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Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
Le succès d'un livre, me répondit-il, ne se quantifie pas au nombre d'exemplaires vendus, mais au bonheur et au plaisir que l'on a pu éprouver à l'éditer.
J'ai essayé de me ménager pour ne pas lire ce nouveau roman de Dicker trop vite, je l'avais tant attendu. C'est raté ! Je l'ai dévoré en trois jours, et encore, je me suis efforcée de lire lentement...
J'avais quelques appréhensions en le débutant. Si Dicker m'a conquise grâce à ses trois premiers romans, j'avais malgré tout été quelque peu déçue de son dernier opus, La disparition de Stephanie Mailer. L'intrigue policière était bonne, addictive, mais il manquait ce petit quelque chose de ses premiers romans.
Pour le coup, j'ai été comblée parce que j'ai retrouvé ce petit quelque chose propre à Dicker dans ce nouveau roman.
Dicker nous propulse en plein dans sa terre natale, la Suisse, et le monde de la finance. L'enquête n'est finalement que subsidiaire durant la majeure partie du roman : ce qui est intéressant, au fond, c'est l'histoire qui se noue entre les divers protagonistes.
Encore une fois, l'auteur nous dépeint un nombre assez impressionnant de personnages. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, à aucun moment il n'est possible de se mélanger les pinceaux entre plusieurs d'entre eux : ils sont tous hauts en couleurs, avec des caractères marqués et différents les uns des autres.
Finalement, plus qu'une enquête policière, Dicker peint un immense tableau dans lequel se mêlent des personnes toutes liées les unes aux autres, et toutes soumises aux aléas de la vie mais aussi des non-dits...
Encore une fois, le lecteur peut s'amuser à essayer de répondre à la question, qui cette fois-ci se dédouble : "qui?". Qui est mort dans cette fameuse chambre 622 ? Et qui a tué ? Deux questions centrales, mais qui sont légèrement écartées au profit de cette grande fresque de personnages tous plus intéressants et mystérieux les uns que les autres.
L'écriture de Dicker est toujours aussi addictive. On peut sans conteste lui attribuer le surnom de "maître du page turner". J'ai eu beaucoup de mal à lâcher ma lecture, même si je me suis efforcée de lire lentement, pour savourer chaque ligne (même si, au final, je l'ai dévoré beaucoup trop rapidement..!).
Au fond, je pense qu'il n'y a pas qu'une victime dans ce roman. Spoiler(cliquez pour révéler)Chacun est au final victime d'erreurs commises par d'autres ou de ses propres erreurs. Ou victime collatérale. Malgré tous les défauts que peut avoir Macaire, il m'a semblé qu'il était la principale victime de l'histoire. La compassion, la pitié, l'effarement, l'incompréhension, la prise de recul, la tristesse... chaque décision prise par les personnages m'a conduite à éprouver tour à tour chacun de ces sentiments.
La mise en abîme que Dicker présente en se mettant en scène prend tout son sens dans les dernières pages, et en devient un choix judicieux qui renforce toute l'histoire élaborée. Son roman est un hommage vibrant à Bernard De Fallois, qu'on regrettera je pense, nous, lecteurs, de n'avoir pas rencontré, tant il semblait être un homme vif, intelligent, étonnant, et surtout humain.
Le côté policier du roman, premier genre auquel il est attribué, n'est au fond qu'une façade à mes yeux. Au-delà de l'enquête, c'est véritablement une grande fresque de personnages, une palette de couleurs intenses qui représente la vie, que nous offre l'auteur. Parce que la lecture est une aventure, la vie aussi doit l'être. Et cela, Joël Dicker l'a bien compris et l'a parfaitement transmis.
Cette lecture est une relative déception. J'ai réussi à aller au bout sans avoir envie d'abandonner, mais sans addiction particulière. Joël Dicker est allé trop loin dans dans le découpage : il jongle entre l'histoire réelle, 15 ans plus tôt ou 15 ans plus tard, et l'histoire de l'écrivain avec Sloane et avec son éditeur : c'est trop pour moi. Sans compter le côté tarabiscoté de l'intrigue. Et quelques longueurs ici et là.
Conclusion : ça n'est pas au niveau de ses précédentes productions.
C’est le premier livre que je lis de cet auteur et j’ai adoré ma lecture. Malgré le début un peu long, une fois dedans je l’ai fini en quelques jours pour avoir le dénouement le plus vite possible. Le plot twist est magnifique, c’était une très belle découverte !
J’ai découvert Joël Dicker grâce à L’Énigme de la chambre 622, et quel coup de cœur ! Le plot twist est tellement puissant qu’il me marquera longtemps, c’est certain. Même si le début peut sembler un peu lourd, une fois plongé dans l’histoire, c’est juste impossible de s’arrêter. Une intrigue magistrale et une écriture qui rend ce roman tout simplement inoubliable.
Je n'ai pas grand chose à ajouter quant à cette histoire. Evidemment, on est curieux de découvrir le fin mot de ce meurtre ayant eu lieu dans la chambre 622. On a envie de savoir qui est mort et pourquoi ! Malheureusement, les révélations tombent un peu à plat, le mystère est résolu Spoiler(cliquez pour révéler)avec un aspect comte de Monte-Cristo/masque à deux balles qui ne m'a vraiment pas plu.
Les personnages, si on commence par s'attacher à eux, finissent par nous lasser et nous décevoir.
Je n'ai donc vraiment pas été emballée par la résolution de cette enquête.
Et en plus, les 600 pages voire plus ne font rien pour arranger l'affaire. On se traine d'un bout à l'autre du roman et la fin n'arrive jamais.
J'ai adoré ce livre. C'est un énorme coup de coeur. Ce livre nous retourne le cerveau. On a dû mal à lâcher notre lecture. Ce livre est juste incroyable. On passe par pleins d'émotions et de suspense. Merci.
J'ai aimé ce livre et ai tout particulièrement adoré la fin. Si la lecture m'a parfois paru longue et éparse, j'ai facilement pu le comprendre avec la fin. J'ai aimé cette ambiance d'enquête, presque cosy mystery avec l'écrivain (qu'on imagine autobiographique, du moins autofictif) et son assistante. Cependant, je garde en tête quelques longueurs ou détails qui m'ont parfois sorti de l'histoire. J'ai passé un bon moment en le lisant mais ne sais pas si je le recommanderai à mon entourage. J'ai aimé l'écriture et songe déjà à me pencher sur une autre oeuvre de l'auteur.
Dans L'Énigme de la chambre 622 de Joël Dicker, le lecteur suit un écrivain qui s'engage dans une enquête non officielle autour d'un meurtre mystérieux dans un hôtel suisse, où secrets de la banque privée et passions personnelles se croisent. Les rebondissements sont si nombreux que l'on doit s'attacher de près à l'histoire pour ne pas se perdre dans les détails et révélations successives. Cette intrigue riche, typique de Dicker, pousse le lecteur à explorer chaque indice pour dénouer le mystère, avec des retournements captivants qui maintiennent le suspense jusqu'à la dernière page.
Un nouveau Joel Dicker empli de retour en arrière, sans cesse ballotté d'une année à une autre. Les personnages sont incroyables et on s'attache facilement à certains d'entre eux, de la même façon que l'on tente, en vain, de trouver le coupable. L'identité du cadavre retrouvé dans la chambre se trop longuement attendre... mais en dehors de ça on est surpris du début à la fin.
Résumé
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
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