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— Quelqu’un devrait peut-être prononcer un discours pour motiver les troupes, non ? suggéra Minho.
— Vas-y, répliqua Newt.
Minho hocha la tête et se retourna vers la foule.
— Soyez prudents, leur dit-il sèchement. Ne vous faites pas tuer.
Thomas aurait ri s’il l’avait pu.
— Super, commenta Newt. Nous voilà bien motivés
Afficher en entier-Pourquoi tu m'as réveillé ?
-Quoi, tu n'aimes pas commencer la journée en découvrant mon visage amical penché sur toi ?
Afficher en entierThomas en avait plus qu'assez d'être traité comme un bébé.
-Tu ne pourrais pas de arrêter de m'appeler comme ça ?
-Quoi, petit cochon ?
Thomas secoua la tête avec un sourire forcé.
-Non,"le bleu". Je ne suis plus le nouveau, maintenant. C'est la fille. Moi, c'est Thomas.
[...]
-Mince alors ! Tu t'es trouvé une paire de couilles pendant la nuit ?
Afficher en entier-Tu crois que j'ai des parents ? De vrais parents ?
Thomas rit, surtout pour chasser la tristesse qui l'avait saisi à une question.
-Évidemment, tocard! Il faut que je t'explique le coup des choux et des roses ?
Afficher en entier-Qu'est-ce qu'on a fait de différent ?
-Aucune idée. C'est difficile de demander à un mort ou il a pu se gourer.
Afficher en entier-N'empêche qu'il faut trouver le moyen de nous échapper d'ici.
-Oui, merci, le bleu, fit Alby d'un ton railleur. Je ne sais pas ce qu'on ferait sans tes idées.
Afficher en entier« On ne devrait jamais s'en vouloir de pleurer. Jamais. »
Afficher en entier-Je n'ai pas le temps de vous expliquer, leur lança-t-il, d'une voix aussi tendue que ses traits. Suivez-moi, et courez comme si votre vie en dépendait. Parce que je peux vous garantir que c'est le cas.
Afficher en entier-On y arrivera, lui assura-t-elle d'une voix douce.
-Si tu savais comme j'ai la trouille, murmura-t-il.
-Tu es humain. C'est normal que tu aies la trouille.
Afficher en entier"Le Monde parut tournoyer, se fondre en un tourbillon de visages, de couleurs et de lumières. Des émotions contradictoires lui tordaient les entrailles; il aurait voulu hurler, pleurer et vomir tous à la fois. Les garçons s'étaient tus.
Quelqu'un prit la parole :
- Content de te voir, tocard. Bienvenue au Bloc.
Thomas n'oublierait jamais ces mots. "
P.9
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