Commentaires

4 récits en un, des batailles et une héroïne pleine de surprises. J'espère, un jour, pouvoir retrouver ses personnages

Un roman qui me faisait super envie mais qui n'a finalement pas était à la hauteur de mes attentes.

Déjà le gros bémol pour moi, c'est que la recherche des jumeaux du Roi (qui nous ai annoncé en 4e de couvertue) ne dure pas tout le roman. L'intrigue est résolue dans les 100 premières pages, ce que je trouve trop rapide et qui ne m'a pas convaincue.

J'ai aussi trouvé l'histoire trop répétitive. En gros c'est bataille, on échappe à la mort grâce à la magie, on se repose, on se soigne et le roman répète ces événements durant tout le roman, avec la romance qui vient par dessus. Alors j'adore la romance en fantasy mais là je trouve que ça prend trop le pas sur l'intrigue et elle ne m'a pas conquise. Et je trouve aussi dommage que les scènes de combat soient beaucoup trop vite expédié alors que c'est ce que j'attendais de ce roman au départ.

Je pense que l'histoire m'aurai beaucoup plus emballée si elle c'était étalé sur 2 tomes. Car pour moi les idées sont là, il y a vraiment de supers idées, l'univers est là mais malheureusement je trouve que celui-ci n'est pas assez développé et certains événements auraient mérité plus d'explication en amont. Je pense surtout aux magiciens qui arrivent un peu comme ça dans l'histoire sans trop en avoir entendu parler avant et pourtant ils sont super intéressants.

J'ai beau dire pas mal de chose "négative" sur ce roman mais j'ai tout de même des points positifs. Déjà j'ai vraiment bien accroché à la plume de l'autrice, ça se lit facilement et c'est fluide. Les personnages, même si je ne m'y suis pas totalement attaché, sont très bien développés. Kern est assez badass et j'ai adoré son don. Et j'ai beaucoup aimé le personnage de Korwen.

En bref, un roman de fantasy avec un héroïne assez badass qui ne révolutionne pas le genre mais qui saura trouver son public.

Univers intéressant, je n'ai pas accroché à la relation amoureuse mais j'ai adoré tous les personnages, l'histoire n'est pas très fluide et peu de rebondissements. Mais l'épilogue est incroyable.

J'ai lu L'enragée passablement rapidement, le livre étant dans l'ensemble assez divertissant et fluide, mais ce n'est certes pas un livre qui va me rester en mémoire bien longtemps.

Le roman avait pourtant bien du potentiel dans le scénario de départ: la recherche d'héritiers perdus, les conflits politiques potentiels, la mystérieuse capacité de Kern à se mettre dans l'état d'enragée, les deux jumeaux qui doivent mettre de côte leur vie pour le devoir et le royaume, etc. J'adore les romans de fantasy-politique alors si l'aspect politique de toute cette histoire avait été plus mis en valeur, je crois que je l'aurais vraiment plus apprécié, malheureusement, c'est l'action qui a pris le dessus. L'histoire avance trop vite (elle est aussi très prévisible), on a pas le temps de se concentrer sur les évènements que l'on passe déjà à autre chose. Avec tout ce qui se passe dans ce roman, si l'auteure avait voulu, elle aurait certainement pu faire deux romans différents, permettant ainsi un meilleur développement de l'histoire.

Pour ce qui est des personnages, ceux-ci sont également pauvrement développés selon mes standards. Leur opinion change trop vite, il y a certaines incohérences dans leur comportements et pour certains personnages importants (Korwen) on a aucun passé par exemple. J'aurais vraiment aimé aussi que l'auteure développe beaucoup plus Aloïs qui a une histoire a lui tout aussi intéressante que celle d'Alinessa (sinon plus à mon sens)et qui est pourtant mise de coté. Les relations entre les personnages ne volent pas bien haut non plus: triangle amoureux, insta-love... Ce ne sont pas des aspects que je recherche sur le plan de la romance mettons.

Le worldbuilding n'est pas non plus excellent en soi, quoique on ait déjà plus de développement que pour les personnages. Mettre l'accent sur l'aspect politique de l'histoire et l'affrontement entre les différents royaumes aurait peut-être permis de vraiment mieux comprendre ce qui les oppose. On comprends bien ce qui différencie Saralondé et les terres de Gründ, mais pour ce qui est de Kardammen, Viernamus et Arden, les frontières restent très floues.

Finalement, l'Enragée n'est pas un mauvais roman en soi, j'ai d'ailleurs passé un bon moment de lecture. La plume de Jennifer Tellier est belle et fluide, ce qui permets d'avancer rapidement et de ne pas décrocher. Ce n'est cependant pas (et c'est rare que je dise ça pour de la fantasy) un roman pour moi. Je pense cependant que d'autres (et cette section commentaires le prouve) sauront mieux l'apprécier à sa juste valeur.

Une héroïne badass, enfin !

J'ai adoré ce livre, les scènes de combat sont bien ficelées et on les visualise très bien. Rien à redire ! :)

J'ai globalement passé un bon moment de lecture.

J'ai au début eu du mal à rentrer dans l'histoire parce que j'avais un peu de mal avec la plume, puis au final j'ai fini a fond dedans.

J'ai bien aimé la construction du monde et les différentes intrigues.

C'est un roman avec beaucoup d'action, de combat, et des rebondissements, même si je trouve, à mon goût, qu'il y a un schéma répétitif qui se met vite en place et que des retournements de situations ou des trahisons en plus auraient été parfait.

Kern est un personnage que j'apprécie par son caractère, sa force, et le fait qu'elle n'ait beoins de personne. C'est un personnage bien construit, avec une histoire et de la profondeur. Elle perd un peu de son caractère au fil du roman et s'adoucit très vite, ce que je trouve un peu dommage, mais elle n'en est pas moins intéressente.

Chronique d’une bien cruelle déception, ayant fini par abandonner ma lecture… Par curiosité, j’ai lu en diagonale quelques chapitres jusqu’à la fin, confirmant le fait que malgré de très bons avis, ce roman n’était pas pour moi. Les débuts étaient pourtant prometteurs et ont tout de suite titillé ma curiosité. J’avais ainsi hâte de découvrir cette Enragée, une femme à la terrible réputation, engagée, aux côtés d’un chevalier et de soldats, pour mener à bien une importante mission, retrouver les deux héritiers d’un roi qui se meurt.

Malheureusement, mon enthousiasme n’a pas duré longtemps. On fera l’impasse sur la mise en avant de ses longues jambes nues : c’est certain que devant une femme à la réputation de tueuse, c’est la première chose sur laquelle n’importe quelle personne sensée s’attarderait… Et puis, la récurrence du mot sauvage m’a franchement indisposée, sans oublier que la grande mercenaire implacable, solitaire et sanguinaire qu’on m’a promis se transforme fort vite en maman poule.

Une maman poule qui veille avec un naturel désarmant sur le maillon faible parmi ses nouveaux alliés et se révèle bien sociable d’un coup. Alors qu’elle était supposée ne pas aimer parler aux gens, et c’est l’euphémisme du siècle, elle se met très vite à bavarder, s’amuser et rigoler. Bizarre pour une femme qui d’habitude réagit violemment quand on vient lui parler. On aurait pu se dire que c’était un moyen de montrer que sa réputation de femme sanguinaire était exagérée, mais il aurait alors peut-être fallu amener progressivement ce revirement de personnalité ou, au moins, l’expliquer.

Tout dans la construction de ce personnage m’a semblé maladroit et incohérent. Même chose avec un chevalier censé être hostile à cette Enragée et qui tombe plus ou moins en extase devant son joli minois dès le début. D’ailleurs, à partir de leur rencontre, on a le droit aux regards, à la jalousie bien mal placée et un focus agaçant sur l’attirance naissante entre les deux. J’aime beaucoup la romance dans les romans de fantasy, mais à condition qu’elle soit un minimum subtile…

On notera également une tentative de viol qui apparemment ne gêne personne. Pire, quand notre chevalier en est témoin, ce qui le perturbe, ce n’est pas ce qu’a failli faire son ami, mais que l’objet de son attirance en ait embrassé un autre. Dommage qu’au lieu d’être dénoncée, cette tentative de viol soit banalisée et utilisée pour accentuer la jalousie fort mal placée d’un homme, dont l’intérêt pour l’héroïne est palpable…

En plus d’avoir été déçue du traitement réservé à une héroïne badass qui ne l’est pas vraiment, je me suis ennuyée devant une action qui se concentre, du moins dans le premier tiers du roman, surtout sur les sentiments de personnages dont les pensées tournent en rond. Une révélation que je n’avais pas anticipée aurait pu créer une nouvelle dynamique, mais elle est vite expédiée. Elle m’a semblé assez représentative d’un roman contenant de bonnes idées, mais ayant tendance à manquer de profondeur, rendant le tout assez bancal…

Si le fond ne m’a guère convaincue, j’ai apprécié la forme. L’écriture de Jennifer Tellier est, en effet, agréable, fluide et dynamique, ce qui m’a permis d’avancer malgré mon manque d’intérêt pour les personnages et les événements. Pas assez toutefois pour poursuivre ma lecture, ayant décidé, hors service presse, de ne plus me forcer à terminer un roman qui ne me convainc guère. Toutefois, si le manque de profondeur ne vous dérange pas et que vous appréciez un minimum la romance, ce roman possède des idées intéressantes.

Je pense, entre autres, au retour annoncé de deux héritiers que l’on pensait morts et qui vont devoir s’adapter à une nouvelle vie. L’état de transe dans lequel notre héroïne entre n’est pas non plus dénué d’intérêt, d’autant qu’il soulève quelques questions… Si le comportement des personnages ne m’avait pas autant agacée, j’aurais d’ailleurs poursuivi ma lecture, curieuse d’obtenir des réponses à mes interrogations, l’autrice ayant réussi à développer certains enjeux notamment politiques. La relation fraternelle qui est amorcée avant que je n’abandonne ma lecture est également intéressante, même si de nouveau, la manière dont elle est amenée m’a semblé manquer quelque peu de subtilité.

En bref, malgré un résumé alléchant et la promesse d’une héroïne badass, L’Enragée n’a pas su me convaincre en raison d’une certaine maladresse dans la construction des personnages, d’un manque de subtilité dans les relations et, de manière générale, de profondeur. Tout autant d’éléments qui ont fini par m’agacer et me faire abandonner ma lecture. Ce roman n’a pas répondu à mes attentes, mais peut-être qu’il en sera autrement pour vous. Alors si le résumé vous tente ou que mon avis vous intrigue, n’hésitez pas à vous lancer ou à lire d’autres avis, beaucoup étant bien plus enthousiastes que le mien..

https://lightandsmell.wordpress.com/2022/01/31/lenragee-jennifer-tellier-plib2022/

Livre incroyable, acheté à Noël dernier et relu au moins 4 fois tellement il est génial. Je vous le conseille vivement si vous aimez les rebondissements... :)

Je commence à avoir un peu de connaissances en Fantasy et j apprécie toujours autant . J avais été attirée par la couverture que je trouvais très belle mais je n' avais pas encore mis le pied dans la fantasy 😃

On fait connaissance avec kern la rouge, héroïne hors norme mais à laquelle on s' attache. Korwen de Nomm qui l accompagnera tout au long de son périple malgré ses réticences et tous les autres personnages qui gravitent autour tout au long de cette quête, nous emmène dans une histoire où la magie est présente.

Un style agréable et facile à lire. J ai été littéralement entraînée dans l histoire avec une fin à la hauteur de l histoire.

J ai dévoré ce livre et j espère bien voir un nouveau livre de cette auteure qui mérite qu on s' y intéresse.

Ce livre est le lauréat 2020 du Grand prix 404 Factory

L’enragée, c’est un livre avec un personnage fort auquel je me suis attachée de suite elle est tenace solitaire n’a besoin de personne pour se débrouiller seule et très sombre. Les personnages évoluent avec l’histoire et ce qui a provoqué un petit bémol, c’est que l’enragée devient plus faible, plus sensible, à cause, d’une histoire d’amour ,. Un homme qui prend beaucoup de place dans cette histoire par la suite. Alors que j’aurais préféré qu’elle reste elle-même un magnifique univers qu'on parcourt tout au long du livre des combats du sang des complots magouilles politiques de la magie un livre bien complet rempli d'actions en somme