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Dans Sapientia, premier tome de la série L'Empire des femmes, Cassandre Lambert nous plonge dans un monde fascinant où le féminin est au cœur du pouvoir et de la sagesse. L’histoire se déroule dans une société matriarcale avancée, où les femmes détiennent non seulement les rênes du gouvernement, mais aussi les connaissances anciennes et des secrets mystiques qui façonnent leur réalité.
Au centre de ce récit se trouve Aeliana, une jeune femme brillante et prometteuse, choisie pour devenir l'apprentie de la grande sage du royaume. Alors qu'elle s'initie aux arts de la sagesse et des stratégies politiques, Aeliana découvre des complots obscurs qui menacent la stabilité de l'Empire. Elle devra naviguer dans un monde complexe de rivalités et de luttes de pouvoir tout en cherchant à maîtriser ses nouvelles compétences.
Sapientia est une exploration captivante des dynamiques de genre et du pouvoir, tout en proposant une aventure riche en mystères et en révélations. À travers le parcours d’Aeliana, le lecteur est invité à réfléchir sur les notions de leadership, de savoir et d'identité dans une société où les femmes dominent. Ce premier tome promet une immersion dans un univers riche en émotions et en enseignements.
Un livre de très bonne qualité ! Il s’agit d’une de mes meilleures lectures de l’année. Le roman est structuré, les personnages complexes et l’écriture très bonne. J’ai trouvé très ingénieux la construction de cette société matriarcale. Notamment les inversions dans les phrases à chaque chapitre montrent à quel point la société patriarcale a été construite à partir d’idée vraiment bancale.
J’ai également trouvé que le livre se lisait très rapidement, il n’y a pas de lenteur dans l’action. De même les personnages sont complexes et bien construits.
J'ai trouvé ce premier tome agréable, l'autrice à une plume fluide et agréable. Cependant je suis divisé: en tant que libraire je conseillerais aisément ce livre car les sujets abordés sont intéressants et originaux, en tant que féministe j'ai tiqué sur l'apposition de clichés patriarcaux à une société matriarcale : les codes ne sont pas les mêmes, ça manque de réalisme et d'ambivalence. Dommage de faire répéter les mêmes erreurs dans une société qui de part sa base n'est pas construite de la même manière. L'autrice faire resortir son regard cisnormé et patriarcal intériorisé et j'aurais aimé qu'elle aille au delà de ça. Mais je m'égare et ce fut une bonne lecture et j'ai hâte de découvrir d'autres de ses récits.
Un titre et une couverture qui m'on immédiatement attirée. Une lecture de très bonne qualité et une de mes meilleures lectures de 2025.
L'histoire est originale et met en scène une société matriarcale très bien construite, qui souligne que la cruauté et la violence ne sont pas réservées à la gent masculine, loin de là. Dans cette société, les femmes normalisent l'esclavage et les mutilations sur les hommes. Les personnages sont très intéressants, la relation entre Elios et Nikolaos touchante, le tournoi de gladiateurs et leur préparation vraiment bien écrits et structurés.
Une lecture fluide et agréable, je n'ai pas pu poser ce livre avant de l'avoir fini car aucune lenteur dans le récit, l'action s'enchaîne très bien et l'intérêt ne baisse à aucun moment.
J'ai trouvé ça bof. Je pense que je comprends le message, mais l'exagération de la chose le rend "comique" voire "exagérée" et je trouve que cela lui fait perdre de son intensité. Je pense que l'aspect dystopique n'est pas bien maîtrisé par l'autrice, ce qui en vient à limite tourner au ridicule le message féministe, mais aussi contre la cause de l'esclavage.
Je pense aussi qu'en tant que femme blanche l'auteure a eu deux trois expressions qui m'ont mis un peu mal à l'aise sur les personnes de couleurs.
Mais ça, c'est mon avis d'adulte sur un livre qui est censé être pour les jeunes adultes, ce qui est légèrement limite alors qu'on parle de procréation à tout bout de champ et qu'on émascule des personnes.
C'est dommage, je pense qu'il aurait été facile de faire mieux et d'apporter un message plus fort...
Les références antiques et les citations en début de chapitre permettent de re-découvrir l'antiquité mais sous un nouveau jour cette fois-ci ! Puisque c'est la femme qui mène la danse : ce livre se lit très bien et même si les personnages du premier tome sont extrêmes dans leur manière de penser, les changements commencent à s'opérer doucement et prépare le terrain pour le 2eme tome
Je l'ai dévoré, lui comme sa suite. Même pour les femmes, cette inversion radicale de la considération des sexes est marquant, et met en lumière de nouvelles perspectives, tout ça dans un univers antique et bien amené. Les citations modifiés au début de chaque chapitre sont juste le détail parfait.
"Ceux qui vont mourir te saluent" c'est ainsi que César était salué par les Gladiateurs avant les combats dans l'arène et César avait droit de vie ou de mort sur les combattants du Colisée. Dans ce roman, on retrouve société dominée par les femmes à la mode romaine. On y trouve aussi injustice, l'amitié la trahison, religion ... Bref tout ce qui constitue une société, sauf que les hommes en sont les esclaves .... L'idée est originale et le livre se lit très bien ... J'ai été surprise par l'année de naissance de l'autrice qui j'ai découvert avec ce roman, et je lirai le second tome dés que j'en aurai l'occasion. Agréable moment de lecture.
Oubliez tout ce que vous savez : dans cette civilisation inspirée de la Grèce et de Rome antiques, les femmes dominent et dirigent seules.
Et les hommes ? Les plus chanceux intègrent l’Académie des hommes modèles pour espérer devenir Oncles et s’occuper des enfants… mais cela passe par une castration obligatoire. Les autres ? Esclaves. Hommes de compagnie, mineurs, géniteurs : autant dire que les options ne sont pas reluisantes.
Une alternative existe pourtant, mais elle est loin d’être idéale : une petite île infertile et isolée, où une poignée d’hommes vit excentrée de la société.
Dans ce monde, nous suivons deux protagonistes : Adona, fille de la femme la plus influente de l’Empire, qui s’apprête à participer à son premier tournoi de la procréation pour devenir mère, et Elios, envoyé sur le continent pour… (désolée, pas de spoil !).
Le premier tome se concentre sur le tournoi, où morts, alliances et complots rythment le récit. On y découvre aussi des personnages secondaires marquants, et la rencontre entre Adona et Elios m’a beaucoup plu. La fin, explosive, m’a littéralement poussée à enchaîner avec le deuxième tome dans la foulée.
Le deuxième tome explore les conséquences directes de la fin du premier, tout en enrichissant la perspective : Le POV de Cyrène, la meilleure amie narcissique d’Adona, est introduit. Surprise : elle est bien plus complexe qu’elle n’en avait l’air dans le premier opus. Son évolution est franchement réussite, et je crois que c’est même mon personnage préféré de la duologie (avec Nikolaos).
Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, c’est bien écrit, rempli de réflexions et d’actions. En bref, une franche réussite pour cette duologie !
J'adore ce monde dirigé par des femmes, enfin on renverse la tendance et ça fait du bien ! On a tout de même de la peine pour ses hommes qui ne sont considérés comme des moins que rien, serviteurs et géniteurs.
L'empire des femmes tome 1 est une histoire qui marque. On suit une société matricale dans une époque gréco-romaine, la loi du plus fort disons-le. Avecles deux points de vues des protagonistes, Adonna et Elios, on comprend petit à petit les travers de la société où ils vivent. Elle définit notre façon de pensées et d'agir, cette histoire est intéressante de nous faire voir d'un tout nouvel oeil le monde qui nous entoure.
La plume de Cassandre Lambert est parfaitement fluide. J'ai beaucoup aimé son inspiration qui lui a donné l'envie d'écrire ce roman et surtout les citations au début de chaque chapitre qui donne un plus sur la compréhension de l'univers et de sa façon de pensée, tout en donnant un côté mystérieux.
Une société matriarcale loin d'être si utopique qu'on pourrait le penser, la vie à Sapientia est "réglée" et ne semble pas de tout repos. En effet si l'histoire est incroyable, ce roman soulève des questions sociales très pertinentes et intéressantes. Les personnages sont attachants (comme Nickolaos par exemple) et complexe (notamment le frère de l'héroïne, Adonis).
Dans un monde où l'homme est seulement un moyen de procréation jugé dangereux et répugnant, et où la femme règne en maîtresse dans une cité à l'image de la Grèce Antique, le lecteur passe d'Adona à Helios au fil des chapitres.
Ce roman très documenté, très vivant et romantique aussi a vraiment tout pour plaire !!
Résumé
Dans Sapientia, premier tome de la série L'Empire des femmes, Cassandre Lambert nous plonge dans un monde fascinant où le féminin est au cœur du pouvoir et de la sagesse. L’histoire se déroule dans une société matriarcale avancée, où les femmes détiennent non seulement les rênes du gouvernement, mais aussi les connaissances anciennes et des secrets mystiques qui façonnent leur réalité.
Au centre de ce récit se trouve Aeliana, une jeune femme brillante et prometteuse, choisie pour devenir l'apprentie de la grande sage du royaume. Alors qu'elle s'initie aux arts de la sagesse et des stratégies politiques, Aeliana découvre des complots obscurs qui menacent la stabilité de l'Empire. Elle devra naviguer dans un monde complexe de rivalités et de luttes de pouvoir tout en cherchant à maîtriser ses nouvelles compétences.
Sapientia est une exploration captivante des dynamiques de genre et du pouvoir, tout en proposant une aventure riche en mystères et en révélations. À travers le parcours d’Aeliana, le lecteur est invité à réfléchir sur les notions de leadership, de savoir et d'identité dans une société où les femmes dominent. Ce premier tome promet une immersion dans un univers riche en émotions et en enseignements.
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