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Camille se retourne vers moi et me lance un regard agacé :

-Cassiopée, dis à ta bestiole de se calmer, elle est en train de mettre en rogne tous les chiens du village.

Il se met à faire des grands gestes vers la meute en criant des « Houste, houste ! » et j’en profite pour lancer mentalement un :

"Dégagez fissa".

Tous les chiens cessent de grogner et disparaissent à l’unisson dans les ruelles adjacentes. Camille s’arrête net, étonné d’avoir été obéi aussi promptement. Isha se met à rire, son petit rire sarcastique et agaçant qu’il me réserve habituellement.

-Dis donc Camille, quelle autorité ! Tu peux essayer ça sur moi s’il te plait ? J’ai des problèmes avec l’obéissance.

-La ferme.

-Flûte, ça marche pas.

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/!\ [/spoiler]

Je repense aux femmes près du lavoir et mon cœur se serre. Je me redresse un peu plus et le regarde à mon tour droit dans les yeux.

-Qu’est-ce que tu nous veux ?

Il secoue la tête.

-Oh mais je ne te veux rien du tout. Sache juste avec certitude que si tu nous trahies, à un moment ou à un autre, que ce soit maintenant ou dans deux mois, je serais le premier à avoir ta peau.

Gabriel serre les poings et fait un pas dans sa direction avant que j’ai pu l’en empêcher.

-Ecoute-moi bien petit merdeux à la manque. Nous sommes ici sous la protection de Manassé, le père de Cassiopée. Si jamais je te butais, là maintenant, je serais certainement privé de dessert pour avoir débarrassé la planète d’un autre petit couillon qui se croit tout permis.

Isha hoche la tête.

-Amen mon frère.

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« Faites ce que vous voulez maintenant, moi j’ai des choses à faire. Je ne peux pas vous materner toute la journée. »

Il finit par planter ses yeux dans les miens.

« Mais souviens-toi, Cass, pas d’exploration dans le château. »

Je lève la main gauche.

-Croix de bois, croix de fer. Si je mens…

« … T’auras à faire au frère. »

Je ris à nouveau. J’ai l’impression d’avoir été dopée au gaz hilarant.

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La voix de Isha retentit devant nous.

-Dites, vous êtes au courant qu’il n’y a pas de messe basse sans curé ? J’ai mon diplôme de prêtre si ça vous intéresse.

Gab lève les yeux au ciel.

-T’arrête jamais de dire des bêtises ?

-Désolé, j’ai aussi un diplôme d’âneries. Je suis comme ça moi,  un mec polyvalent. Pas étonnant que les filles tournent toutes autour de moi.

Pour une fois, Morgane et moi ricanons en même temps.

-Il faudrait me payer pour que je prenne plaisir en ta compagnie, réplique-t-elle d’un ton amer. Et encore, j’aurais besoin d’un temps d'adaptation considérable.

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- Soraya, Cassiopée et moi sommes fiancés, tu ne voudrais pas mettre la future mère de mes enfants dehors, quand même ? Parce que sache que je ne la quitterai plus d'une semelle. Si tu la bannis, tu me bannis.

Je ne sais pas qui de l'Oulda ou de moi a été le plus choquée de sa déclaration.

J'ai ouvert les yeux exorbités et ai observé Gabriel. Est-ce qu'il venait d'insinuer que j'étais enceinte ?

Ouah, j'étais pas vraiment sûr d'être prête pour ça, surtout qu'on avait jamais...

voilà quoi !

Soraya, elle, s'est étouffée avec sa salive, ce qui je pense voulait bien dire qu'elle était aussi abassourdie que moi.

Pourtant, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que sa remarque était...ben, sexy, voilà c'est dit. J'étais toute émoustillée. Mais à mon avis ça devait être en partie dû à mon état de zombie.

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Je me masse les yeux du bout des doigts. Pourquoi est-ce que ça se passe toujours comme ça ? Pourquoi quand le héros dit : « Non, mes braves, laissez-moi partir seul, je vous saurais gré de me laisser achever ma quête mortelle en solo. Allez en paix », tout le monde répond forcément : « Oh nooon ! Nous on t’aime, on ne veut pas te quitter, on te suivra jusqu’au bout du monde Héros ! Jusqu’aux portes de l’Enfer, s’il le faut ! »

Pourquoi personne ne répond jamais : « Ok, si c’est ton kiffe. Vous venez les gars ? Je connais un bar plutôt sympa à une centaine de mètres d’ici. Ah, eh salut Héros, éclate-toi bien. » Ça ne se passe jamais comme ça. Il y a toujours les abrutis d’amis pour te forcer à les forcer à te suivre, même si tu n’en as pas envie. Tu parles d’un cliché !

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-J’ai peur, Arthur.

Celui-ci me lance un regard interrogateur. Je m’éclaircis la gorge, mais j’ai toujours l’impression que du gravier crisse quand j’utilise mes corde vocales.

-Je me rends compte que j’ai distribué mon cœur à beaucoup de personnes. Je l’ai distribué sans réfléchir, et toi, Ethan, Tom, Henry, Saphira, et même cet abruti d’Isha, vous en tenez tous un morceau, plus ou moins gros, entre vos mains.[...] Et j’ai peur, Arthur. Parce que les gens autour de moi ont la sale manie de disparaître, dans tous les sens du terme. Et j’ai peur, parce que s’il arrivait malheur à un seul d’entre vous, je crois que les morceaux restants de mon cœur ne s’en remettraient jamais. Et je suis morte de trouille. Morte de trouille de tuer encore quelqu’un que j’aime.

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-Accouche, Henry, personne ne va te balancer par-dessus bord !

Il se rapproche de moi et me saisit par les bras, ses yeux lançant des éclairs.

Je ne l’ai jamais vu dans cet état. Il a l’air au bord de la crise de nerf.

-N’en sois pas si sûre, Cassiopée, me chuchote-t-il, et des frissons parcourent tout mon corps.

-Le gosse, reprend-il. Il a posé sa main sur mon bras, et avant qu’il ne s’enferme dans le silence, une voix a résonné. Dans ma tête.

Je fais un pas en arrière, les yeux exorbités. Henry ne me lâche pas pour autant.

-Il a prononcé ton prénom.

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- Promets-moi un truc, Isha.

Il lève les yeux interrogateur.

- Quand tu auras une copine un jour, enfin, dans l'hypothèse où il existe une fille dans ce monde assez patiente pour te supporter, laisse-moi la prévenir que tes mots d'amour sont souvent tranchants. Tu sais, histoire qu'elle sache que " tu es moche ", ça veut en fait dire " je te trouve super attirante ", dans ta langue.

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référence à lux de Jennifer L. Armentrout, dans le livre " les ailes d'émeraude" tome 2 :

J'inspire à grandes bouffées l'air pur et froid qui m'entoure et finis par ouvrir mon bouquin (et repasser à la Facette du chat), qui est bien plus intéressant que le paysage que j'ai observé un millions de fois au moins. Je tourne les pages, concentrée sur l'histoire. Alors que je lis un passage ô combien intéressant, dans lequel le voisin ténébreux et beau à en mourir de l'héroïne, qui me fait d'ailleurs beaucoup penser à Gabriel (le voisin, pas l'héroïne), se révèle être un alien avec le pouvoir de se déplacer méga vite et de se transformer en lampe torche géante, un bruit derrière moi attire mon attention.

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