« Ils pensent qu'ils sont invincibles. Ils pensent pouvoir faire et dire ce qu'ils veulent, sans jamais avoir à en assumer les conséquences. Ils ne m'ont pas laissé le choix. Il est temps pour eux de payer pour leurs péchés. » Une fête à la campagne, dans un chalet loin de tout, c’est exactement ce dont Mackenzie avait besoin. Peut-être aurait-elle attendu avec moins d’impatience ce week-end avec ses amis si elle avait su que, après une nuit aussi amusante qu’inoubliable, deux d’entre eux seraient retrouvés morts, sauvagement assassinés. Il n’y a aucune trace d’effraction, aucun signe de lutte, et les cinq survivants se suspectent les uns les autres. Quelqu'un ne dit pas la vérité. Et la première erreur de Mackenzie est de croire que ce cauchemar est terminé...
Natasha Preston est une auteure que j’ai pu découvrir il y a quelque temps au travers de son roman La cave. Malgré une plume extrêmement simple, épurée et sans fioritures, j’avais été happée par ce huis clos réussi qui avait de quoi nous mettre la nausée au bord des lèvres. Avec Le week-end, les choses ne se sont pas déroulées comme je l’attendais, et disons-le sans ambages : c’est un flop total.
Mackenzie, jeune fille de dix-huit ans, s’apprête à partir en week-end à la campagne avec sa bande de potes. Même si elle est réticente d’y aller à cause du petit copain de sa meilleure amie qui la débecte profondément, elle compte profiter de ces quelques jours pour se détendre et boire comme un trou. Tout se déroule sous les meilleurs hospices, l’alcool coule à flots et Mackenzie se détend. Enfin… le trou noir. À son réveil, le cauchemar commence. Deux d’entre eux ont été sauvagement assassinés et tout indique que le coupable se tient parmi eux.
Il m’a suffi de lire la quatrième de couverture pour foncer tête baissée sur ce roman. Malheureusement, je suis partie avec une idée d’intrigue bien précise, celle d’un thriller en huis clos, un peu à la Agatha Christie. Dans les faits, ce n’est absolument pas le cas puisque le week-end se retrouve écourté et l’action dans la maison se déroule durant les 70 premières pages. Après ça, tout le monde rentre chez soi et l’enquête commence. Autant dire que la douche a été froide vu qu’imaginer les adolescents coincés dans le même espace qu’un tueur, c’était la seule chose qui m’intéressait.
J’aurais très bien pu m’accommoder des choix de l’auteure si je n’avais pas tant eu de difficultés avec tout le reste. Les personnages sont stéréotypés, presque caricaturaux. Au début, j’appréciais de faire leur connaissance, mais je me suis aperçue que Natasha Preston n’apportait des précisions sur eux que quand ça arrangeait son intrigue. Ça donne une impression décousue, on finit par connaître les protagonistes sans vraiment les connaître. Le résultat est superficiel et cousu au gros fil. Je n’ai pas ressenti d’empathie pour qui que ce soit. Je me suis sentie extérieure à leurs vies du début jusqu’à la fin.
Je n’ai pas du tout adhéré à la plume non plus. L’emploi du passé composé pour un récit tel que celui-ci ne m’a pas semblé astucieux. Ça donne lieu à des répétitions désagréables, c’est dommage. Le style d’écriture est très simple, pour le coup. L’auteure n’hésite pas à prendre des raccourcis dans le développement de son récit, si bien que le plaisir de lire s’émousse rapidement.
La raison qui m’a poussée à tourner les pages, c’est que mine de rien, je souhaitais connaître l’identité du tueur. Malgré tous les couacs que j’avais rencontrés en chemin, ma curiosité était piquée. Mais là encore, ça n’a pas pris. C’était même le pompon. Je m’attendais à une révélation capable de me couper les jambes, mais pas du tout. En fait, j’ai simplement assisté à un rafistolage en règle. Natasha Preston créer un mobile pour le tueur qui ne tient pas la route. Le tueur en question n’est pas crédible dans son rôle, son approfondissement quasi inexistant.
Concernant la fin… Autant j’aime beaucoup les fins qui tombent à la manière d’un couperet, nous laissant un peu démuni et l’imagination toujours galopante, autant ici… rien. C’est trop rapide, trop précipité, trop abrupt. Comme si l’auteure avait décidé d’expédier ça vite fait sans trop se casser la tête. J’ai refermé le roman en me disant : « Tout ça pour ça ? ».
En résumé, Le week-end ne m’a pas transportée. Je m’étais fait une idée de l’histoire complètement erronée, si bien que je suis allée de déception en déception tout au long de ma lecture. J’ai trouvé les personnages trop simplistes et la plume décousue m’a laissée de marbre. L’intrigue renfermait un potentiel non négligeable qui, pour moi, n’a pas du tout été exploité comme la quatrième de couverture le suggérait.
Ma chronique : https://april-the-seven.weebly.com/thriller---polar/le-week-end-natasha-preston
Les secrets sont distillés au fur et à mesure rendant tout le monde suspect. Si bien, qu’on ne sait réellement qu’à la fin qui est le coupable. J’ai tourné les pages à une vitesse folle afin d’arriver à la révélation finale. Et si je n’ai pas été complément convaincu par celle-ci, ce qui m’a réellement gêné, c’est l’épilogue qui contient un retournement de situation improbable et qui donne l’impression de repartir de zéro, qu’il y aura une suite. Cela donne envie de savoir ce qu’il va se passer pour les personnages après. Le livre aurait été meilleur en se stoppant au dernier chapitre.
C’est donc un avis mitigé. Une bonne idée, une plume agréable, de la romance à petite dose et du suspense, mais une fin invraisemblable qui gâche tout.
Ceci dit, bien que prévisible, c’est assez rythmé, plutôt bien construit, et ça se lit tout seul. La toute fin m’a fait sourire, et je ne peux pas dire que j’ai passé un mauvais moment, mais je rejoins la plupart des avis: c’est un roman très teenager, pour lequel j’ai passé l’âge. Pour les nostalgiques de Souviens-toi l’été dernier.
Pour avoir lu plusieurs romans, que j'ai apprécié, de cette autrice, je peux dire que j'ai bien été déçue de celui-là. J'ai déjà eu l'impression d'avoir un remake d'un de ses romans.
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Ensuite, on a un amas de cliché : je te connais depuis 10h mais tu es l'amour de ma vie ; mes avis, ma vie ; l'ado dévouée qui reste bornée dans ses idées qui parlent avec d'autres ados bornés dans leurs idées ; ca court à gauche et a droite pour contrer la police parce qu'elle est bornée dans son idée. Attention, je comprends pourquoi elle pensait ca, sauf qu'elle n'évolue pas dans tout le roman. Ces réactions sont extrêmes et en deux lignes ca passe du tout au tout
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Je préfère m'arrêter là, je pense qu'on sent directement mon point de vue : déception !
Je ne suis pas une adepte des thrillers mais celui était vraiment bien. L’intrigue bien ficelée. Une fin à laquelle on ne s’attend pas. Vraiment une très bonne lecture.
Je m'attendais à mieux honnêtement des le début on comprends le poteau rose des le premier chapitre j'ai deviné tous ce qu'il allait se passé. beaucoup de passage répétitifs et des personnages gnangnan détestable
J’ai déjà lu La cave de la même auteure et un jour en allant faire un tour dans ma bouquinerie d’occasion, je suis tombée sur Le week end. J’avais très envie de le découvrir. Son résumé m’a tellement intrigué que j’avais envie de le dévorer. Je n’ai pas hésité et je l’ai directement acheté.Par contre en voyant la note sur Livraddict j’avais un peu peur de ma lecture. Mais je tiens toujours à me faire mon propre avis et je ne m’arrête pas aux avis des autres. J’ai dévoré ce roman en un rien de temps. C’est tellement addictif qu’on tourne les pages à toute vitesse. Si ma lecture fut géniale, j’ai vite déchanté en voyant la fin qui m’a vraiment déçue. Mais je vous explique tout ça par la suite.
Dans ce roman on va suivre le personnage de Mackenzie, une jeune adolescente qui part en week end avec sa bande d’amis. Un chalet à la campagne, sans parents, loin de tout c’est tout ce que Mackenzie avait besoin! Si le week end commençait parfaitement bien, il va vite tourné en véritable cauchemar. Après une soirée bien arrosée, au réveil ils finissent par découvrir que deux d’entre eux ont été sauvagement assassiné.. Le problème? Aucune trace d’effraction, aucune trace de lutte. Les cinq personnes restantes ne cessent de se suspecter les uns les autres. Parce que quelqu’un ne dit pas la vérité. Et Mackenzie est bien déterminé à trouver qui se cache derrière tout ça…
Déjà, j’ai adoré retrouver la plume de l’auteure. C’est super fluide, c’est addictif, tout ce que j’aime quand je lis un roman. Les chapitres ne sont pas trop long et ça c’est vraiment parfait. C’est un roman young adult donc on sent que ça s’adresse à un public plus jeune mais c’est tout de même très plaisant à lire. Le suspense est vraiment maintenu jusqu’à la fin. On a pas mal de rebondissements, de retournements de situations. Une fois qu’on a notre nez plongé dans cette histoire, c’est vraiment compliqué d’en ressortir. J’ai eu du mal à le reposer lorsqu’il le fallait. J’étais tellement prise dedans que franchement je n’avais qu’une envie c’était de le lire d’une traite.
L’histoire est vraiment prenante, comme je le dis un peu plus haut. Je dois avouer que je me suis vraiment prise au jeu avec cette enquête. J’essayais de trouver des indices pour trouver le coupable etc. Mais bon, je suis nulle en enquête et ça ne date pas d’hier haha. A chaque fois que je lis un thriller ou un policier, j’essaye de trouver le coupable et à chaque fois je me trompe. Ici ça n’a pas loupé encore une fois! A chaque fois je partais sur une piste et quelques pages plus tard on assiste à un rebondissement qui remet tout en cause. J’ai fais un million de théories pas une seule était bonne. Le rythme est bien maintenu jusqu’à la fin. 90% du roman m’a vraiment beaucoup plu. Et puis je suis arrivé au dernier chapitre et là c’est la dégringolade. Je trouve qu’en fait il gâche toute l’histoire, on dirait un chapitre de trop. Mais la fin en elle même c’est encore pire. Il n’y a pas de suite de prévue et pourtant on nous laisse sur une fin frustrante au plus haut point. J’ai eu l’impression qu’il manquait des pages du coup. Comme si l’épilogue était manquant. Déjà que je trouve le dernier chapitre assez inutile en plus de ça on se trouve face à une fin qui n’en est pas une pour moi. C’est tellement frustrant et surtout ça gâche limite toute la lecture en même. Alors que le roman en lui même n’est pas mauvais. Mais cette fin vraiment ça m’a tellement frustrée!
Concernant les personnages, bon on ne va pas se mentir on est quand même dans les personnages assez clichés mais ça ne m’a pas dérangé en vérité. Mackenzie m’a vraiment beaucoup plu même si parfois je ne comprenais pas certaines de ses réactions. Elle va tout faire pour trouver le véritable coupable même si parfois elle a clairement des oeillères devant les yeux. Elle est aveuglée par ses sentiments par moment et elle a du mal à voir la vérité devant les yeux. Par contre, le personnage que j’ai le plus aimé c’est celui de Blake, au delà du fait qu’il est censé être un bad boy mais qu’au final il n’en est pas un vraiment pas du tout même, c’est un personnage hyper plaisant. Son histoire m’a beaucoup touché et lui même également. Il est tellement touchant, c’est tellement émouvant. Par moment j’avais même mal au coeur pour lui tant c’est cruel les réactions qu’ont certaines personnes envers lui. J’ai un peu moins accroché avec les autres personnages, même si je ne les ai pas non plus détesté. En fait, ils m’ont laissé indifférente.
Je ressors de cette lecture malheureusement mitigée. Comme je le dis plus haut, si 90% du roman m’a plu la fin a littéralement tout gâché et c’est bien dommage. Surtout que du coup je ne pense qu’à cette fin frustrante et je ne retiens pas le reste qui était assez bon pour moi. Et ça vraiment, je trouve ça tellement dommage! Malgré tout, la plume et l’intrigue sont très bonnes. Le suspense est maintenu jusqu’au bout et ça nous tient en haleine jusqu’à la dernière page. Et quand on croit que tout est fini, on repart sur de nouveaux rebondissements qui relancent l’histoire. Même si je ressors vraiment frustrée de cette lecture, je ne peux nier que j’ai tout de même passer un bon moment avec ce roman!
Dans un premier temps, je dois dire que je trouve la première de couverture de ce roman réellement belle, et elle est la promesse d'une histoire mystérieuse et sombre.
Cette histoire, c'est celle de sept adolescents en quête de fête et de légèreté, le temps d'un week-end. Mais la villa dans laquelle ils séjournent brièvement se transforme en scène de crime lorsque deux d'entre eux sont retrouvés morts, poignardés à de multiples reprises, au petit matin. Débute alors une enquête principalement centrée sur les survivants, désignés comme suspects dans cette affaire de meurtre en raison d'une absence totale de signes d'effraction sur la maison.
Cette enquête était réellement 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒. L'auteure parvient à créer une sensation de danger permanent, de paranoïa, de suspicion, pour les personnages, comme pour le lecteur. Je me suis surprise à retenir mon souffle à plusieurs reprises, incapable de m'arrêter de lire, désireuse de mettre la main sur le coupable, de faire éclater la vérité. Tous les personnages semblaient à la fois coupables et innocents. Cette impression d'être si proche de découvrir la vérité, et à la fois d'être complètement perdue, était géniale, et c'est ce qui rendait ce roman si addictif, et difficile à poser avant d'avoir eu des réponses.
Une jolie histoire d'amour voit le jour dans ces circonstances macabres, et les deux personnages concernés m'ont fait sourire, à de nombreuses occasions, tant leur développement était touchant, passionnant et passionné, drôle et beau.
Si vous êtes en quête de suspens, de rebondissements, d'enquête autour d'un (double) meurtre, et pourquoi pas d'une belle histoire d'amour, je vous le recommande !
Résumé
« Ils pensent qu'ils sont invincibles. Ils pensent pouvoir faire et dire ce qu'ils veulent, sans jamais avoir à en assumer les conséquences. Ils ne m'ont pas laissé le choix. Il est temps pour eux de payer pour leurs péchés. » Une fête à la campagne, dans un chalet loin de tout, c’est exactement ce dont Mackenzie avait besoin. Peut-être aurait-elle attendu avec moins d’impatience ce week-end avec ses amis si elle avait su que, après une nuit aussi amusante qu’inoubliable, deux d’entre eux seraient retrouvés morts, sauvagement assassinés. Il n’y a aucune trace d’effraction, aucun signe de lutte, et les cinq survivants se suspectent les uns les autres. Quelqu'un ne dit pas la vérité. Et la première erreur de Mackenzie est de croire que ce cauchemar est terminé...
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