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Grièvement blessé lors d'un combat contre les soudards de l'Ordre Impérial, Richard serait sans doute mort sans l'intervention de Nicci.
Un sauvetage miraculeux qui laisse le Sourcier très faible, désorienté. et peut-être victime d'une formidable hallucination. En effet, quand il s'enquiert du sort de Kahlan. il découvre que personne parmi ses compagnons, ne semble la connaître. Même Cara, sa fidèle garde du corps, ne se souvient pas qu'il ait un jour été marié à la Mère Inquisitrice. Alors que la guerre contre Jagang continue de faire rage, Richard part en quête de son passé et de sa mémoire.
Il en est persuadé : cette disparition fait courir à l'univers un danger mortel !.
Les trois derniers tomes sont vraiment dans la continuité les uns des autres, il n'y a pas vraiment de résolution à la fin de chaque tome mais plutôt une sorte de "à suivre". J'adore cette intrigue. Goodkind est vraiment bourré d'imagination!
Depuis plusieurs années, je m’efforce de parcourir l’intégralité de la série L'Épée de Vérité de Terry Goodkind. Chaque tome a son souffle propre, son lot de révélations et ses montagnes russes émotionnelles. Mais ce neuvième opus, La Chaîne de Flammes, est une créature à part. À la fois déroutant, frustrant, et profondément addictif, ce volume brise les codes que la saga avait jusque-là établis pour nous plonger dans une expérience presque claustrophobique.
La décision de Goodkind de transformer ce tome en le premier acte d'une trilogie à l'intérieur même de la série principale est audacieuse, mais aussi risquée. Pour la première fois, nous sommes confrontés à un roman qui refuse de nous offrir une fin cathartique. Pas de retrouvailles triomphantes entre Richard et Kahlan, pas de justice immédiate ni de résolution éclatante. Ce choix narratif m’a surpris, désagréablement sur le moment, je dois l’admettre. Mais en y réfléchissant, cette absence de conclusion joue un rôle essentiel : elle nous laisse dans le même état de frustration que Richard lui-même, piégés dans un tourbillon d’incertitude et d’angoisse.
Chaque page de ce roman est imprégnée d’une tension viscérale. Goodkind nous force à ressentir chaque éclat de doute et de désespoir qui envahit Richard alors qu’il est seul à se souvenir de Kahlan. Cette situation, où tout le monde autour de lui le regarde comme s’il perdait la tête, m’a donné envie de hurler la vérité à ses alliés. Vous connaissez cette envie irrépressible de secouer un personnage pour qu’il ouvre enfin les yeux ? Ici, c’est presque insupportable, mais terriblement efficace.
Ce qui rend ce tome si captivant, c’est la plongée psychologique dans l’esprit de Richard. Il vacille au bord de la folie, et on vacille avec lui. Est-il possible qu’il se trompe ? Qu’il invente Kahlan pour échapper à une vérité plus sombre ? L’idée même est insoutenable. Goodkind maîtrise l’art de distiller des graines de doute tout au long du récit, nous forçant à remettre en question tout ce que nous pensions savoir sur cet univers.
Et pourtant, malgré cette frustration constante, c’est aussi le tome qui m’a le plus marqué. La magie de l’écriture de Goodkind ici ne réside pas dans les batailles épiques ou les grandes révélations – bien qu’il y en ait quelques-unes –, mais dans la tension brute, le sentiment d’être prisonnier d’une réalité qui se délite sous nos yeux.
Certes, l’absence d’une fin classique peut frustrer ceux qui, comme moi, espéraient un dénouement plus féérique. Mais La Chaîne de Flammes n’est pas là pour récompenser ses lecteurs. Il nous met à l’épreuve, tout comme il met Richard à l’épreuve. Et dans cette épreuve réside toute la beauté de ce neuvième tome.
Un roman qui ne lâche jamais sa prise, un thriller psychologique déguisé en épopée fantasy. Et au final, n’est-ce pas là la marque d’un grand livre ?
Richard a l'impression de perdre la raison lorsque après avoir échappé à la mort, tout le monde a oublié l'existence de Kahlan ! Ses proches commencent à s'inquiéter pour lui, persuadés que le traumatisme lui a fait s'inventer une épouse. Au bord du désespoir, il pourra toujours compter sur ses amies indéfectibles : Cara et Nicci. Malgré la menace de la guerre, il est résolu à ne pas abandonner celle qu'il aime, certainement en grand danger.
Même si on reprend toujours ce schéma où Richard et Kahlan sont séparés et essaient désespérément de se retrouver, ce tome-ci apporte quand même pas mal de nouveautés dû au fait que Richard est le seul à se souvenir correctement des choses. J'ai beaucoup aimé ce tome-ci, et la fin qui n'en est pas une pousse irrémédiablement à lire le suivant rapidement.
Un nouvel opus qui redonne du souffle à cette saga. En effet je trouvais qu'une baise de régime affectais les trois derniers volumes. Mais ce dernier m'a remis le pied à l'étrier. Un très bon livre
Comment cela Kahlan n'aurait jamais existé et seul Richard s'en rappelle ? Est-ce que j'ai été menée en bateau depuis le début ? Je n'espère pas.
J'ai beaucoup aimé ce tome, je l'ai trouvé bien plus intriguant que les derniers et je trouve que Richard à retrouver quelque chose je ne saurais quoi dire mais j'ai vraiment aimé, j'espère que notre petite Kahlan n'est pas loin quand même...
Ce tome a un peu relancé mon intérêt pour la saga. Je m'ennuyais pas mal depuis quelques temps et j'ai trouvé ce roman moins lourdingue à lire, plus captivant. Pourtant je suis plus que sceptique vis à vis du tournant que prend l'intrigue... Je sais pas trop où l'auteur nous amène et, même si je suis curieuse de savoir, j'ai peur qu'il ait été trop ambitieux et que la chute soit mauvaise.
Résumé
Grièvement blessé lors d'un combat contre les soudards de l'Ordre Impérial, Richard serait sans doute mort sans l'intervention de Nicci.
Un sauvetage miraculeux qui laisse le Sourcier très faible, désorienté. et peut-être victime d'une formidable hallucination. En effet, quand il s'enquiert du sort de Kahlan. il découvre que personne parmi ses compagnons, ne semble la connaître. Même Cara, sa fidèle garde du corps, ne se souvient pas qu'il ait un jour été marié à la Mère Inquisitrice. Alors que la guerre contre Jagang continue de faire rage, Richard part en quête de son passé et de sa mémoire.
Il en est persuadé : cette disparition fait courir à l'univers un danger mortel !.
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