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Extrait ajouté par PetitRoussignol 2021-06-29T15:22:04+02:00

- Vous avez des indices : des empreintes, des traces de sang, je ne sais pas ?

- Tu as l'air de beaucoup t'intéresser au sang, remarqua l'inspecteur avec un sourire amical.

- Oh ! oui, répondit Jan le plus naturellement du monde. J'aime le sang. Il est d'une couleur magnifique, pas vrai? Ce beau rouge clair...

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Extrait ajouté par SherCam 2019-05-29T14:49:23+02:00

Le fond du problème, c'est que le sexe sensible - le sexe faible, si vous préférez - , ce sont les hommes. Les femmes sont plus coriaces. Les hommes n'arrivent pas à prendre le meurtre comme allant de soi. Les femmes, apparemment, si.

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Extrait ajouté par zarg 2018-03-28T12:46:21+02:00

Les douze coups de minuit n'allaient pas tarder à sonner en cette froide soirée de Novembre. D'épaisses nappes de brouillard masquaient en partie l'étroite route de campagne. Obscure et bordée d'arbres, à peine mieux qu'un chemin vicinal, elle serpentait au sur du pays de Galles, non loin du canal de Bristol où une corne de brume poussait son mugissement mélancolique à intervalles réguliers.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:24:18+02:00

On prétend que l’adversité vous améliore le caractère, dit-elle. Elle ne lui a pas amélioré le sien, bien au contraire. Elle a développé tous ses défauts : son esprit rancunier, son fond de sadisme, son goût pour la boisson. Il rendait la vie impossible à tout le monde dans cette maison, et nous le supportions tous avec ses caprices, ses phobies et ses fureurs parce que

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:24:11+02:00

Mais vous l’avez fait ! l’interrompit Laura. — Oui, je l’ai fait, convint-il. Et en conséquence, vous êtes fichue. C’est ce que vous croyez ? Elle ne répondit pas. — Tenez, dit-il en lui tendant une cigarette et en en prenant une lui-même. Et maintenant, revenons un peu en arrière. Vous haïssez votre mari depuis longtemps, et ce soir il a dit quelque chose qui vous a fait sortir de vos gonds. Vous vous êtes emparée de l’arme posée à portée de… Il stoppa net, les yeux rivés sur le revolver qui se trouvait sur la table

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:24:04+02:00

 Non, convint-il. Non, peut-être pas… M’est avis que le coup n’était pas prémédité. J’incline à penser que vous avez cédé à une impulsion. En fait, je croirais volontiers que l’origine du drame tient probablement à quelque chose… à un commentaire que votre mari vous aura fait. C’est ça ? — C’est sans importance, répéta Laura. — Qu’est-ce qu’il a dit ? insista Starkwedder. Qu’est-ce que c’était ? Laura le fixa sans baisser les yeux. — Voilà bien une chose que je ne confierai jamais à personne ! s’exclama-t-elle. Starkwedder alla jusqu’au canapé et se tint derrière elle. — Au tribunal, on vous le demandera. Elle eut une expression sombre en répliquant : — Je ne répondrai pas. Ils ne peuvent pas me forcer à répondre

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:23:56+02:00

Faisant un pas vers Laura, il demanda : — Ou bien est-ce que vous vous imaginiez que… ? Il hésita, puis reprit : — Qu’est-ce que vous aviez en tête au juste ? — Je ne vois pas ce à quoi vous faites allusion, se rebiffa la jeune femme. — Vous n’êtes pas stupide, dit Starkwedder en la dévisageant. Vous devez quand même bien avoir réfléchi au fait que, même si vous héritiez de son argent, toute sa fortune ne vous avancerait pas à grand-chose si vous deviez passer le restant de votre vie derrière les barreaux

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:23:49+02:00

La voix de Laura se fit hésitante : — Je… je n’ai pas d’argent. — Ma chère, dit Starkwedder, si vous aviez pu prouver sa cruauté coutumière, son ivresse à répétition et j’en passe, vous auriez obtenu divorce ou séparation et, dans un cas comme dans l’autre, une assez coquette pension alimentaire. Il s’interrompit, attendant une réponse. Ne sachant que répliquer, Laura se leva et, lui tournant le dos, se dirigea vers la table pour y poser son verre. — Vous avez des enfants ? lui demanda Starkwedder. — Non… non, Dieu merci ! répondit Laura. — En ce cas, pourquoi ne pas l’avoir quitté ? Confuse et passablement égarée, Laura se retourna face à son interrogateur

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:23:43+02:00

Il alla déposer son pardessus sur le fauteuil de l’alcôve et revint se planter devant le cadavre de Richard Warwick. — Oh ! vous faites allusion à la galanterie, remarqua mollement Laura. — Les sentiments chevaleresques n’ont pas cours ici, se défendit Starkwedder. J’aimerais que l’on ne garde en tête que ma curiosité légitime, si vous le voulez bien. En clair, je souhaiterais connaître la signification de tout cela. Laura marqua un temps avant de répondre. Puis elle se contenta d’un bref : — Je vous l’ai expliquée

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-08T15:23:36+02:00

 Vous avez tout à fait raison, répondit Laura avec emphase. « Un incident particulier », comme vous dites si bien, s’est en effet produit ce soir. Ce qui fait que… que j’ai pris le revolver sur la table où il était posé à côté de lui, et que… et que je l’ai tué. C’est simple comme bonjour. Elle lança à Starkwedder un regard impatient. — Oh ! et puis à quoi bon en débattre à l’infini ? Il faudra bien que vous appeliez la police, de toute façon. Il n’y a pas d’échappatoire. Elle baissa la voix : — Pas d’échappatoire ! Starkwedder qui, faisant les cent pas, avait gagné l’autre bout de la pièce, se tourna vers elle. — Ce n’est pas aussi simple que vous le croyez, observa-t-il. — Pourquoi n’est-ce pas simple ? demanda Laura dont la voix exprimait toute la lassitude du monde. — Parce que faire ce que vous me pressez de faire n’est pas si facile, articula Starkwedder en revenant vers elle. Vous êtes une femme. Une femme très séduisante. Laura leva brusquement les yeux

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