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Londres est en effervescence ‒ du moins la gent féminine. Lord Alaric, grand explorateur et auteur prolixe de romans épiques, rentre au pays après bien des aventures. N'ayant pas la moindre idée du succès phénoménal rencontré par ses œuvres, il est le premier surpris d’être accueilli avec une telle ferveur, voire franchement agacé par l'adulation que lui vouent ces dames. À l'exception de Mlle Willa fynche, qui n'a que dédain pour sa célébrité et ses histoires rocambolesques. Et, bien sûr, il n'y a rien de plus excitant qu'une femme qui se dérobe.
— Je meurs de faim, avoua Lavinia. Sais-tu ce que ce méprisable Sterling m’a dit au petit déjeuner ?
— Si tu cessais de le harceler, il te laisserait sans doute tranquille, fit remarquer Willa.
— Il a dit que j’avais un double menton !
— J’en doute. D’abord, il ne t’insulterait pas, ensuite, c’est faux.
— Ce sont ses termes exacts, je t’assure. Il m’a reproché de dévorer comme un ogre et a assuré que d’ici la semaine prochaine j’aurais un double menton.
— Qu’avais-tu dit pour le provoquer ?
Lavinia dirigea sa jument vers la grille de l’auberge.
— Je lui ai simplement fait remarquer que s’il mangeait tout le bacon empilé dans son assiette, il finirait par ressembler à un gros pudding. J’ai dit « si », alors qu’il m’a pour ainsi dire traitée de grosse vache.
Un roman agréable à lire. L'époque des perruques poudrées n'est pas ma préférée, ma préférence allant à la periode vestimentairement plus sobre du 19ème mais l'intrigue reste sympathique. Les personnages sont attanchants indépendamment l'un de l'autre mais je n'ai pas franchement réussi à saisir ce qui les attirait l'un vers l'autre. Des rebondissements prévisibles et peu nombreux. Les personnages secondaires sauvent considérablement la mise au roman.
C'est mon premier Eloisa James et si il ne m'a pas transcendé cela ne m'en donne pas moins envie de lire la suite.
Une romance historique avec une femme indépendante, un héro non problématique (à mon goût), un retournement de situation, tout ce qu'il faut pour que j'adhère !
Wilde in love est le premier tome de la série « Wildes of Lindow Castle », il est écrit par Eloisa James que je connais grâce à sa série de reprises de contes de fées : « Il était une fois », j’en ai lu quatre de cette série et j’avais été particulièrement emballée par sa reprise de La belle et la bête, pour plein de raisons, mais notamment pour son humour. C’est une fois de plus ce qui caractérise Wilde in love et j’aime toujours beaucoup les histoires d’amour avec de l’humour.
J’ai donc beaucoup aimé ce premier tome, j’ai été très amusée même s’il n’échappe pas à quelques clichés et quelques facilités scénaristiques (est-ce que ça se dit pour un livre ?), on voit arriver pas mal de choses.
L’histoire est drôle et agréable. Historiquement, je ne suis pas sûre qu’il soit tout à fait exact : les jeunes dames de l’époque pouvaient-elles être aussi groupies que le sont nos adolescentes d’aujourd’hui ? Peut-être… disons qu’aucun anachronisme ne m’a choquée et l’époque est largement reconnaissable, on ne se pose pas de questions à ce sujet, le contexte est maîtrisé. C’est plus sur la situation générale que je me demande si c’est vraiment réaliste. Dans tous les cas, cela n’a aucunement gêné ma lecture.
Le roman est très prenant, je n’avais plus envie de le lâcher. Il y a pas mal de clichés, pas de surprise, mais il n’empêche que le rythme est fluide, l’écriture aussi, le ton est léger, vraiment j’étais accro jusqu’à la fin. Il y a quelques rebondissements et deux intrigues secondaires qui auront sans aucun doute leur résolution dans les tomes suivants (j’ai hâte qu’ils sortent !).
Comme le reste de l’histoire en général, les personnages principaux n’ont rien de très original… mais ils n’en sont pas moins très attachants. Alaric, le héros, est amusant, plutôt sûr de lui et il sait ce qu’il veut. Willa est intelligente et déterminée, très peu agaçante (juste un tout petit peu à un moment, mais c’est parce que je trouve qu’elle met du temps à changer d’avis) et drôle aussi.
J’ai eu beaucoup d’affection pour les personnages secondaires : notamment Lavinia (la meilleure amie de Willa), Parth (le meilleure ami d’Alaric), Diana (la cousine de Lavinia) et Roland (le frère d’Alaric). L’histoire de ces deux derniers sera sûrement l’objet du second tome, d’ailleurs. Lavinia est adorable et pleine de vie, Parth est un gros bourru comme j’aime ; Diana est mystérieuse et Roland m’a tout l’air d’être adorable. Ils apportent à ce roman beaucoup d’humour mais ils n’ont pas de vrai rôle dans l’intrigue principale.
Il y a très rapidement une tension entre les deux personnages principaux, les répliques fusent. Il y a quelques scènes hot, elles ne sont pas omniprésentes mais elles arrivent au bon moment et sont fort bien amenées.
Si je devais choisir le thème abordé par le roman en quelques mots, je dirais que c’est l’importance de ne pas se fier aux apparences ou aux premières impressions, et qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ^^
Pour conclure : c’était un très bon premier tome qui donne vraiment envie de lire la suite, pour une raison en particulier que je ne vous livrerai pas. Eloisa James ne m’a, une fois de plus, pas déçue ; elle est vraiment douée pour camper des personnages drôles et attachants et écrire une histoire d’amour sexy et romantique.
Honnêtement au vu du résumé je m’attendais à une histoire beaucoup plus rythmée et passionnante, avec de l’aventure et du suspens... mais déception! Je me suis ennuyée les 3/4 du livre. Ce livre est plat niveau intrigue et les dialogue peu intéressants et barbants par moment. L’idée d’avoir un explorateur était vraiment bonne mais concernant ce point on en parle pas beaucoup, seulement qu’Alaric est adulées par beaucoup de femmes à cause de son côté aventurier. Je n’ai pas été touchée par Willa non plus.
Je n'ai pas accroché. C'est mon 1er Eloisa James. Je ne sais pas si c'est la plume, l'époque, l'histoire ... J'ai bien mis 100 pages avant de m'intéresser à l'histoire et aux personnages. Passé cela, j'étais qd meme contente de finir l'histoire
Ça faisait un moment que je n'avais pas lu d'Historique. Je suis bien contente de remonter en selle avec une aussi bonne histoire. Eloisa James ne me déçoit jamais.
Les personnages principaux comme secondaires sont tous intéressants et plein d'esprit. Le duo de Willa et Lavinia est drôle ainsi que leurs conversations sont toujours pleines de sous-entendus qu'elles seules comprennent.
J'avoue avoir hâte de découvrir en profondeur Diana qui dans ce livre me faisait penser à une souris qui cherche toujours à s'échapper.
Résumé
Londres est en effervescence ‒ du moins la gent féminine. Lord Alaric, grand explorateur et auteur prolixe de romans épiques, rentre au pays après bien des aventures. N'ayant pas la moindre idée du succès phénoménal rencontré par ses œuvres, il est le premier surpris d’être accueilli avec une telle ferveur, voire franchement agacé par l'adulation que lui vouent ces dames. À l'exception de Mlle Willa fynche, qui n'a que dédain pour sa célébrité et ses histoires rocambolesques. Et, bien sûr, il n'y a rien de plus excitant qu'une femme qui se dérobe.
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