Commentaires de livres faits par lelette1610
Extraits de livres par lelette1610
Commentaires de livres appréciés par lelette1610
Extraits de livres appréciés par lelette1610
Les chapitres relatant les péripéties d'Ari alternent avec les chapitres en italique qui nous conduisent au XIV° siècle. C'est Nicolas Flamel (écrivain public - copiste - libraire-juré) qui nous compte sa vie. Il décrit comment il entré en possession du carnet de Villard.
Pour ma part, j'ai trouvé l'intrigue de ce tome moins prenante que le premier.
Ari Mackenzie est un flic à part qui travaille sur les sectes et qui traîne une réputation sulfureuse, à la fois intellectuel et homme de terrain.
Il est entouré d'amis qui n'hésitent pas à l'accompagner dans ses prises de risques comme Iris (sa collègue, ancienne amante qui le prend sous son aile dans ses moments de déprime), Krysztov Zalewski (un garde du corps affecté à sa protection qui devient son ami).
Il vit des amours tumultueuses avec la jeune libraire Lola qui voudrait fonder une famille avec lui. Mais, lui, hésite, tergiverse.
Ce roman, très documenté, nous apprend pas mal de choses.
A peine sortie d'une année passée en prison, Sarah est confrontée à l'assassinat de son père. Ce père qu'elle n'a pas vraiment connue et dont elle va découvrir qu'il a vécu de terribles moments pendant son enfance en Russie.
L'auteur dans ce livre traite des traumatismes qui sont en nous et que nous transmettront à nos enfants.
Une pensée pour Christopher qui, malgré tous les drames qu'elle traverse, est toujours là et se battre pour elle.
L'intrigue démarrait bien mais ne m'a tenu en haleine jusqu'à la dernière page. L'enquête s'est enlisée, entravée par des détails. Par moment, la description de Paris tourne au guide touristique.
Pour moi, la Seine est le principal personnage de ce roman car tout tourne autour du fleuve.
Martial, appelé à la rescousse par son amie d'enfance Camille - institutrice - mène d'une manière minutieuse une enquête complexe. Nous le suivons pas à pas. Une sombre affaire de disparition d'un jeune garçon va faire ressortir la jalousie, la haine entre les habitants mais également le remords et la culpabilité.
Au terme de cette enquête, Martial s'est rendu compte qu'il avait été manipulé par des personnes pour lesquelles il éprouvait une grande estime. Il en ressort blessé et désabusé.
Dans ce thriller, nous accompagnons Sarah Geringen, qui nous emmène de la Norvège à la cité de Byblos, au Liban, en passant par le Vatican, pour déjouer un effroyable complot, celui qui serait à l'origine de la domination masculine. Je trouve que Nicolas Beuglet n'a pas hésité à mettre dans la bouche de Christopher les mots suivants extraits du premier récit de la Genèse : "N'avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, les fit mâle et femelle [...] et que les deux ne feront qu'une seule chair". Mais que les Pères de l'Eglise déclarent encore aujourd'hui : "les femmes sont exclues du clergé parce que Notre Seigneur était un homme et parce que les douze apôtres qui l'entouraient étaient tous des hommes".
Le style est fluide et le roman se lit très facilement.
Cette enquête se déroule sur plusieurs niveaux. Elle doit jongler entre sa vie familiale (elle vient d'accoucher d'un petit garçon), sa famille (problèmes de sa soeur, inquiétudes de sa tante...), son équipe (l'inspecteur Montes qui la harcèle pour qu'elle le réintègre dans son équipe), les attentions du juge Markina (amoureux d'elle et qui ne la laisse pas indifférente) mais aussi des souvenirs de son enfance (à cause de sa mère) qui la hantent.
Heureusement, elle a le soutien de ses coéquipiers Iriarte et Jonan, de son mari James mais doit se battre seule pour dénouer l'écheveau de cette enquête.
Le couple que forment les historiens François Lapierre et Laura Zante est attachant. Ces deux héros ne reculent devant rien et vont au bout de leurs combats.
L'auteure choisit de développer les profils psychologiques des protagonistes.
On découvre la vie quotidienne dans une bourgade allemande dans les années 20, les souffrances, les rêves déçus ou avortés de ces gens avec en toile de fond un film muet "Le poignard ensanglanté", qui aurait inspiré le meurtrier.
Avec ce roman historique, Éliette Abécassis essaie de mieux nous faire connaître et comprendre le judaïsme. Elle explique ce que sont les pharisiens, les sadducéens ou les esséniens mais aussi ce qui différencie les talmudistes, notamment les tossafistes, des karaïtes.
On y apprend aussi que Saint Louis qui - comme nous l'apprenions autrefois - rendait la justice assis sous un chêne n'était pas aussi bon et juste.
Je suis du même avis que Virginie-61, l'intrigue ne manque pas d'originalité mais le roman lui manque de rythme.
C'est une uchronie de cape et d'épée dans laquelle se mêle la Renaissance, la magie, l'espionnage mais en situant l'histoire à l'époque contemporaine.
L'auteur critique la société gouvernée par des élites en rupture totale avec le peuple mais aussi colonisation : Rupert essaie d'élaborer des stratagèmes pour protéger l’Australie.
J'ai trouvé ce roman distrayant mais pas au point de le rajouter dans la liste "diamant" ou "or".
Dès que l'on commence la lecture de Vindicta, on est happé par l'histoire.
Des chapitres courts, une tension savamment dosée et des révélations chocs, sont les ingrédients de ce roman.
C'est l'histoire d'une vengeance, d'un voyage en enfer. Le suspens est présent jusqu'à la dernière ligne.
L'inspecteur Milo, policier atypique, accompagnée par une sous-inspectrice Rebecca - qui ne comprend pas toujours les actions de son coéquipier - ainsi que Tino, spécialiste de la recherche d'indices et d'informations, doivent se lancer sur la trace d'un tueur psychopathe.
Barcelonne, qui est pour l'auteur un parc d'attraction destiné à attirer les touristes, ainsi que les oeuvres de Gaudi servent de toile de fond à cette course contre la montre.
Ne connaissant pas du tout cette ville et peu Gaudi, j'ai appris plein de choses au cours de ma lecture.
Nous suivons Mathew Case, Danois, journaliste au Groenland, se retrouve plongé dans une vieille enquête non résolue. Sur fond de mensonges, de corruption et de pédophilie, il va découvrir la triste vie des fillettes inuites et se rendre compte de la forte pression de la colonisation danoise.
En parallèle, il cherche également à découvrir pourquoi son père, militaire, basé au Groeland, n'est jamais rentré au Danemark et les avait abandonnés sa mère et lui.
Il va faire équipe avec Tupaarnaq, une jeune femme solitaire, sauvage, qui a fait une douzaine d'années de prison.
Je m'arrêterai sur la douceur de Jakob qui a pris la petite Paneeraq sous son aile.
En conclusion, un bon polar.
L'auteure ne ménage pas le lecteur lorsqu'elle décrit les sévices subis par les prisonnières mais également par les enfants dans les "orphelinats" : coups, abus sexuels... sous la dictature de Franco.
Quant à l'intrigue, elle nous manipule, nous égare et au final, nous laisse pantois en ce qui concerne le dénouement.
J'espère qu'elle va continuer à écrire d'autres enquêtes avec Emily Roy et ses collègues.
1) Londres, whitechapel 1880 - Freda tente de survivre dans le quartier miséreux de Whitechapel, alors que sévit Jack l'éventreur.
2) En 2015 :
- La Suède : un corps mutilé (fesses, cuisses, seins absents) est retrouvé aux bords d'un lac,
- Londres : Emily Roy est appelée pour enquêter sur la disparition d'une célèbre actrice.
Dans ce roman, l'auteure a su si bien créer une intrigue complexe avec pleins de ramifications que j'étais estomaquée par le dénouement de ces enquêtes.
Ce second opus confirme que Johana Gustawsson est une formidable écrivaine !
Le voici lancé sur la piste de voleurs de nourrissons et d'enfants en bas âges.
L'enquête sur les empoisonnements continuent également. Notre bourreau est persuadé que Mahaut est innocente mais malheureusement, il va être confronté à une dure vérité.
En lisant ces ouvrages, j'ai appris plein de choses sur la vie quotidienne de l'époque : la politique, les us et coutumes, le français utilisé alors, la cuisine...
Sa fille - moniale à l'abbaye des Clairets - ayant été retrouvée étranglée à la porte du monastère, le sous-bailli Arnaud de Tisans, demande à Hardouin cadet-Venelle de le seconder dans sa quête de vérité.
En parallèle, Mahaut de Vigonrin est arrêtée, accusée d'avoir empoisonné des membres de sa famille.
J'apprécie encore plus ce bourreau qui sait faire preuve d'empathie, de justesse dans ses convictions.
Andrea H. Japp utilise le langage de l'époque. Elle donne, à l'aide d'annotations, l'étymologie, le sens des mots ou expressions qui sont parvenues jusqu'à nous ainsi que des détails historiques sur les lieux, les bâtiments. Pour ma part, je trouve cela très instructif.
En conclusion, j'ai beaucoup apprécié ce livre.
Son personnage principal Lilith-Moira est très touchant et attachant. Dans sa lutte contre le roi Donovan - un Néphel - qui est un tyran, elle est secondée par Melhen - un Cournol et Mutiane - une Amazone. A ces compagnons s'ajoutent des loups.
Pour arriver à leurs fins, les peuples opprimés vont devoir faire alliance et passer au dessus de leurs méfiances, croyances et préjugés.
C'est un joli roman plein de rebondissements mais également d'émotion sur l'amitié, l'amour, la tolérance.
A lire !
L'histoire nous entraîne, sous le règne de Louis XIV, au terme de l'affaire des poisons, qui a ébranlé la monarchie, dans une valse d'intrigues, de complots et de secrets, dans lesquels évoluent des personnages qui sont dévorés d'ambition et aspirent au pouvoir.
L'écriture est fluide et imagée. L'intrigue est intéressante. Les personnages comme Judith, déterminée et courageuse, sont attachants.
Nous suivons la vie quotidienne d'une prévôté de division d'infanterie, commandée par Léon Cognard.
J'ai découvert que les relations entre les gendarmes et l'armée étaient très compliquées. Mais à travers ce roman, l’auteur rend ainsi hommage aux gendarmes anonymes qui ont joué un rôle plus important qu’on ne le pense pendant la Grande Guerre.
Ce roman décrit, à travers deux époques, deux belles histoires d'amitié dans lesquelles certains personnages, en dépit des dangers encourus, n'hésitent pas à défendre leurs amis.
J'ai trouvé ce roman très riche historiquement, très documenté.
J'ai appris l'existence d'une communauté "les resians" dont l'origine est différente des peuples environnants.
Les deux personnages principaux avec leurs problèmes personnels.
Dans ce tome, arrive un nouveau personnage, un policier, Radenac. Il se trouve vers Ari et ses connaissances phénoménales pour avoir des informations sur Fulcanelli.
Ce personnage a-t-il existé ? Est-ce que quelqu'un a pris ce pseudonyme pour écrire ?
Les voilà tous les deux en train de mener une enquête - pas de tout repos comme d'habitude - non pas ensemble mais parallèlement.
Et revoilà, que réapparait dans la vie d'Ari, Lola, la belle Lola avec un enfant, Maxime.