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Il avait subi quelques déboires sentimentaux, car les femmes se lassent vite d’un homme qui ne fait que manger, dormir et travailler, et qui ne prend une douche que le dimanche.

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Iouli Borisovitch Popov vivait et travaillait dans la ville de Sarov, dans la région de Nijni Novgorod, à une distance de trois cent cinquante kilomètres environ à l'est de Moscou.

Sarov était une ville secrète, presque plus secrète encore que l'agent secret Ryan Hutton. Elle n'avait même plus le droit de porter le nom de Sarov, et avait été rebaptisée du nom peu romantique d'Arzamas-16. On ne la trouvait sur aucune carte. Sarov existait et n'existait pas, selon qu'on se réfère à la réalité ou autre chose. A l'inverse de Vladivostok pendant les quelques années qui suivirent le 1er mars 1953.

La ville entière était entourée de barbelés et aucun être humain ne pouvait y pénétrer sans passer par un poste de contrôle rigoureusement surveillé. Il était vivement déconseillé à tout détenteur d'un passeport américain qui aurait été de près ou de loin en relation avec l'ambassade américaine de Moscou de songer à même approcher du site.

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"En résumé, j'ai été abandonné par ma mère, renié par mon père et doté de l'intelligence d'un sac de pommes de terre. Je n'ai pas travaillé un seul jour de la vie, je me suis contenté de vivre de l'héritage de mon père, et personne ne m'a jamais entendu émettre une idée sensée."

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Allan examina le corps et remarqua :

- il a des pieds minuscules pour sa taille. Je suppose qu'il n'a plus besoin de ses chaussures, qu'en penses-tu ?

Julius repondit que la matinée était un peu fraîche et que le jeune homme, lui, ne risquait pas de s'enrhumer.

Si elles lui allaient, Allan n'avait qu'à lui emprunter.

Qui ne dit mot consent.

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- J'ai une fois de plus la confirmation qu'il ne sert à rien de commencer sa journée en essayant d'imaginer ce qui va se passer, dit Allan

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- Le car 202 part dans trois minutes en direction de Strängnäs. Est-ce que cela vous conviendrais ?

Oui, cela conviendrait parfaitement à Allan. Le petit homme l'informa que le car partait de la place de stationnement qui se trouvait juste devant la porte du terminal et que le plus pratique était d'acheter le billet directement au chauffeur.

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Les choses se déroulèrent ainsi : Hinken, étonné, sortit en titubant de la Mustang et se mit à fouiller dans un sac tombé sous la banquette arrière pour y prendre son revolver. Il visa d’abord l’arrière-train de l’éléphante, puis se ravisa et dirigea l’arme sur Allan et les trois amis en rang d’oignons sur la véranda. Avec un manque total d’imagination, il cria :

— Les mains en l’air !

— Les mains en l’air ?

C’était la chose la plus bête qu’Allan ait entendue depuis longtemps et il se mit à disserter sur la question. Qu’est-ce que ce monsieur imaginait qu’il allait se passer s’ils ne s’exécutaient pas ? Craignait-il que lui, Allan, vénérable centenaire, ne l’attaque à coups de pommes ? Ou bien que la fragile demoiselle ici présente ne le mitraille de fraises belges ? Ou encore que…

— Ça va, ça va, mettez les mains où vous voulez, mais pas d’embrouilles, d’accord ?

— Des embrouilles ? Quel genre d’embrouilles ?

— Oh, la ferme, papy ! Dis-moi plutôt où est passée cette putain de valise.

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— Tu as traversé l’Himalaya, toi ? À cent ans ?

— Non, je ne suis pas fou, quand même. Vous savez, monsieur le procureur, je n’ai pas toujours eu cent ans. C’est même assez récent.

— On peut contin…

— Eh oui, on grandit et puis on vieillit, philosopha Allan. On ne se l’imagine pas quand on est petit… prenez le jeune Kim Jong-il, par exemple. Le pauvre sanglotait sur mes genoux, et maintenant il est chef d’État, avec tout ce que cela comporte comme…

— Est-ce qu’on ne pourrait pas le laisser de côté, monsieur Karlsson, et…

— Ah oui, excusez-moi, mais je croyais que monsieur le procureur voulait entendre le récit de ma traversée de l’Himalaya. Pendant les premiers mois, j’avais pour seul compagnon un chameau, et on peut dire ce qu’on veut sur ces bêtes-là mais elles sont drôlement sympathiques quand on…

— Non ! supplia le procureur Ranelid. Je ne veux pas. Je voulais juste… tu ne pourrais pas simplement…

Puis le procureur se tut complètement l’espace d’une minute, avant de dire d’une voix très lasse qu’il n’avait plus d’autres questions… à part peut-être une seule : pourquoi s’étaient-ils cachés tout ce temps ici, dans le Västergötland, s’ils n’avaient rien fait de mal ?

— Vous étiez innocents, non ?

— L’innocence peut être une notion fluctuante selon le point de vue où l’on se place, dit Benny.

— Ah, ça me fait penser au général de Gaulle et au président Johnson. Qui avait tort et qui avait raison dans le contentieux qui les opposait ? Je n’ai pas soulevé la question quand j’étais avec eux, parce que nous avions des affaires plus importantes à régler, mais…

— Cher, cher monsieur Karlsson, dit le procureur Ranelid. Si je vous le demandais à genoux, vous tairiez-vous ?

— Oh, monsieur le procureur n’a pas besoin de se mettre à genoux. Je serai aussi silencieux qu’une petite souris à partir de maintenant, je vous le promets. En cent ans je n’ai eu la langue trop bien pendue que deux fois : quand j’ai expliqué à l’Ouest comment on fabriquait une bombe atomique, et quand j’ai fait la même chose à l’Est.

Le procureur Ranelid songea qu’une bombe atomique était peut-être LA solution, surtout si Karlsson était assis dessus.

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Comme beaucoup de choses qui s’étaient dites ce matin, la traduction de Benny avait peu à voir avec la réalité. Il avait improvisé afin de tirer Gerdin le Brochet de l’embarras. Benny avait presque une licence de russe, vu qu’il ne s’était pas présenté à l’examen final, mais cela remontait à pas mal de temps, et tout ce qu’il avait trouvé dans l’urgence pouvait se traduire par : « Un fumeur ne deviendra jamais un grand footballeur. »

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L’auto-école de Herbert fut un succès. Presque tous ceux qui voulaient passer leur permis de conduire voulurent apprendre avec le sympathique Visage pâle. Herbert joua parfaitement son rôle. Il donnait lui-même les cours de code, pendant lesquels il expliquait le plus sérieusement du monde qu’il ne fallait pas rouler trop vite sur les routes si on ne voulait pas percuter une autre voiture. Qu’il ne fallait pas non plus rouler trop lentement pour ne pas gêner la circulation. Les élèves hochaient la tête et prenaient des notes. L’instructeur semblait savoir de quoi il parlait.

Au bout de six mois, toutes les autres auto-écoles avaient fait faillite, et Herbert se retrouva en situation de monopole. Il raconta l’histoire à Allan lors de l’une de ses visites hebdomadaires sur la plage.

— Je suis fier de toi, Herbert, dit Allan. Qui aurait pensé que toi, tu puisses devenir instructeur d’auto-école ! Avec la conduite à gauche et tout ça…

— La conduite à gauche ? fit Herbert. On conduit à gauche en Indonésie ?

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