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Extrait ajouté par Allicha 2014-10-27T21:54:15+01:00

Il capte mon regard. Un sourire mi-amusé, mi-triste apparaît sur ses lèvres.

- C'est un passage de la Bible. Du livre des Lamentations, chapitre 3, verset 57. Ça veut dire "Tu t'es approché le jour où je t'appelais. Tu as dit: n'aie pas peur."

Je reste estomaquée.

1) Gabriel à des tatouages.

2) L'un d'entre eux est un passage de la Bible et je ne m'attendais pas à ce que ce soit son livre de chevet.

3) Je pensais que la Bible n'était qu'un flot barbant de sermons incompréhensibles alors que cette phrase était plutôt jolie et poétique.

4) Et ce passage à l'air de signifier bien plus pour lui qu'il n'en laisse paraître.

Je finis par ouvrir la bouche:

- Je ne pensais pas que tu étais un grand lecteur de la Bible.

Il hausse les épaules.

- Je n'ai pas dit ça. Mais pour moi c'est certainement le livre le plus sage qui ne soit jamais paru.

Je fronce les sourcils:

- Tu es croyant?

Il me regarde droit dans les yeux.

- Je l'ai toujours été. Pas toi?

Je hausse les épaules.

- Si, il doit bien avoir quelque chose là-haut, mais je n'attends plus rien de lui depuis que le prêtre à l'enterrement de ma mère à dit qu'elle était morte parce que Dieu l'avait rappelée.

Il secoué la tête, désabusé.

- Cet abruti n'a jamais dû ouvrir une Bible de sa vie. Tu ne crois pas que si Dieu est amour, ça veut dire qu'il n'est pas responsable du malheur des gens, mais plutôt de toutes les petites choses qui font notre bonheur? Moi je pense qu'il doit en avoir sacrément marre qu'on lui mette tout sur le dos.

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Extrait ajouté par ilona24 2014-08-12T11:00:50+02:00

Je scrute l'obscurité. Il est adossé au mur, les mains dans les poches. Je n'arrive à distinguer que son immense silhouette.

- Je t'ai dit de ne plus passer par là, mais apparemment tu est un peut maso sur les bords.

Non mais pur qui se prend ce sale petit...

J'inspire profondément.

- Je ne suis pas maso. Juste partisane du moindre efforts. Et puis tu crois vraiment que j'allais te laisser te volatiliser, sans que tu m’explique pourquoi est ce que ça fait trois mois que tu me suis comme mon ombre?

Il lève un sourcil, surpris. Puis Il s'avance vers moi, d'un pas nonchalamment dangereux.

Ou dangereusement nonchalant je ne sais plus.

Je déglutis avec peine. Il est quand même super flippant.

-On ne m'avait jamais surpris en filature.

Il me scrute de haut en bas avec un air mi-condescendant, mi-amusé.

J'écarquille les yeux de surprise. Ses pupilles... ses pupilles sont aussi dilatées que celles d'un chat. Je n'avais donc pas halluciné.

Je m'apprête à lui demander pourquoi est-ce qu'il a des billes à la place des prunelles, quand je remarque l'expression de son visage. Il me regarde en souriant, comme si j'étais une petite chose sans défense. J'en oublie totalement ses yeux. J'ai envie de lui rentrer dedans, tête baissée.

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Extrait ajouté par SoMiserable 2015-01-25T22:03:55+01:00

Je prends une longue douche brûlante. Ça fait des mois que je n’ai pas eu ce plaisir. En plus, le gel douche et le shampooing mis à ma disposition sentent divinement bon.

Je lis ce qu’il y a marqué sur l’emballage :

Ce gel douche à la fleur d’hibiscus et à l’orchidée sauvage vous transportera dans un tourbillon de sensations et décuplera vos sens pour une explosion de plaisir.

Sans blague. On dirait une pub pour des préservatifs. Et puis d’abord, depuis quand une orchidée est sauvage ? Vous avez déjà

croisé des orchidées domestiques, vous ?

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Extrait ajouté par Fleurdencre 2015-03-17T13:06:55+01:00

Oh moi tu peux me fixer autant que tu veux, Cass, je sais que je suis parfait de toute façon.

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Extrait ajouté par Chlawee 2014-11-09T15:29:37+01:00

- Alors ma belle, on prend un bain de minuit ?

Décidément, cette fille n'a pas inventé la machine à courber les bananes. Les bains de minuit sont, comme leur nom l'indique, habituellement pris au milieu de la nuit et pas en début de soirée.

- Non, je me lave. Justement, si j'ai choisi cet endroit c'était pour ne pas avoir à supporter ce genre de situation.

Son sourire se fait éclatant et j'ai envie de l'étrangler tant elle est belle.

- Oh oui, il vaut mieux être seul dans ces moments-là, parce que tu te ridiculiserais grandement.

- De ta part, je prends ça comme un compliment. Tu peux me rendre mes vêtements, s'il te plaît ?

Elle penche la tête sur le côté, et me regarde, une étincelle de malice dans ses prunelles marron.

Personne, pas même moi, n'aurait pu deviner que derrière ce visage angélique se cachait en le diable.

Mes vêtements traînent dans la neige. Je vais la tuer.

- Hum... Laisse-moi réfléchir.

La mauvaise humeur prend le dessus sur le bon sens.

- Eh ben essaie d'accélérer le processus, tu veux ? J'ai pas envie que ça nous prenne la nuit.

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Extrait ajouté par ilona24 2014-08-12T11:14:23+02:00

Dans un brouillard de semi conscience, je sens quelqu'un me prendre sous les épaules et sous les genoux et je suis soulevée sans difficulté. Mon médaillon tressaute contre ma peau au rythme des pas de l'inconnu. L'homme me ramène vers le milieu de la ruelle, là où il y a mon sac, et me dépose doucement. Doucement, une main repousse une mèche de cheveux qui a glissé sur mon visage. Deux doigts assurés vérifie mon pouls, puis c'est le silence.

Mon esprit embrumé s'éclaircit peu à peu. Après un immense effort de volonté, je réussi enfin à ouvrir les yeux. Je bats des paupières jusqu'à ce que ma vision s'éclaircisse.

Je ne sais pas vraiment si j'aime ce que je découvre ensuite.

Levis-Man est accroupi en face de moi, un bras nonchalamment posé sur la cuisse et il me regarde comme si j'étais la pire criminelle que la terre ait portée.

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Extrait ajouté par Marie-A 2015-05-03T19:25:29+02:00

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase. En deux pas, il est sur moi. Il me prend par les épaules et me plaque violemment contre un tronc d'arbre. Je pousse un couinement de stupeur alors que l'air s'expulse de mes poumons et le regarde, les yeux écarquillés.

Immédiatement, mon cerveau se met en alerte rouge. Je vois presque un voyant clignoter avec marqué "panthère va manger gazelle" dessus. Je vous laisse deviner qui est qui.

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Extrait ajouté par SoMiserable 2015-01-25T22:03:43+01:00

Je m’avance vers l’hôtel et entre par les portes tambours en poussant rageusement le battant. Sauf que je ne pousse pas du bon côté et que je m’écrase contre le panneau en verre, devant toutes les personnes présentes dans le hall de l’hôtel. Bonjour la crédibilité. Rouge comme une pivoine, je pousse de l’autre côté.

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Extrait ajouté par Fleurdencre 2015-03-17T13:15:11+01:00

-Vous savez que j'entends absolument tout ce que vous dites et faites ! Et j'ai vraiment envie de vomir.

Je lève les yeux au ciel. Mais de quoi il se mêle, cet intrus pervers ?

Je réponds de ma voix la plus venimeuse :

-Alors dégage de devant la porte et va vomir aux toilettes, OK ?

-Nan, j'aime pas vomir aux toilettes, c'est trop sale à mon goût, je suis quelqu'un de raffiné vois-tu. Ce palier est absolument parfait pour ça.

Il se met à faire des bruits de hoquets et je regarde Gab, interloquée.

-Mais c'est qu'il va le faire, ce taré !

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Extrait ajouté par SoMiserable 2015-01-25T22:04:46+01:00

Je me relève tant bien que mal et me dirige en titubant vers le téléphone. Mais j’ai à peine fait cinq pas que je trébuche et m’écroule sur le tapis du salon.

Ma dernière pensée, avant de perdre conscience, va au tapis, que je trouve vraiment confortable.

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