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Les écrivains ne sont pas gens comme les autres, poursuivit Waldegrave. Croyez-moi. Tous ceux qui ont un tant soit peu de talent ont aussi un grain.

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Si vous cherchez des amitiés sincères, généreuses et pérennes, engagez-vous dans l’armée et apprenez à tuer. Si vous préférez des liens éphémères avec des gens qui exercent le même métier que vous et se réjouiront de tous vos échecs, écrivez des romans.

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Produisant son habituel vacarme métallique, le train ramenait Strike vers le misérable deux-pièces cuisine où il avait installé ses pénates. Un logement mal isolé, perché sous les toits. Malgré sa fatigue, observant les faces inexpressives, les mines soumises des autres voyageurs, il songeait à l’incroyable série de coïncidences qui avait abouti à leur arrivée sur cette terre. Tout bien considéré, chaque naissance était le fruit du hasard. Sur cent millions de spermatozoïdes nageant à l’aveugle dans les ténèbres, quel était le taux de probabilité pour que l’un d’entre eux eût donné lieu à la création de tel ou tel de ces individus ? Parmi les centaines de passagers circulant dans cette rame, combien avaient été désirés ? se demanda-t-il en défaillant presque d’épuisement. Combien étaient nés par accident, comme lui ?

À l’école primaire, il avait connu une petite fille au visage marqué d’une tache de vin. Strike se sentait proche d’elle, comme s’ils faisaient partie de la même famille. L’un comme l’autre étaient porteurs d’un signe distinctif, d’une trace indélébile et totalement imméritée. Au quotidien, ils ne la remarquaient même pas, mais les autres autour d’eux ne se gênaient pas pour la leur rappeler. Jusqu’à l’âge de cinq ans, il avait cru que les gens s’intéressaient à lui pour des raisons liées à sa petite personne. Par la suite, il comprit qu’ils ne voyaient en lui que le rejeton du célèbre chanteur, la preuve vivante de ses écarts de conduite. Strike n’avait croisé son père biologique que deux fois dans sa vie. Jonny Rokeby n’avait reconnu sa paternité que contraint et forcé après une analyse ADN.

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Robin fit la grimace. La jeune femme au hijab descendit à Gloucester Road.

« Je doute qu’il y ait des caméras dans une petite librairie », soupira Robin. Depuis l’affaire Landry, elle était très attentive aux systèmes de surveillance.

« Je pense qu’Anstis l’aurait mentionné », dit Strike

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"- Vous voulez du thé, du café ?

- Du ca... fé... s'il vous pl...

- Mais enfin, Robin, elle a voulu me poignarder!

- Et alors? Elle n'a pas réussi, que je sache! répliqua-t-elle en remplissant la bouilloire.

- La maladresse n'est pas une circonstance atténuante", articula Strike qui n'en croyait pas ses oreilles.

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« J’ESPÈRE AU MOINS QUE c’est pour m’annoncer la mort d’une superstar, Strike », dit la voix rauque au bout du fil.

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Strike s’était toujours demandé pourquoi le public avait tendance à considérer les gens célèbres comme des saints, alors même que les journaux les éreintaient, les traquaient, les traînaient dans la boue. Peu importait le nombre de stars convaincues de viol ou de meurtre, la croyance populaire persistait : Non, pas lui. Il n’aurait jamais fait ça. Il est célèbre.

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"Liz m'en a fait porter un exemplaire, vendredi dernier, dit Fisher avec un sourire toujours plus moqueur. La pauvre! La plus grosse erreur de sa vie.

- Pourquoi dites-vous cela?

- Parce que, de toute évidence, elle ne l'avait pas lu attentivement, du moins pas jusqu'à la fin. Deux heures après l'avoir reçu, je trouve un message d'elle sur mon portable: "Chris, je me suis trompée, je t'ai envoyé le mauvais manuscrit. Ne le lis pas, je t'en prie, retourne-le immédiatement, je reste au bureau pour le réceptionner". Elle était complètement paniquée, ce qui ne lui arrive jamais. En général, Liz Tassel est un vrai dragon. Personne n'ose lui tenir tête.

- Vous l'avez renvoyé?

- Bien sûr que non. J'ai passé presque tout mon samedi à le lire.

- Et alors?

- Vous n'êtes pas au courant?

- De quoi?

- De ce que contient ce bouquin, dit Fisher. De ce qu'Owen a fait.

- Qu'est-ce qu'il a fait?"

Le sourire de Fisher s'effaça d'un coup.

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- Pourquoi ? demanda Strike.

- Pourquoi quoi ?

- Pourquoi les gens font-ils ce genre de choses ?

- Vous voulez parler des blogs ? Je n'en sais rien... Qui a dit que la vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue ?

- Platon, répondit Strike, mais je ne vois pas où est l'examen. Moi j'appelle ça de l'exhibitionnisme.

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- Je n'imagine pas une femme capable de commettre de telles atrocités, rétorqua Robin en regardant le portable de Strike, posé sur le bureau.

- C'est que vous ne connaissez pas l'histoire de cette Australienne qui a écorché son amant; lui a coupé la tête et les fesses et les a fait cuire en ragoût. Elle a poussé le vice jusqu'à servir le plat aux enfants de la victime.

- Vous plaisantez ?

- Pas du tout. Vous n'avez qu'à regarder sur Internet. Quand les femmes s'y mettent, elles n'y vont pas de main morte.

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