_ Gouverner? J'ai soufflé mot de gouverner? Première nouvelle! C'est moi qui gouvernerai jusqu'à ce que mon fils ait l'âge requis pour ce faire.

_ Je ne sais qui plaindre le plus, rétorqua son frère. De Tommen ou des Sept Couronnes.

Elle le gifla. Avec une prestesse de félin, le bras de Jaime se dressa pour parer le coup... Mais ce félin-là n'avait qu'un moignon d'infirme en lieu et place de main droite, et cinq marques rouges fleurirent sa joue.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode