Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 700
Membres
1 013 436

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

– Tout va bien ? demanda une voix masculine.

– Euh… je… oui, bafouillai-je, un peu désorientée.

Il relâcha doucement son étreinte et m’aida à me redresser. Ce n’est que lorsque je fus libérée que je me rendis compte à quel point le bras qui me maintenait était chaud, fiévreux, même à travers le tissu de mon tee-shirt. J’en fus tellement surprise que je fis un brusque écart en arrière, manquant une nouvelle fois de me casser la figure. Je me repris toute seule cette fois et levai enfin le nez sur celui qui m’était venu en aide : un jeune homme de mon âge ou presque. Il était bien plus grand que moi, me dépassant d’au moins une tête et demie. Mais ce n’est pas sa taille qui me choqua le plus, ni même sa chaleur corporelle. Non. Ce sont ses yeux, rieurs, mais semblables à deux émeraudes étincelantes, les plus beaux que j’aie jamais vus.

– Il faut faire attention où tu marches, avertit-il en souriant. Sinon tu vas te casser une jambe.

Il se baissa pour ramasser mon magazine et me le tendit.

– Merci, bredouillai-je en les prenant.

– Et ça aussi, dit-il en montrant le sac contenant le flacon de parfum. C’était moins une !

– Merci, répétai-je en glissant mes doigts dans l’encoche.

Impossible de détacher mes yeux des siens. Était-ce un extraterrestre pour avoir des mirettes pareilles ? Et ces dents blanches, d’où sortaient-elles ? D’une pub pour dentifrice ? Et ces cheveux, cette bouche… Difficile de ne pas avoir l’air tarte devant un spectacle pareil. Ce type était tout simplement à tomber à la renverse !

– Eh bien, bon séjour à Inverness, conclut-il avec un sourire éclatant. (Et quelle voix… Argh.)

– Euh… je… merci. (Pour la troisième fois…)

Il s’éloignait déjà, dans une démarche souple et pleine d’assurance, tout en grâce, comme ça… Je le suivis du regard jusqu’à ce qu’il rejoigne un homme plus âgé que lui, et tout aussi grand – son portrait craché en fait – et qu’il disparaisse derrière une porte automatique.

Je ne réprimai même pas un rire. Nerveux.

« Waouh… pourquoi ce genre de type ne vit pas à Wick ? Hein, pourquoi ? »

Afficher en entier

-Vraiment ? Tu ne serais pas embêtée que je voie tes secrets de fille ?

-Euh…je n’ai rien à cacher…, bredouillai-je, incertaine.

-Bien. Parfait ! Dans ce cas, on se retrouve pour prendre notre douche ensemble, demain matin, à huit heures.

Au début, je restai coite, mais son clin d’œil me rassura.

-Leith ! le sermonnai-je en lui tapant gentiment l’épaule.

Il mima une déception profonde.

-Bon, tant pis. J’aurais essayé, s’esclaffa-t-il.

Afficher en entier

Sans m’en rendre compte, je venais de prendre une décision importante.

Je ne voulais pas souffrir.

Je trouvais Leith si beau… captivant… drôle… malin… énigmatique et tellement … tout. (Soupir.)

Me détacher de lui serait suffisamment difficile comme ça pour qu’une histoire d’amour vienne amplifier mes tourments.

Autant faire une croix sur lui …

Mais, soyons honnêtes, je savais que je n’aurais jamais la force de m’en éloigner. Il avait déjà pris trop de place dans mon cœur. Et puis… je luis plaisais sûrement, aussi.

J’avais là, un vrai problème.

Afficher en entier

Tomber amoureux me semblait si irrationnel et si dénué de sens, dans bien des cas. Au lycée, j’avais vu des couples se faire et se défaire, des amours éphémères qui mettaient les filles dans tous leurs états. Des pleurs, des portes qui claquent, des « Je ne pourrais jamais m’en remettre ! ». Ces situations me paraissaient tellement tortueuses. Au début on jure de s’aimer toujours, ça se termine, on pleure un bon coup et la semaine suivante on oublie « l’amour de sa vie » en craquant pour les yeux d’un ou d’une autre. Pff… Pathétique. Heureusement, je n’étais encore jamais tombée dans ce piège.

Afficher en entier

La nuit et la pluie battante faisaient que je les distinguais mal, mais je savais que ce qui allait suivre serait d'une violence inouïe. Ils étaient debout, face à face, prêts à s'affronter. Pour moi. Ils soufflaient fort, comme des bêtes enragées. Dans un dernier effort, je réussis à me redresser pour m'adosser contre le mur. Mes muscles étaient tellement meurtris que je me demandais comment j'arrivais à ne pas m'écrouler. J'avais mal partout. Je ne les quittais pas des yeux. Je retins ma respiration et les battements de mon cœur s'accélérèrent. Je sentis des bourdonnements dans mes oreilles, des picotements dans mes yeux, et je me mis à trembler. Brusquement, je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien. Je m'enlisais dans des abîmes sombres et sans fin. Avant de m'effondrer sur le sol froid et humide, dans un état de semi-conscience, j'eus le temps de comprendre pourquoi. Il se métamorphosait. Maintenant

Afficher en entier

« Rien de ce qu'on avait pu me décrire, ou de ce que j'avais pu lire, même dans la plus extraordinaire des histoires d'amour, n'était comme nous deux. »

Afficher en entier

— Je ne sens pas la fraise, mais la violette.

— Très bien, dit-il en se redressant, le sourcil droit levé. Si tu le dis.

Je lui servis un sourire crispé.

À ce moment, Elaine et mon père entrèrent dans la salle à manger (parfait !), suivis de ma mère et Mathy.

— J’espère que vous avez faim ! s’exclama Mathy.

— Une faim de loup, lui assurai-je vivement.

Mon regard se posa sur Leith, comme si j’avais dit une grosse bêtise. Il baissa la tête en souriant et me murmura à l’oreille avant de prendre place à table :

— Tu ne sais même pas ce que tu racontes.

Afficher en entier

« Mais qu'est-ce que c'était ?» A moins de devenir dingue, j'aurais juré entendre le hurlement d'un loup. Le cri retentit encore et là, ni une ni deux, je pris mes jambes à mon cou pour courir jusqu'au manoir. J'avais la trouille

Afficher en entier

"Il faisait beau.

Très beau.

Le ciel me narguait.

Je fis coulisser le battant, fermai les paupières et essayai de me calmer en respirant bien à fond. N'y parvenant pas, j'étais bien partie pour jurer comme un charretier lorsque des coups de klaxon assourdissant retentirent. Une voiture s'engageait sur le chemin d'accès à la maison. J'écarquillai les yeux et frôlai l'infarctus." | - Page. 88

Afficher en entier

- On se connaît à peine, dit-il d'une voix rauque et grave, mais lorsque tu rentreras à Paris, tu me manqueras bien plus que je ne l'aurais imaginé.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode