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Le duc de Blangis, l'évêque de…, le président de Curval et Durcet. Un noble, un homme d'Église, un juge de France et un bourgeois financier. Quatre personnages en quête d'ardeur. Ou plutôt "quatre scélérats avec lesquels je vais te faire passer quelques mois… Tout ce que l'on peut dire en gros, c'est qu'ils étaient généralement susceptibles du goût de la sodomie, que tous quatre se faisaient enculer régulièrement, et que tous quatre idolâtraient les culs." Le scénario peut paraître mince mais, avec le divin marquis, il est certain que les relations entre les personnages seront fouillées et complexes à souhait. Paulhan considérait Les 120 Journées de Sodome comme "l'évangile du Mal". Il faut dire qu'il s'agit peut- être du plus effrayant des romans sadiens. Point de compromis ici. Les quatre hôtes retiennent prisonniers un bon nombre de femmes et de valets qu'ils peuvent violer et tuer en toute impunité. Et ils le font durant quatre cents pages. Dans Les 120 Journées de Sodome Sade fait l'inventaire exhaustif de toutes les perversions sexuelles existantes. On ne peut pas faire mieux dans le genre. Ni pire.
"Nous autres libertins, nous prenons des femmes pour être nos esclaves; leur qualité d'épouses les rend plus soumises que des maîtresses, et vous savez de quel prix est le despotisme dans les plaisirs que nous goûtons."
aie aie les 120 journées ... Le livre qui marque . Je dois dire que c'est le seul livre sadien que je n'ai pu finir . La montée en crescendo de la violence, de l'horreur m'a quelque peu retournée . Mais je vois cette oeuvre comme l'apothéose de son art, Sade a réussi à briser tous les codes et faire de cette oeuvre, l'oeuvre de la débauche à grande échelle
Voilà, voilà.. Moi qui voulait découvrir le Marquis de Sade, je suis servi !
Je ne sais pas si j'ai attaqué par l'histoire la plus soft ou la plus crue de son répertoire mais j'espère qu'il n'y a pas pire !
L'histoire est parfaitement intéressante, réunir 4 vrais libertins, les objets de toutes leurs convoitises, rassembler ça dans un château inaccessible et inviolable... Enfermés sans possibilité d'évasion pendant plusieurs mois... Un carnage !!
C'est la que l'on prend toute la mesure de l'origine du mot sadisme !
Les dernières parties sont un peu trop dur pour moi, j'ai préféré les histoires "plus légères" de la Duclos !
Sade avait une imagination débordante je l'espère...
Il n'en reste pas moins que c'est une livre à lire au moins une fois (courage à ceux qui souhaitent se replonger dans ces horreurs !) dans sa vie, pour ma culture personnelle !
Lu par curiosité, je dirais que l'expression "la curiosité est un vilain défaut" a pris tout son sens à la fin de ma lecture. Je ne regrette pas totalement ma lecture car elle m'a rappelé à quel point l'homme peut être "pervers" et j'avoue que l'auteur a réussi à capturer mon attention malgré des passages difficiles.
Dégoûtant. Répugnant. Choquant. Extrême. Personne ne peut mélanger l'érotique et l'horreur comme Sade, et c'est ici, dans ces 120 Journées éprouvantes, qu'il est à son meilleur. Il y a tant de sexualité dans ces pages, bien entendu, que je suis tout à la fois surpris qu'on ne parle plus souvent des horreurs qui - je crois - surpassent en tout, en nombre comme en imagination, ce qui tient à la pornographie. Oui, l'horreur, l'immonde, l'atroce sont bien là : et, franchement, à part peut-être le 300 MILLIONS de BLAKE BUTLER, je ne connais aucune autre œuvre capable de s'approcher de près (ni même de loin) du contenu de celle-ci ; et encore 300 MILLIONS étant un must du genre, les 120 Journées restent littéralement indépassable.
Certainement pas pour les faibles de cœur.
Et tellement épouvantable qu'on ne peut pas le lâcher.
Une succession de scènes de sodomies, de pédophilie, d'inceste, de tortures, de meurtres, avec peu de variations.
Je peux comprendre que le "libertinage" à l'époque était une contestation religieuse et politique, par contre je ne peux pas comprendre, qu'aujourd'hui, on puisse le glorifier.
Ce type de livre est difficile et presque impossible a noter et a commenter ...a la fois parfait littérairement et repoussant, écoeurant à la lecture C'est un bel héritage que nous laisse ici le divin marquis.
Ce livre est parfait pour ceux qui sont en quête d'inspiration ou qui ont un sens de l'humour pour le moins particulier...
Mais ce qu'il y à de plus intéressant avec ce livre, c'est qu'il nous met à l’épreuve, nous et tous nos principes. Le marquis originaire du sadisme nous dresse ici un tableau sans concession de la nature humaine et ses désirs inhumains. Seule fausse note la surenchère et la gratuité. Un bon vaccin qui vous immunisera des perversions de ce monde.Dommage que Sade n'est pas eu le temps de le finir bien au propre... Au lieu de tenir sur 350 pages le livre serait un pavé de ^plus de 1200 pages de vices extrêmes et infâmes...
Ce que j'ai aimé : La couverture très explicite proposée par 10/18 et qui ne manque pas d'humour. Aussi difficile qu’il ait été pour moi de l’achever, je suis fière : fière que ce livre soit publié par un grand éditeur, fière que ce livre soit en vente libre chez un libraire, et je n’ai eu à craindre aucune répression. Cette épreuve m’a fait réaliser que quoique nous disions, nous sommes bien dans un pays libre!
Ce que je n’ai pas aimé : Pendant la 400aine de pages qu’il va vous rester à découvrir, vous allez successivement hésiter à :
– fermer définitivement le livre et ne plus jamais le rouvrir,
– vomir,
– commencer par la fin voir si ça se calme un peu,
– lire au hasard pour voir si les histoires changent un peu,
– rêver, penser toute la journée à du caca.
Ce livre est vraiment nauséabond et tient incontestablement une place d’honneur dans ma trashothèque. Il relègue Despentes & co au rang de piètres apprenties.
Une lecture qui ne peut forcément pas plaire à tout le monde, l'histoire y va crescendo, pour ma part - je n'ai pas pu lire les dernières pages tellement celles-ci devenaient trop hard pour moi...
Rapidement monotone et doté d'un nombre important de personnages (cependant pas vraiment traités), le livre n'est pas trop difficile dans la forme à lire.
A la vue du film de Pasolini, je savais à quoi m'attendre mais en fait, c'est aussi horrible dans le livre ! Un script original qui mène vers des relations "proches"...
Voilà, voilà.. Moi qui voulait découvrir le Marquis de Sade, je suis servi !
Je ne sais pas si j'ai attaqué par l'histoire la plus soft ou la plus crue de son répertoire mais j'espère qu'il n'y a pas pire !
L'histoire est parfaitement intéressante, réunir 4 vrais libertins, les objets de toutes leurs convoitises, rassembler ça dans un château inaccessible et inviolable... Enfermés sans possibilité d'évasion pendant plusieurs mois... Un carnage !!
C'est la que l'on prend toute la mesure de l'origine du mot sadisme !
Les dernières parties sont un peu trop dur pour moi, j'ai préféré les histoires "plus légères" de la Duclos !
Sade avait une imagination débordante je l'espère...
Il n'en reste pas moins que c'est une livre à lire au moins une fois (courage à ceux qui souhaitent se replonger dans ces horreurs !) dans sa vie, pour ma culture personnelle !
Je ne l'ai pas lu, d'ailleurs, je ne l'ai pas en bibliothèque. Par contre, il y a des années de cela, j'ai eu l'occasion d'en voir une adaptation de PP Pasolini au cinéma...............
Il y a longtemps, mais je me souviens que des spectateurs sont sortis bien avant la fin........... Je suis restée jusqu'au bout........... certainement en fermant les yeux de temps en temps. Insupportable !
J'en ai encore certaines scènes en mémoire.
Non, décidemment, je ne crois pas que je lirai cela. Cela me semble être un témoignage de la déchéance et de la bestialité.
Résumé
Le duc de Blangis, l'évêque de…, le président de Curval et Durcet. Un noble, un homme d'Église, un juge de France et un bourgeois financier. Quatre personnages en quête d'ardeur. Ou plutôt "quatre scélérats avec lesquels je vais te faire passer quelques mois… Tout ce que l'on peut dire en gros, c'est qu'ils étaient généralement susceptibles du goût de la sodomie, que tous quatre se faisaient enculer régulièrement, et que tous quatre idolâtraient les culs." Le scénario peut paraître mince mais, avec le divin marquis, il est certain que les relations entre les personnages seront fouillées et complexes à souhait. Paulhan considérait Les 120 Journées de Sodome comme "l'évangile du Mal". Il faut dire qu'il s'agit peut- être du plus effrayant des romans sadiens. Point de compromis ici. Les quatre hôtes retiennent prisonniers un bon nombre de femmes et de valets qu'ils peuvent violer et tuer en toute impunité. Et ils le font durant quatre cents pages. Dans Les 120 Journées de Sodome Sade fait l'inventaire exhaustif de toutes les perversions sexuelles existantes. On ne peut pas faire mieux dans le genre. Ni pire.
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