Les Violons du roi
Auteur
- Jean Diwo (Écrivain)
Classement en biblio - 74 lecteurs
Commentaires récents
Jean Diwo nous raconte avec maestria la formation et la vie de celui qui deviendra le plus grand Luthier de tous les temps: Antonio Stradivari. Mais rassurez vous ça n'est ni ennuyeux, ni long, ni rébarbatif à lire...Bien au contraire c'est un pur moment de bonheur qui nous permet de revivre, ne serait ce qu'un temps, en plein milieux du 17ème siècle au son du violon et de la musique Baroque...
Un roman qui se lit comme une véritable aventure, pleine de rebondissements, d'anecdote et d'histoires dans l'histoire...avec un petit arrière goût d'un film comme "Amadeus" ou "Farinelli"...
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Très bon roman qui nous emmène dans un sujet peu exploité, surtout avec Antonio Stradivari comme personnage principal.
Ce fut un plaisir de plonger dans l'histoire de la lutherie crémonaise, surtout dans celle de Stradivari. Pour autant, certains passages un peu long sur le vocabulaire de l'univers de la lutherie sont parfois un peu rebutants.
Mais on sort de ce roman, qui fait montre d'une très belle plume, au point qu'on entende résonner à nos oreilles les musiques jouées dans les pages, grandit.
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Le cours de lutherie du début m'a rebutée au point de laisser tomber. Mais ça ne s'est pas amélioré au fil des pages. Dommage!
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j'ai apprécié ce livre pour tout ce que j'ai pu y apprendre. Sur l'Italie sur les violons, sur les artisans. Un plaisir
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Un livre passionnant par la richesse de ses détails historiques et la précisions des descriptions du métier de luthier ! Il m'a donné envie de me mettre au violon ! Les personnages sont bien développés et criant de réalité. Le livre est un peu long mais on ne s'ennuie pas.
Intéressant, on passe un bon moment.
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La vie du plus célèbre luthier : Antonio Stradivari. On y suit la vie entière de celui qui signa ses violons et autres instruments à cordes du nom latinisé de Stradivarius, depuis son apprentissage chez Amati jusqu’à sa mort à l'âge avancé de 88 ans. Y apparaissent également tous les autres luthiers et musiciens célèbres de l'époque.
C'est un réel plaisir d'apprendre en dévorant ce roman historique. L'écriture est fluide et nulle part ne surgit une abondance d’érudition. On ne tombe pas non plus dans les descriptions lyriques à la limite du crétinisme de certains romans sur la musique. Un vrai plaisir. Si seulement tous les livres sur la musique étaient de ce genre.
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J'ai bien aimé. On en apprend énormément sur le métier de luthier sans que ça ne devienne lourd.
La passion pour cet instrument transpire du début à la fin.
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Etant musicienne, j'ai tout de suite aimé l'évolution du livre à travers tous ces ateliers de lutherie et de ces grands musiciens !
Ce livre m'a rappelé un autre livre de Jean Diwo que j'avais adoré : Moi, Milanollo, fils de Stradivarius. Je le conseille vraiment !
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Moi qui suis musicienne, j'ai beaucoup aimé lire ce livre qui m'a permit l'espace d'une lecture de me retrouer dans l'atelier et de suivre la construction des violons, de voyager sur le fil des notes de Vivaldi, ... A lire !
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J'ai adoré et pourtant ce n'est pas le style que je lis d'habitude. Mais cela m'a fait découvrir le métier de luthier et surtout l'inventeur du Stradivarius. Passionnant
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Date de sortie
Les Violons du roi
- France : 1990-03-22 - Poche (Français)
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Résumé
L'auteur des Dames du Faubourg nous emmène en Italie pour vivre une époque prodigieuse et peu connue, charnière entre le XVII ème et le XVIII ème siècle, celle qui voit éclore en même temps le violon de concert, le concerto Classique et les premiers opéras.
C'est le roman d'une poignée d'artisans de génie installés à Crémone, dont Antonio Stradivari, le plus grand luthier de tous les temps, qui achève de transformer le violon vulgaire et grinçant des ménétriers en instrument royal.
Durant plus de soixante ans, l'atelier de Stradivari livre aux rois et aux princes des violons aux sons et aux vernis magiques, jamais égalés depuis. Le maître préfère pourtant tailler ses voûtes et sculpter ses volutes pour ceux qui savent le mieux faire chanter ses violons : les virtuoses-compositeurs.
Dans le roman de jean Diwo, la musique baroque fait vibrer les chapelles, les salles de concerts, et se mêle intimement à l'histoire des luthiers. A Rome, Corelli fait pleurer la reine Christine de Suède en jouant son stradivarius et le révérend Antonio Vivaldi entraîne Venise dans le tourbillon de ses Quatre saisons. Le Prêtre roux, s'il ne dit pas la messe, dirige de son archet enchanté l'école de musique des jeunes filles de la Pietà et trimbale à travers les cours d'Europe, et jusqu'au Vatican, sa cohorte de nonnettes musiciennes et chanteuses. Ainsi, pris par la magie du violon, artisans et grands seigneurs, jeunes femmes espiègles et mères de famille austères, apprentis et virtuoses vivent, aiment et meurent dans une Italie à la fois rayonnante et déchirée.
Le plus mystérieux des instruments de musique et le plus secret de ses créateurs sont les principaux personnages de ce récit passionné en forme d'allegro.
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