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Extrait ajouté par Mondaye 2015-05-15T20:48:48+02:00

Les yeux baissés sur sa besogne, elle ne le vit pas arriver. Le choc la fit tomber, éjectant dans la manœuvre et la cigarette, et la boîte d'allumettes. Elle releva la tête pour se retrouver face à un homme qui tentait de se dépêtrer de la roue avant de la bicyclette venue se ficher entre ses genoux.

— Vous ne pouvez pas regarder où vous allez ? lança Rosaline en se relevant.

— What about you ? protesta le Lord en repoussant le vélo.

— Un anglais, parfait ! siffla-t-elle entre ses dents pour elle-même. Vous m'avez fait perdre une cigarette ! Ah, mais non ! pesta-t-elle en découvrant son cylindre d'herbe dans une flaque. Me voilà bonne pour en rouler une autre ! s'agaça-t-elle en soulevant ses jupes.

— Miss ! s'offusqua Spencer en mettant une main devant ses yeux, lâchant ainsi le vélo qui tomba au sol dans un fracas métallique.

— Mais enfin, êtes-vous benêt ? Tenez donc le guidon pendant que je répare vos dégâts ! s'impatienta Rosaline en lui remettant le vélo entre les genoux.

Elle repartit en quête de sa blague à tabac et commença à se rouler une nouvelle cigarette, sans plus prêter attention à son empêcheur de fumer en rond. Ce dernier tenait une poignée du vélo entre le pouce et l'index, comme s'il s’était agi des langes souillés d'un nourrisson, tout en tapant du pied pour manifester son impatience. Il était trop bien éduqué pour planter là cet énergumène féminin ! Mais elle mettait toutefois sa patience à rude épreuve.

Rosaline, focalisée sur la cigarette qu'elle avait à présent d'autant plus envie d'allumer, ne remarqua pas les signes d’agacement du Britannique. Enfin, elle put frotter l'allumette et inspirer une longue bouffée en fermant les yeux de bonheur.

— Please ! la rappela à l'ordre Spencer. Votre bicyclette !

— J'arrive, soupira Rosaline.

Sous l'air scandalisé du Lord, elle remonta encore un peu ses jupes pour reprendre place sur la selle, la cigarette coincée au coin des lèvres. Elle remit ses petites affaires à l'abri dans sa poche, réajusta sa sacoche en bandoulière et lui adressa un salut familier de l'index et du majeur sur la tempe, avant de reprendre son chemin.

— French ladies… soupira Spencer avant de lui aussi continuer sa route.

Source: site officiel de l'auteur: http://fleurhana.weebly.com/rose.html

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Extrait ajouté par paraty62 2016-02-28T17:23:52+01:00

Bien qu'agaçante, cette Rosaline était utile, et il pouvait rentrer chez sa logeuse en étant certain qu'aucun indice n'avait été oublié sur la scène de crime. Il devait s'avouer que même si leurs échanges étaient peu dignes d'un lord et une jeune femme, ils étaient revigorants et apportaient une petite touche de piment à son séjour parisien. Puis il se rappela qu'il aimait l'ordre, la propreté, la monotonie et le calme de son laboratoire et regretta cette faiblesse dans ses sentiments.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-11-17T09:48:11+01:00

— Mademoiselle, j’ai le regret de vous dire que vous êtes la première personne à avoir réussi à me faire sortir de mes gonds, déclara-t-il en lui tournant le dos.

— Je vous remercie pour le compliment. Mais sous-entendez-vous que là, vous êtes énervé ? ricana-t-elle, ayant conscience de pousser un peu loin l’impertinence.

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Extrait ajouté par toutoun 2014-02-22T15:46:13+01:00

Spencer se sentait comme nu sans son chapeau et sa canne alors qu’il était en extérieur. Il fournissait de gros efforts pour avoir l’air à l’aise alors qu’il aurait donné n’importe quoi pour ne plus se trouver sur ce toit.

Mademoiselle Leprince se pencha un peu trop à son goût et il eut le stupide réflexe d’accourir et de l’entraîner en arrière.

— Espèce de dindonneau ! Qu’est-ce qui vous prend ? pesta-t-elle en se dégageant de son emprise.

— Miss ! Vous étiez beaucoup trop près du bord ! s’indigna-t-il, vexé de s’être laissé submerger par sa phobie.

— Auriez-vous le vertige, Monsieur le Lord parfait ? le railla-t-elle en retournant contre le parapet sans le quitter des yeux.

— Absolument pas ! Je me sens juste responsable de votre vie ! se récria-t-il.

Elle s’assit sur le rebord et se pencha imperceptiblement en arrière, il ne put s’empêcher de faire un pas vers elle.

— Oh… Oh… Je vais tomber… se moqua-t-elle exagérément en agitant les bras comme si elle perdait l’équilibre.

— Mademoiselle ! Cessez ce stupide jeu séance tenante ! lui ordonna-t-il.

Mais cela ne fit qu’accroître l’envie que Rose avait de se jouer de lui et de sa peur des hauteurs. Elle passa une jambe et la laissa pendre dans le vide.

— Ouh la la… Que c’est haut ! articula-t-elle en se penchant un peu plus.

— Il suffit ! s’emporta Spencer en la rejoignant.

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Extrait ajouté par Emeraudebouquine 2019-11-25T15:52:51+01:00

— Rosaline…

Il ne l’avait jamais appelée par son prénom, aussi elle sursauta sous la surprise.

— Je me suis déjà entretenu avec votre père qui m’a donné sa bénédiction.

Aussi, il ne me reste qu’à vous poser la question directement.

— Hein ?

Sa repartie la fit rougir cette fois de honte. Elle avait peur de comprendre ce qu’il était en train d’insinuer, peur parce qu’elle sentit son coeur accélérer sa course et qu’elle aimait cela. Beaucoup trop.

— Me feriez-vous l’honneur de devenir ma femme ?

— Oh.

Spencer Fitzwilliam perdit de sa superbe face à la réponse incongrue que Rose lui donna. Heureusement, elle se reprit rapidement.

— D’accord. Je veux dire : d’accord.

— Vous m’en voyez ravi.

— Je n’arrêterai pas d’écrire dans La Petite Gazette, le prévint-elle en se tenant un peu plus droite encore.

— Je n’y comptais pas.

— Et je n’abandonnerai pas ma bicyclette.

— Cela va de soi.

— Je veux un figerus.

— Certainement pas.

— Avouez que je me devais d’essayer.

— Le contraire m’aurait déçu.

— Bien. Devons-nous sceller notre accord avec un baiser ? lâcha Rose avant de prendre le temps de censurer ses pensées qui se frayèrent d’elles-mêmes un chemin jusqu’à sa bouche.

— Je… C’est-à-dire que…

— C’est la coutume, s’enhardit-elle en réalisant qu’il lui donnerait son premier véritable baiser.

— Indeed.

Lorsque Spencer oubliait son français, Rosaline savait qu’il était perturbé.

Aussi, fidèle à celle qu’elle était et qui avait séduit le lord, elle prit les choses en main et se rapprocha de lui. Hissée sur la pointe des pieds, le visage tendu vers lui, elle offrit ses lèvres en prenant appui sur les épaules du lord. Il pencha la tête avec bien plus d’assurance que son expression n’en affichait. Lorsque ses lèvres se posèrent délicatement sur celles de la jeune femme, elle les trouva douces et agréables, si bien que le bref et chaste contact lui laissa un goût de trop peu qu’elle se promit de compenser quand ils seraient officiellement mariés.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-11-17T09:49:20+01:00

— Ma chère, je suis d’avis que vous laissiez vos allumettes à la maison. Un accident est si vite arrivé, et vous savez comme moi que nous n’avons pas les moyens de reconstruire les locaux de l’agence si vous deviez les pulvériser.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-11-17T09:49:07+01:00

— Rose, j’ai failli ne pas te reconnaître dans cette robe verte !

— Remets-toi de ta surprise, Justin, nous ne sommes pas là pour parler chiffons.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-11-17T09:47:05+01:00

— C’est bien dommage, une si jolie fille…, soupira une dame d’un certain âge à côté de lui.

Il s’inclina vers elle, ce qui était déjà un honneur en soi, et ne put s’empêcher de répliquer.

— Si elle avait été laide, la perte aurait donc été moindre ?

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Extrait ajouté par adele 2014-02-28T16:02:26+01:00

- Hum... C'est vous... grogna Gaston en l'apercevant (...). Remettez vos jupes en ordre, Rosaline, ce n'est vraiment pas une tenue appropriée pour une jeune femme de bonne famille! s'emporta-t-il.

Au lieu de rétorquer avec la réplique cinglante qui lui passa par la tête et qui concernait sa ridicule moustache, elle se contenta de défaire ses ceintures afin de laisser retomber sa robe jusqu'au sol. Elle releva les yeux vers lui, essayant de ne pas trop minauder, mais tout de même, un peu...

- Vous tombez du lit, ma chère? Sortir en laissant vos cheveux libres... s'agaça-t-il en ponctuant son reproche d'un vif claquement de langue.

Son regard s'arrêta sur le buste de Rosaline et il s'empourpra. Elle trouva dommage qu'il ne fasse pas également une remarque sur l'absence de ses dessous, une telle situation n'aurait pas manqué de la distraire. Mais elle n'était pas là pour cela.

source site "dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par MelanieMichel 2021-07-29T10:27:23+02:00

Elle le fixa en fulminant lorsqu'elle constata qu'il était près du cadavre alors qu'elle ne pouvait s'approcher. Il connaissait l'identité de la victime et elle demeurait dans le brouillard. Voilà qui la contrariait fort. Pour tout dire, elle pesta en tapant du pied et en maugréant un '' cornegidouille'', ce qui ajoutait a son allure typique, dans cette rue plein d'agents de la Sûreté, au beau milieu de la nuit.

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