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L'Épouse d'Alessandro Ferrante



Description ajoutée par Underworld 2017-03-12T15:49:38+01:00

Résumé

Octavia est outrée : comment son mari, le puissant Alessandro Ferrante, peut-il exiger qu’elle rentre avec lui à Naples ? Après l’avoir laissée seule à Londres pendant sa grossesse et avoir manqué la naissance de leur enfant, il ose encore la soumettre à sa volonté ? Octavia en est consciente, Alessandro n’a pas l’habitude qu’on lui résiste. Cette fois, pourtant, il pourra bien tout tenter pour la faire changer d’avis, elle ne cédera pas. Maintenant qu’elle a un fils, elle ne peut plus se permettre de tout accepter par amour pour Alessandro, et sa décision est prise : elle le quittera…

* * *

Description en VO :

Claiming his heir

When Alessandro Ferrante dutifully married shy heiress Octavia, it was a pleasant surprise to discover that his convenient bride was as sweetly sensual as she was beautiful. But when their newborn baby is swapped at the hospital, their fragile marriage reaches crisis point.

and his wife!

With her baby safely back in her arms, the revelation that Alessandro's family was involved leaves Octavia wanting nothing more to do with him. But Alessandro won't take no for an answer-after all, in the bedroom she always said yes! He will seduce his wife again and ensure Octavia-and his child-are his forever!

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Classement en biblio - 27 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Underworld 2019-09-17T23:22:02+02:00

** Extrait offert par Dani Collins **

1.

Un nouvel éclair fulgurant de douleur traversa Octavia, irradiant tout son tronc, depuis son ventre jusqu’à son dos.

Elle serra les dents pour ne pas crier et agrippa la couverture en prévision de la contraction suivante. Elle avait un mauvais pressentiment. Le pire allait arriver, elle le devinait, et elle n’aurait même pas entendu la voix de son mari.

— Je t’en supplie, appelle Alessandro, demanda-t-elle à Primo.

Debout face à la fenêtre, le cousin de son mari se contenta de soupirer, avant de se retourner vers elle.

— Combien de fois faut-il que je te le répète : Alessandro ne viendra que si le bébé naît vivant. Dans le cas contraire, il ne fera pas le déplacement.

Non, impossible, elle n’y croyait pas. Primo était en train de jouer avec elle, de la manipuler. Forcément. Plus les jours passaient, plus elle avait l’impression qu’il prenait un malin plaisir à la torturer. Elle ne lui faisait absolument pas confiance.

Cependant, après des mois d’exil forcé à Londres loin de son mari, les mots de Primo commençaient à la faire douter. D’ailleurs, il avait raison sur un point : elle était faible. Elle l’était même tellement qu’elle avait perdu tout contrôle sur sa vie, sur sa destinée. Tout cela à cause de sa grossesse.

Au fil des mois, sans s’en rendre compte, elle s’était ramollie, elle était devenue plus vulnérable ; quand elle avait voulu réagir, il était déjà trop tard. Et aujourd’hui, elle ne pouvait plus se raccrocher à quoi que ce soit.

Au fil des mois, elle s’était isolée ici. Elle s’était répété qu’Alessandro la rejetait, qu’elle était seule et, tout à coup, c’était devenu le cas. Elle était bel et bien seule, sans personne pour l’aider, sans aucune force.

A chaque fois qu’elle avait tenté de se rebeller par le passé, elle l’avait payé cher, alors elle préférait se retenir. Pourtant, elle ne s’était jamais comportée comme une femme faible. De nature réservée, elle avait même eu confiance en elle, à une époque. Pendant les premières semaines de son mariage, par exemple, elle s’était sentie forte, fière et heureuse.

Une nouvelle contraction la foudroya, encore plus forte que la précédente, la déchirant comme un couteau qu’on lui aurait enfoncé dans le ventre. Incapable de se retenir, elle poussa un cri.

Pitié, qu’Alessandro vienne vite !

Beaucoup d’hommes souhaitaient être présents pour la naissance de leur enfant. Octavia avait cru que ce serait le cas de son mari. Mais peut-être Primo disait-il la vérité lorsqu’il affirmait qu’Alessandro avait mieux à faire…

Et si elle demandait à Primo d’appeler sa mère ? Non, ce n’était pas une bonne idée. Celle-ci se trouvait en Italie, et ne serait sans doute pas d’un grand secours puisqu’elle avait accouché à sept reprises d’enfants mort-nés avant sa naissance ; et que son arrivée ne l’avait même pas comblée. Au contraire. Dans son milieu, une fille ne valait pas grand-chose.

Toute sa vie, Octavia avait vécu dans la crainte de subir le même sort que sa mère — perdre ses bébés avant leur naissance —, et son cauchemar était en train de devenir réalité. Le travail ne ressemblait en rien à ce qu’elle avait lu dans les livres. La douleur était insupportable, effroyable. Quelque chose ne tournait pas rond, elle en avait la certitude.

Elle profita de quelques secondes de répit entre deux contractions pour interroger Primo :

— Où est l’ambulance ? La clinique m’a demandé de passer un coup de fil dès que le travail commencerait. L’as-tu appelée ?

— Arrête de jouer les femmes hystériques ! Ne sais-tu pas que les accouchements durent des heures ?

Il avait promis d’appeler, mais elle était prête à parier qu’il ne l’avait pas fait. Pourquoi était-il ici, de toute façon ? Et pourquoi son mari n’était-il pas présent ?

Elle posa ses mains sur son ventre rond pour tenter d’atténuer la douleur. Les contractions étaient de plus en plus rapprochées. Elle avait l’impression qu’elle allait exploser.

— Primo, je t’en supplie, conduis-moi à l’hôpital.

— Reprends-toi ! Tu fais honte à la famille en te comportant comme une mijaurée. Où est donc cette force que tu affirmais posséder ? Où est cette fierté ? Fais preuve d’un peu de dignité.

Blessée, Octavia baissa les yeux. Quel homme cruel ! Elle le détestait plus que tout au monde. Et dire qu’Alessandro l’avait laissée entre les mains de cet affreux personnage… Toutes les fois que Primo l’insultait, elle avait l’impression que c’était Alessandro qui lui faisait du mal. Pendant les premiers temps, elle avait pourtant eu l’impression que son mari était attaché à elle. Hélas, elle ne représentait plus rien pour lui. Il avait joué avec elle pendant quelques semaines, puis il l’avait oubliée. Son indifférence lui faisait l’effet d’un coup de poignard dans le cœur.

Elle prit une grande inspiration. Elle n’avait plus aucune force, mais il était hors de question qu’elle accouche dans son lit, hors de question qu’elle mette en danger la vie de son bébé. Elle devait se reprendre.

S’agrippant à la table de chevet, Octavia se leva tant bien que mal. Pitié, que ses jambes ne la trahissent pas ! Elle était prête à ramper si nécessaire, mais elle ne resterait pas ici. Primo souhaitait sa mort ? Eh bien, elle ne partirait pas sans se battre.

— Tu saignes ?

Elle sursauta en entendant la voix glaciale du cousin d’Alessandro. Elle examina la tache rouge sur le drap et pâlit. Sa tête se mit à tourner. Voilà, son cauchemar était en train de devenir réalité : comme sa mère, elle allait perdre un bébé. Si par miracle elle survivait, ce mauvais rêve se répéterait encore et encore dès qu’elle tenterait de respecter sa part du contrat de mariage.

Elle avait été bien bête lorsqu’elle avait imaginé qu’un mariage arrangé suffirait à gagner le respect de son père. Le pire, c’était qu’elle avait succombé au charme de son mari. Pourquoi avait-elle ouvert son cœur et accepté de tomber enceinte ? Avait-elle vraiment cru qu’elle pourrait donner naissance à un bébé qui l’aimerait en retour ? Elle avait été bien naïve. Personne ne l’aimerait jamais.

Il était temps pour elle d’admettre la triste réalité.

Refoulant ses larmes, elle s’approcha de la table sur laquelle il avait laissé le téléphone. Sans cesser de prier, elle composa le numéro des urgences et demanda qu’on lui envoie une ambulance le plus vite possible.

* * *

Alessandro Ferrante fixa l’écran de son téléphone et le numéro qui venait de s’afficher.

Ainsi, sa femme l’appelait…

Son cœur se serra dans sa poitrine et il prit une profonde respiration. Il n’avait aucune raison de réagir ainsi : Octavia se trouvait à des milliers de kilomètres. Malgré tout, il était surpris. Elle ne l’appelait plus jamais. D’ailleurs, il regrettait qu’elle ne lui téléphone plus. Et il regrettait de le regretter. Il ne voulait pas se conduire ainsi, ce n’était pas son genre.

Et d’abord, pourquoi l’appelait-elle aussi tard ? Peut-être sentait-elle le bébé lui donner des coups ? Elle lui avait raconté à plusieurs reprises que parfois, le bébé bougeait tant qu’elle avait du mal à s’endormir. Comment en être sûr, cependant ? La distance qui s’était créée entre eux était telle qu’il ne pouvait pas avoir la moindre certitude.

Inutile cependant d’avoir des regrets, leur séparation était nécessaire. Faire preuve de faiblesse aurait été irresponsable.

Il décrocha enfin.

— Cara ?

— C’est moi, répondit la voix de Primo.

La déception le gagna avant qu’il ait pu refouler ce sentiment. D’habitude, il ignorait ses émotions. La dernière chose qu’il désirait, et dont il avait besoin, c’était d’être gouverné par ses sentiments.

Malheureusement, il ne parvenait plus à cacher sa frustration. Sa compatibilité avec Octavia était indéniable, surtout au lit, et leur alchimie incroyable, alors pourquoi l’avait-il laissée seule à Londres ? La réponse à cette question était simple : elle était enceinte et sa grossesse était considérée comme à risques, sa mère ayant perdu plusieurs bébés. Mieux valait donc qu’elle mène sa grossesse à terme en Angleterre, à proximité d’un spécialiste qui pourrait la surveiller vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Loin de Naples, Octavia était en sécurité. S’il refusait qu’elle rentre en Italie, c’était pour son bien, juste pour son bien, et celui du bébé à naître. Il ne devait pas l’oublier.

Ces derniers temps, sa femme évitait le plus possible ses appels. C’était son cousin qui lui donnait des nouvelles. Cette présence entre eux le dérangeait. D’ailleurs, pourquoi Primo logeait-il toujours chez sa mère ? Il ne fallait tout de même pas six mois pour faire repeindre un appartement !

— Si ? répondit-il, se forçant à ne pas paraître trop sec.

— Le travail a commencé.

Le travail ? Il se redressa, l’adrénaline se mit à rugir dans ses veines et il oublia immédiatement le dossier sur lequel il travaillait. Pourquoi le travail avait-il commencé ? C’était bien trop tôt. Octavia n’était pas censée accoucher avant un bon mois.

Il attrapa sa tablette et commença à rédiger un message à l’attention du pilote de son jet pour lui demander de préparer son avion.

— Tout s’est passé très vite, continua Primo. C’est pour cette raison que je ne t’ai pas appelé plus tôt. L’ambulance a eu du retard et… il y a eu quelques complications.

Des complications ? Il ne répondit pas. La panique l’envahissait, une panique trop forte pour être refoulée. Primo avait toujours eu tendance à tout dramatiser. Il lui avait fait la remarque à plusieurs reprises, sans résultat. Pour son cousin, il s’agissait juste d’une façon d’attirer l’attention.

Stop ! Ce n’était pas le moment de lui faire des reproches.

Derrière lui, le tic-tac de l’horloge lui faisait penser à une bombe prête à exploser. L’air lui manquait, il ne pouvait pas respirer, il était comme paralysé. Il ne ressentait plus rien, son esprit était vide.

— Et ?

— L’ambulance l’a conduite à l’hôpital le plus proche, plutôt qu’à la clinique où elle était censée accoucher. Elle est arrivée en même temps que les victimes d’un grave accident d’autocar, alors sa prise en charge a été un peu retardée. Elle vient juste de partir au bloc.

Alessandro serra les poings pour se maîtriser. Il bouillait. Il s’impatientait. Il était en train de devenir fou.

— Quel hôpital ? demanda-t-il d’une voix plus calme que son esprit. Je pars tout de suite.

2.

Finalement, les hôpitaux publics avaient du bon, songea Octavia, alors que les effets de l’anesthésie commençaient à se dissiper. Ici, rien n’impressionnait les infirmières, et surtout pas Primo ou son compte en banque ; et si elles affirmaient que celui-ci ne pouvait voir son fils, alors il ne le verrait pas.

— Primo n’est pas mon mari, avait-elle expliqué d’une voix presque désespérée à l’ambulancière, pendant le trajet. Il n’est pas le père et je refuse qu’il s’approche de mon bébé. Transmettez le message à l’hôpital, il est hors de question qu’il pénètre dans la salle de travail. Je suis sérieuse !

Sans doute la jeune femme l’avait-elle prise pour une folle, mais tant pis. Elle ne faisait absolument pas confiance à Primo. Depuis qu’il s’était installé, à ses côtés, chez la mère d’Alessandro, il avait fait de sa vie un enfer.

Elle chassa ces préoccupations. Elle n’avait pas envie de penser à Primo pour le moment. Elle préférait se concentrer sur son petit garçon — qui allait bien, même s’il était en couveuse. D’ailleurs, l’infirmière n’allait pas tarder à l’emmener jusqu’au service de néonatalogie pour qu’elle le nourrisse.

Elle esquissa un sourire. Toutes les infirmières étaient adorables avec elle. Elles la traitaient avec davantage de gentillesse et de douceur qu’elle n’en avait connu pendant ces derniers mois. Et bientôt, Alessandro serait là. Il était en chemin, lui avait annoncé Primo.

Son mari venait-il parce qu’elle avait donné naissance à un garçon ? Elle ferma les yeux et refoula cette pensée : ce n’était pas le moment d’être amère. Ce n’était pas le moment non plus de se dire que cette naissance allait satisfaire son père. Octavia n’avait plus envie de penser à ces hommes qui attendaient d’elle qu’elle se soumette en silence à leurs moindres désirs. Désormais, il n’y avait plus qu’un mâle important dans sa vie : son fils.

Elle prit une profonde inspiration pour calmer ce mélange de crainte et d’impatience qui l’étreignait. Dans quelques heures, elle allait revoir Alessandro. Il n’était pas venu à Londres depuis Noël — et encore, il n’était resté que quelques jours. Elle n’avait pas pu profiter de ce contact physique qui lui manquait tant. En fait, ils n’avaient pas eu le moindre contact physique depuis qu’elle était enceinte. Une éternité, donc.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Dudou 2020-11-28T01:04:04+01:00
Envies

J'adoreeeee j'ai déjà lu le prix du secret je connais une partie de l'histoire d'Octavia mais j'ai hâte de lire le livre complet

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Commentaire ajouté par SuBla65 2019-10-21T08:52:39+02:00
Diamant

Excellente romance. Personnages complexes, attachants.

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Commentaire ajouté par Csirene 2017-04-08T11:51:40+02:00

La traduction est bonne, le style fluide...

L'histoire est longue et pourtant cela se passe sur quelques mois... On s'ennuie de bout en bout.

Les personnages ne sont ni intéressants ni vraiment sympathiques. On n'entre pas dans les paniers de crabes successifs que nous présente l'auteure. Pour n'y entre-t-on pas ? C'est parce que tout est survolé et pas correctement mis en place. Quand ils sont enfin mis en place, les incohérences font que l'histoire n'est plus crédible.

Imaginez... Vous avez des preuves concrètes et des vidéos à l'appui pour prouver une situation et désigner sans aucun doute possible un coupable et vous ne vous en servez pas ? Vous préférez vous faire critiquer et passer pour le méchant au mieux ou pour un faible ? Voilà le personnage de Allessandro définitivement détruit... Ce n'est pas un chef de famille mais une lopette. Octavia est aussi insipide que lui... il faudra la fin du roman (les dernières 20 pages) pour que ces deux là se réveillent... Désolant !

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Bronze

J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs parfois dans le livre. L'ensemble du livre était, selon moi, assez plat. Et comme dans beaucoup d'Harlequin, on déplore un grand manque de communication entre les personnages.

En bref, c'est du réchauffé mais ça fait passer le temps.

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Dates de sortie

L'Épouse d'Alessandro Ferrante

  • France : 2017-03-01 - Poche (Français)
  • USA : 2015-12-15 - Poche (English)

Activité récente

moneh l'ajoute dans sa biblio or
2018-08-09T19:15:46+02:00

Titres alternatifs

  • The Wrong Heirs, Tome 1 : L'épouse d'Alessandro Ferrante - Français
  • The Marriage He Must Keep - Anglais
  • The Marriage He Must Keep (The Wrong Heirs #1) - Anglais
  • Un'ereditiera in abito bianco - Italien
  • Η Πρόκληση του Αλεσάντρο - Grec

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