Extraits

- Dans l'adversité, dans les épreuves qu'elles qu'elles soient, restez fidèles à vos principes et vous recevrez la plus belle des récompenses : le sentiment du devoir accompli.

- Vue d'au-delà de l'océan, la vie Angleonienne semble n'être qu'une longue succession de meurtres et de trahisons...

Il porte sur lui les blessures que j'ai en moi.

L'armure du très irréprochable capitaine Blasserius, héros de la nation, cache une folie intérieure que personne n'a jamais soupçonnée.

- Comment est-ce que vous m’avez retrouvée ?

- Il n’y a aucune information que l’argent ne puisse pas acheter.

Spoiler(cliquez pour révéler) - J'imagine que ma lettre n'était pas encore arrivée à destination quand vous êtes partis... Elle vous aurait pourtant épargné ce voyage, car je suis bien désolé de vous l'apprendre mais je refuse de rentrer à Erinal avec vous.

Spoiler(cliquez pour révéler) - Plus de Magneon en lice, qui donc va bien pouvoir s'assoir sur le trône ?

Spoiler(cliquez pour révéler) - J'ai longuement réfléchi et décrété que rien, jamais, ne pouvait justifier qu'on sépare un enfant de sa famille. En conséquence de quoi, j'ai décidé de libérer les quatre otages et de supprimer cette tradition barbare d'un autre âge. Vous allez pouvoir rentrer chez vous. À partir d'aujourd'hui, Angleon ne sera plus jamais ce lieu où on enferme les enfants et où on prive les parents de leur présence mais une cité ouverte, dans laquelle chacun peut aller et venir librement.

Spoiler(cliquez pour révéler)- Je me suis laissé convaincre de monter sur le trône, mais maintenant que j'y suis, j'ai besoin de quelqu'un pour m'aider. Quelqu'un sur qui les intrigues de palais et les manigances Angleoniennes n'auraient aucune prise, quelqu'un en qui je pourrais avoir totalement confiance, quelqu'un sur qui m'appuyer. Vous l'avez dit vous-même, votre carrière de tueur est derrière vous. Alors, accepteriez-vous, s'il vous plaît, de devenir l'Ombre de la Reine ?

- Moi ? Je ne connais rien à...

- Je vous en supplie, sans vous, je n'aurai pas la force.

- Ne soyez pas trop dur avec vous-même, Capitaine. Le monde l'est déjà assez bien comme ça...