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Haï de tous et constamment en butte aux intrigues de sa propre sœur, la reine régente Cersei, Tyrion le Lutin se démène de son mieux pour préserver Port-Réal et rallier à la cause de sa maison de grands seigneurs rétifs. Le nouveau roi du Nord, Robb Stark, menace les domaines Lannister et expédie sa mère auprès de Renly Baratheon, rival direct de son propre frère, Stannis. Obtiendra-t-elle l'union sacrée contre l'adversaire commun ? Que pèse la bonne volonté des hommes face aux rivalités des dieux ou des puissances occultes qui se déchaînent en leur nom ? Comment Winterfell lui-même ne serait-il pas submergé sous les vagues d'adeptes du dieu Noyé ? Que peut la Garde de Nuit face aux sauvageons, complices insidieux des Autres ? A l'évidence, l'hiver vient pour le royaume des Sept Couronnes.
Maléfices, émeutes, guerre, confusion, haine, meurtres et démence, voilà ce que présageait, semble-t-il, sous des noms divers, la comète rouge : l'imminence d'un chaos sanglant. Fétu que l'individu – qu'il s'appelle Arya, Sansa, Bran, Tommen, Myrcella... – dans cette furia de mort. Fétu que l'enfance, et pourtant, quelle vitalité !
Il y a comme de l’électricité dans l’air… Les choses vont de mal en pis maintenant que les pions sont placés et l’on ressent une pression, une oppression, je dirai même de plus en plus forte. On se transforme, au fil de la lecture, comme des animaux traqués, ne sachant plus en qui faire confiance. Et une seule question se pose : vers qui se tourner ? Car si l’ombre maléfique vient, rien ne laisse présager de bon.
L’ombre maléfique ? La vérité ?
En effet, en préparant cette guerre, on se rend compte que des toiles tombent petit à petit, comme de lourds secrets que l’on ne peut plus porter. Ces vêtements trop lourds nous empêchant d’avancer, est ce que le fait de les enlever nous libèrera ? Ou cela causera-t-il notre perte ?
C’est l’éternelle question que tout le monde se pose dans les Sept Royaumes. Mais il y a toujours ceux qui acceptent la vérité et ceux qui ne sauraient la regarder en face. Ceux qui le peuvent détiennent la vraie force.
Objectivement il ne se passe pas grand chose dans ce tome
Mais quelle idée d'avoir découpé la version originale pour en tirer des tomes trop courts, ok... on allège sensiblement le pavé mais du coup où on en ressort avec la désagréable sensation qu'il manque quelque chose. Pour le 1 et le 2 ça passait encore, mais le 4 (à l'image du 3) est clairement trop court et manque cruellement d'action. Du côté de Jon-Snow et d'Arya, on s'ennuie un peu, les descriptions trainent en longueur, on a hâte que ces deux-là coupent des têtes ! Du côté de Daenerys c'est pareil, à mon grand dam. L'insupportable Joffrey a plus d'impact dans la série TV, mais globalement les Lannister sont toujours au top de la cruauté. Du côté de Pyredragon et d'Accalmie, on sent l'orage gronder, mais c'est encore très lent, trop lent, et les frères Baratheon manquent un peu de charisme. Il était temps que Brienne apparaisse, super personnage. Elle et le limier (toujours délicieusement inquiétant) font partie de ces personnages indispensables qu'on adore. Sinon les décalages avec la série TV commencent à se faire sentir. On patauge toujours dans la saison 2 en étant relativement loin de la fin. Heureusement cette partie fait la part belle à Tyrion, qui avec ses répliques sarcastiques sauve ce tome du naufrage. Attention l'oeuvre de Martin reste un chef-d'oeuvre qu'il est très difficile de lâcher.
Sans être un mauvais tome de la saga, loin de là, l'ombre maléfique est celui qui m'a le moins plu. Les différentes intrigues n'avancent pas beaucoup et tous les personnages ne se valent pas (Thyrion est de loin le meilleur et Arya la moins intéressante). Cependant, l'ambiance générale est très bien décrite (intrigue politique, noirceur, manque de confiance et préparatifs de guerre) et contribue largement à la réussite de ce tome. Vivement le tome 5!!! Ma note: 13/20
La 2e partie du 2e tome (VO), ici donc toujours une situation de guerre entre les rois, qui va enfin trouver son dénouement entre Renly et Stannis. L'ombre maléfique fait référence aux pouvoirs de Mélisandre, et à ce nouveau dieu monothéiste.
Un truc assez classique ça, dans la fantasy ; le nouveau monothéiste qui chasse l'ancien polythéisme. Un truc que la fiction aiment bien reprendre de l'Histoire.
Bref toujours aussi prenant. Pour Westeros cependant. Je trouve les passages avec Daenerys assez lointains (et pour cause, j'ai dû chercher une carte sur le net pour enfin savoir où elle est), et son intrigue à Qarth plutôt hors-sujet. Alors non, dans l'absolu bien sûr, mais il n'empêche que sur Westeros on est là avec les familles et tout est lié, et là-bas Daenerys parade avec ses dragons et réfléchit à comment avoir une armée.
Ça y est, la bataille des rois est réellement lancée. L’Ombre maléfique entre vraiment dans le vif du sujet avec complots, assassinats, alliances et chantages. Et si l’on ne suit pas toujours (hormis Tyrion et Stannis) directement les potentiels candidats à la couronne comme Robb, Renly ou Joffrey, on ne perd pas une miette des avancées et défaites de chaque clan. Mais, il n’y pas pas que la guerre pour le Trône de fer qui est en jeu, et c’est bien là tout le sel de cette saga tant appréciée. Effectivement, si la politique du royaume reste omniprésente, George R.R. Martin continue de s’intéresser à des destins très éloignés des considérations pour le pouvoir royal.
Tous ces destins très éloignés les uns des autres forment une toile d’araignée très minutieusement travaillée par son auteur. Car, c’est lorsque ces personnages se rencontrent (ou se rencontreront dans le futur) que l’on se rend compte du talent d’écriture de Martin pour construire ses personnages et leurs intrigues.
Dans la lignée des tomes précédents, L’Ombre maléfique avance d’un grand pas dans la guerre pour le Trône. Aussi, si le surnaturel pointait déjà le bout de son nez avec les Autres au Mur et la naissance des dragons à Essos, ce quatrième tome laisse pleinement surgir une vraie forme de magie au sein de l’univers avec la prêtresse Mélisandre, une forme sombre, nourrie par les ombres et les ténèbres. De ce côté-là, on peut également penser aux rêves verts et aux rêves de loup autour de Bran qui tente toujours de comprendre les paroles de la Corneille et son propre rôle à jouer avant l’arrivée de l’hiver. En définitif, et même si la traduction reste assez ampoulée, nous obligeant à rester concentré pour tout comprendre, ce quatrième tome est le plus riche et le plus abouti depuis le début du Trône de fer.
Une chouette lecture. J'ai bien aimé l'histoire. On continue de suivre les différents personnages narrateurs de l'histoire. Je trouve ça vraiment chouette car ça nous permet d'avoir une vue d'ensemble sur tout ce qu'il se passe dans le royaume et même au-delà.
Un très bon tome bien dans la continuité des précédents, les intrigues entremêlées se poursuivent. Les personnages sont toujours aussi intéressants par leur complexité, j'aime notamment Tyrion.
Ce tome ne conclut rien mais laisse un suspense phénoménal pour la suite que j'ai très hâte de découvrir !
Je commence à galérer niveau lecture, je pense faire une pause. L'histoire est vraiment bien et j'étais convaincue que je devais me faire la saga entière d'un coup pour ne rien oublier tellement l'univers est complexe mais là ça devient trop compliqué à suivre.
L'écriture de Martin est bonne, et l'histoire est bien tournée. Les personnages sont variés et l'on rentre de plus en plus profondément dans leurs psychologie. Je connais déjà une partie de l'histoire, mais les détails enrichissent tellement la série !
Résumé
Haï de tous et constamment en butte aux intrigues de sa propre sœur, la reine régente Cersei, Tyrion le Lutin se démène de son mieux pour préserver Port-Réal et rallier à la cause de sa maison de grands seigneurs rétifs. Le nouveau roi du Nord, Robb Stark, menace les domaines Lannister et expédie sa mère auprès de Renly Baratheon, rival direct de son propre frère, Stannis. Obtiendra-t-elle l'union sacrée contre l'adversaire commun ? Que pèse la bonne volonté des hommes face aux rivalités des dieux ou des puissances occultes qui se déchaînent en leur nom ? Comment Winterfell lui-même ne serait-il pas submergé sous les vagues d'adeptes du dieu Noyé ? Que peut la Garde de Nuit face aux sauvageons, complices insidieux des Autres ? A l'évidence, l'hiver vient pour le royaume des Sept Couronnes.
Maléfices, émeutes, guerre, confusion, haine, meurtres et démence, voilà ce que présageait, semble-t-il, sous des noms divers, la comète rouge : l'imminence d'un chaos sanglant. Fétu que l'individu – qu'il s'appelle Arya, Sansa, Bran, Tommen, Myrcella... – dans cette furia de mort. Fétu que l'enfance, et pourtant, quelle vitalité !
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