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Ça fait presque une année maintenant. Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? Pourquoi je ne peux pas juste avancer ?
Afficher en entierJe lui adresse un sourire en coin.
- Il faut avoir la foi, mon amour. Le peuple est fou de moi.
Afficher en entier- Day, tu n'es pas qu'un simple flirt pour moi. (Elle fronce les sourcils tandis qu'elle cherche à s'expliquer.) Quand le monde entier m'a rejetée et m'a laissée mourir dans un coin, c'est toi qui m'a sauvée. Tu es la seule personne qui s'est souciée de ce qui pouvais m'arriver. Tu représentais tout pour moi. Tout. Tu es devenue toute ma famille. Mes parents, mes frères et mes soeurs, la personne qui prenait soin de moi, mon seul compagnon et mon seul ami. Tu étais mon protecteur et tu avais besoin que je te protège. Tu comprends ? Je ne t'aimais pas comme tu l'as peut-être cru, même si je ne peux pas nier que j'ai des sentiments pour toi. Ce n'est qu'une partie de ce tout. D'un tout qui va bien au-delà.
Afficher en entier"Non" dis-je à travers mes larmes" je ne peux pas t'aider parce que je t'aime, vraiment" nous y voilà, je le lui ai dit " je suis amoureuse de toi" je répète
Traduction personnelle
Afficher en entierQuelque part, au milieu de ces aristocrates qui se mélangent dans un portrait flou, mes yeux se posent sur sa silhouette.
Afficher en entier- Mes amies et moi voulions savoir si tu es Day.
- Désolé, tu t'es trompée de personne, je réponds. Mais merci pour le compliment.
Afficher en entierEt, parce qu'il m'aime, il ne parviendra jamais à échapper à sa malédiction. Il se souviendra de la mort de ses proches chaque fois qu'il me verra, même s'il est amoureux de moi. Surtout s'il est amoureux de moi.
Afficher en entier- Salut, dit-elle. (Un long silence s'installe.) Comment vas-tu ?
Soudain, une tornade de mots se forme dans ma gorge, prête à jaillir par ma bouche. J'ai envie de dire mille choses : j'ai pensé à toi chaque jour depuis notre dernière rencontre ; je suis désolé de ne pas t'avoir appelée ; je regrette que tu ne m'aies pas appelé. Tu me manques. Tu me manques tant.
Afficher en entier« Mes yeux se perdent dans le vague pendant quelques instants. Je ne peux pas m'en empêcher. Rien ne me parait réel en ce moment. J'ai l'impression de nager dans un océan de brouillard d'où les émotions, les images et les pensées ne parviennent pas à émerger.»
P.278
Afficher en entierJune :
-Qu'est-ce que c'est que ça ? me murmure-t-il en brandissant un des ustensiles.
-Un couteau à beurre.
Day le regarde d'un air renfrogné. Il fait glisser un doigt sur l'extrémité arrondie et émoussée.
-Je ne sais pas ce que c'est, marmonne-t-il, mais ce n'est certainement pas un couteau !
Serge a remarqué son embarras.
-Je suppose que vous n'avez pas l'habitude de manger avec des couverts, là d'où vous venez ? lâche-t-il d'une voix glacée.
Day se raidit, mais ne se laisse pas démonter. Il saisit un couteau à viande plus impressionnant rangé près de son assiette et il l'agite d'un air désinvolte. Serge et Maria se reculent instinctivement dans leurs sièges.
-Là d'où je viens, nous nous efforçons avant tout d'être efficaces, dit-il. Un couteau comme celui-ci permet de faire rôtir la viande au-dessus d'un feu, d'étaler du beurre ou de trancher une gorge.
Day n'a jamais tranché la gorge de personne, bien entendu, mais Serge l'ignore. Le princeps elect laisse échappé un petit bruit méprisant, mais son visage est blême. Je dois faire semblant de tousser pour ne pas éclater de rire devant l'expression faussement sérieuse de Day. Moi aussi j'aurais été intimidée si je ne l'avais pas connu si bien.
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