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Comment Lord Eddard Stark, seigneur de Winterfell, Main du Roi, gravement blessé par traîtrise, et par la même plus que jamais à la merci de la perfidie de la reine Cersei ou des imprévisibles caprices du despotique Roi Robert, aurait-il une chance d'échapper à la nasse tissée dans l'ombre pour l'abattre ?
Comment, armé de sa seule et inébranlable loyauté, cerné de toutes parts par d'abominables intrigues, pourrait-il à la fois survivre, sauvegarder les siens et assurer la pérennité du royaume ?
Comment ne serait-il pas voué à être finalement broyé dans un engrenage infernal, alors que Catelyn, son épouse, a mis le feu aux poudres en s'emparant du diabolique nain Tyrion, le frère de la reine ?
Si les hautes figures, les personnages émouvants et les monstres sadiques conservent dans LE DONJON ROUGE la place de choix qu'ils occupaient dans LE TRÔNE DE FER, ce sont surtout les femmes qui tiennent cette fois les premiers rôles : lionnes ou louves, amantes, épouses ou mères, jeunes filles en fleur innocentes ou rebelles, elles réservent à leurs seigneurs et maîtres, censés pourtant dominer la partie, les plus suaves et déchirantes surprises...
L'un des plus dur de la série , je dois l'avouer . On s'attache à un grand personnage qui dès le second tome connait un destin tragique . Le ton est donné , Martin n'épargnera aucun de vos petits préférés :(
Ne croyez pas que vous allez vous reposer de suite en lisant ce tome 2. Vous partez sur les chapeaux de roue ! Les intrigues sont nouées de toutes parts, vous laissant haletant au milieu des pages. Et ne croyez pas que vous vous reposerez d’un personnage à un autre ! Tous y sont liés d’une manière très fine et très forte. Et ne pensez pas non plus que tout est tiré par les cheveux.
Toutes les pièces du puzzle commencent à s’assembler devant vos yeux. Et c’est ce qui est génial avec cette série de livres. Vous avez l’impression de lire et d’assembler un puzzle. Vous découvrez une partie, puis allez sur une autre, doucement. Vous l’abandonnez pour aller sur une autre partie qui s’entremêle à une autre.
Et pourtant, le sentiment dominant de ce tome n’est pas l’intrigue !
Le dominant est la survie ! Au jeu des trônes, on gagne ou on meurt. Mais l’on ne parle pas du jeu entier. On parle de bouts de partie, de batailles physiques ou psychologiques d’ailleurs. Le donjon rouge va ainsi nous permettre d’approfondir un personnage que je commence à affectionner : Aeris Targaryen, qui apparaît plus une femme forte qu’une jeune adolescente. On y voit son caractère se forger petit à petit.
L’autre sentiment est le sentiment de fratrie. Que l’on observe grandissant auprès des membres de la Garde de Nuit, changeant dans le Kalashar, approfondi chez les Stark, nouveau chez les Lannister… Je ne vous en dévoilerai pas plus. Mais les familles sont à l’honneur ici. Et elles laissent des tas de promesses pour le tome 3
La cruauté domine le Donjon Rouge. Mais la cruauté est belle avec ce tome. Car il vous repait mais vous laisse complètement affamé de la suite de ces aventures avec une seule question : mais jusqu’où ira-t-il ?
Un deuxième tome palpitant. Il se passe tellement de choses en l'espace de quelques mois. J'ai aimé suivre les aventures des personnages. Beaucoup sont naïfs, d'autres encore sont d'une cruauté absolue. À partir de cette première intégrale, je ne me rappelle plus exactement de tous les détails de cette histoire, mais il me tarde de découvrir la suite. Je comptais attendre avant de continuer, mais je ne résiste pas. J'y vais de ce pas !
Toujours aussi bon, haletant, presque éprouvant. On ressort presque épuisé de chaque chapitre, tellement l'interconnexion des persos et des intrigues rend chaque destin, chaque décision, plus impactante et importante.
J'ai pas vu la série, volontairement, et ai pu me préserver de spoilers concernant beaucoup de cadres d'intrigue et de persos. Par contre, forcément, les principales morts, non. C'est pour ça que j'avais hélas peu d'espoir pour celui qui est exécuté dans celui-ci.
Les persos sont d'une variété et d'un réalisme saisissant, car leur dialogues sont superbement écrits. L'écriture du traducteur on s'y accommode aisément.
Il m'aura fallu néanmoins plus d'un tome (donc dans le cours de celui-ci) pour pouvoir replacer les personnages (dans leur alignement, leurs allégeances, leurs familles) et mémoriser les noms.
La série littéraire à l'origine de la série télévisée, Le trône de fer, est une série romanesque de fantaisie médiévale. Ce sont des romans qui montrent vraiment les vraies horreurs de la guerre. George R.R. Martin ne glorifie pas la guerre, il nous la montre avec ses conséquences.
La série inspirée des Rois maudits, rois réels de notre monde, c'est une série majoritairement politique, mais ses sombres légendes et l'histoire très vaste de l'univers. Je dirais qu'il n'y a que Tolkien et George R.R.Martin pour avoir créé des univers aussi grands et détaillés. Point de plus de George Martin, c'est la richesse de ses maisons et ses personnages.
Pour ses personnages, qui donnent leur point de vue chacun leur tour dans les chapitres, sont un des nombreux points forts du Trône de fer. On s'attache à beaucoup. Moi particulièrement avec les Stark et leurs valeurs. Il y a des personnages à foison : de personnages fourbes sans scrupules, des mères de famille, des enfants encore naïfs, des guerriers, des nobles et beaucoup encore.
L'histoire aussi est un énorme point fort. Malgré la politique qui est peut-être un peu trop présente, les péripéties sont vraiment bien menées deux premiers tomes d'une grande série. Ce n'est qu'un début, mais pas qu'un mince ! Quand je parle d'histoire, il s'agit aussi de l'Histoire de ce monde. Avec l'histoire des premiers hommes, des interminables hivers, les marcheurs blancs, les dragons et les Targaryens. Et la magie ! Mais, la fantaisie n'est pas très grande dans cette série. Elle n'a pas exagérée. On pourrait presque s'imaginer que cela aurait pu être possible.
N'oublions pas de mentionner les descriptions et la géographie de l'univers qui sont vraiment détaillées et intéressantes.
Un seul point négatif, qui ne concerne que la traduction française. Je tiens à aviser des éventuels lecteurs qui pourraient être refroidis par le registre de langage présenté par Le trône de fer. Personnellement, je lis beaucoup, donc j'adore, mais objectivement, c'est un point de moins pour des lecteurs qui n'aimeront pas cette traduction.
Waw ! Comparé au premier, ce tome est presque horrible, mais c'est compréhensible. Le premier tome introduisait les grandes lignes du récit à venir, celui-ci en marque le début.
Le Trône de fer ne manque pas de personnages. Heureusement, le premier tome réussit à bien nous familiariser avec l’univers et ses multiples Maisons. Le Donjon rouge n’accueille que peu de nouveaux protagonistes, histoire de développer ceux déjà présents, et on n’en manque pas ! Concernant l’intrigue, elle est dans la droite lignée que ce qu’a créé le premier tome, les protagonistes agissant de manière logique au vu de leur caractère, mais non pas moins étonnante.
Le Donjon rouge révèle déjà le plaisir de George R.R. Martin à malmener, voire tuer, ses personnages, et souvent dans bien d’horribles souffrances, quoiqu’elles ne manquent pas d’ironie. Finalement, personne n’est à l’abri.
Si l’histoire promet de bons retournements et des moments de tension, il est vrai que l’auteur aime s’adonner à la contemplation, notamment avec Bran, garçon Stark maintenant handicapé et qui rêve de voler. Cela peut rebuter ceux qui recherchent une histoire principalement tournée vers les combats frontaux et les intrigues de cour. Mais finalement, c’est tout ce qui fait la beauté, souvent bien amère, et la complexité du Trône de fer : proposer tant d’ambiances différentes pour finalement, en premier lieu, décortiquer la psychologique de tous ses personnages en proie à des sentiments forts comme aux doutes et à l’introspection.
Résumé
Comment Lord Eddard Stark, seigneur de Winterfell, Main du Roi, gravement blessé par traîtrise, et par la même plus que jamais à la merci de la perfidie de la reine Cersei ou des imprévisibles caprices du despotique Roi Robert, aurait-il une chance d'échapper à la nasse tissée dans l'ombre pour l'abattre ?
Comment, armé de sa seule et inébranlable loyauté, cerné de toutes parts par d'abominables intrigues, pourrait-il à la fois survivre, sauvegarder les siens et assurer la pérennité du royaume ?
Comment ne serait-il pas voué à être finalement broyé dans un engrenage infernal, alors que Catelyn, son épouse, a mis le feu aux poudres en s'emparant du diabolique nain Tyrion, le frère de la reine ?
Si les hautes figures, les personnages émouvants et les monstres sadiques conservent dans LE DONJON ROUGE la place de choix qu'ils occupaient dans LE TRÔNE DE FER, ce sont surtout les femmes qui tiennent cette fois les premiers rôles : lionnes ou louves, amantes, épouses ou mères, jeunes filles en fleur innocentes ou rebelles, elles réservent à leurs seigneurs et maîtres, censés pourtant dominer la partie, les plus suaves et déchirantes surprises...
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