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Blade Runner : Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?



Description ajoutée par Aude 2010-12-05T20:40:07+01:00

Résumé

Sur terre, quelques temps après l'holocauste nucléaire : les espèces animales ont quasiment disparues et certains humains, dit "spéciaux", se sont mis à muter, voire à régresser. Rick Deckard est chasseur de prime. Il est chargé de démasquer et d'éliminer des Andys, des androïdes dont le séjour sur terre est illégal. Mais leur perfection est telle qu'il est quasiment impossible de les différencier des humains. Ils pourraient d'ailleurs être bien plus nombreux que prévu. Au point que Deckard finira par se demander s'il n'est pas lui-même une création artificielle dont les souvenirs auraient été implantés.

Mais alors qu'est-ce qui différencie les humains des androïdes ? Peut-être cette capacité à utiliser la "boite à empathie", qui les plonge dans le corps perpétuellement meurtri de Wilbur Mercer. Mercer qui pourrait bien s'avérer être un usurpateur...

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Classement en biblio - 788 lecteurs

extrait

"Vous savez ce que je ressens pour cette Priss Sratton?

- De l'empathie, dit Rick.

-Quelque chose de ce genre... Je m'identifie à elle. C'est dingue! Je vais me voir mourir. D'ailleurs, c'est peut être ce qui se produira. Vous me prendrez pour elle et adieu Rachel! elle n'aura plus qu'à regagner Seattle pour vivre ma vie à ma place. C'est la première fois de ma vie que j'ai ce genre de sentiment. Nous sommes bel et bien des machines, on nous emboutit à la chaîne comme des capsules de bouteilles. Je -moi personnellement - je croyais exister en tant que telle, et ce n'est qu'une illusion. Je ne suis qu'un modèle de série parmi des milliers d'autres.

Elle frissonna"

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Commentaires les plus appréciés

Diamant

Un chef-d'oeuvre de science-fiction, tout simplement.

Réflexion sur l'être humain, sa psychologie, son humanité, dans un monde noir, pessimiste, sale (tellement propre aux obsessions de Dick), Blade Runner nous entraîne moins dans une chasse à l'homme que dans l'auto-introspection d'un homme, en proie à ses doutes et ses démons.

Notamment à cause de sa relation avec Rachel, qui va le mener à douter de son propre statut d'humain.

Le roman interroge aussi sur la définition même de l'Humain.

Par leurs ambitions, leur psychologie, les Nexus 6 ne sont-ils finalement pas plus humains que les humains eux-mêmes?

L'Homme est au centre du récit de Dick.Dans sa lumière comme dans son ombre.Ni glorifié, ni diabolisé.

Au-delà du "simple" roman de science-fiction (dont il est clairement un mètre étalon), Blade Runner est aussi un véritable essai philosophique particulièrement pertinent sur la nature humaine.

Une oeuvre culte, et à raison.

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Diamant

Profondément marqué par le film de Ridley Scott (1982), il m'a fallu retourner à la source et découvrir l'œuvre dont il est tiré: Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques?

Bien que l'histoire de base soit la même entre le film et le bouquin, ce dernier apporte encore d'autres questionnements, en particulier par la présence de la femme de Rick et sa relation à la religion de Mercer et aux boîtes à empathie.

Alors, lire le roman ou voir le film? Les deux bien sûr!

(Ah et puis ça n'a pas grand chose à voir, mais il existe une excellente adaptation en jeu vidéo sur PC: il s'agit d'une histoire parallèle mais l'ambiance de ce futur glauque à souhait y est parfaitement retranscrite! Et ce jeu est maintenant en abandonware!)

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Commentaires récents

Or

Ça faisait un petit moment que je voulais le lire. Après avoir lu '' Ubik '' ça me confirme que j'aime bien Dick. Bien différent du film, les questionnements se recoupent avec le cycle des robots d'Asimov, même si traiter assez différemment.

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Argent

C'est un livre important, que cela soit dans la sphère de la science fiction, mais aussi de la psychologie. On sent toujours cette quête de compréhension de la schizophrénie qui sous-tend le scénario, le personnage prit entre illusion et réalité.

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Argent

Sur une Terre dévastée par les retombées atomiques, et où l’humanité attend désespérément un sens, Rick Deckard, chasseur de prime, est engagé pour “retirer” de la circulation des androïdes illégaux, échappées de colonies martiennes où ils servent de main d’œuvre interchangeable.

C'est un absolu banger. Si je devais donner une note, je ne mettrais sans doute pas 5/5 car je ne vais pas m'attacher émotionnellement au livre (au point d'avoir envie de le relire, par exemple), mais tous les sujets sont amenés avec brio, ça retourne le cerveau, ça parle de 15 787 483 trucs différents (flemme de faire la liste, du coup).

La problématique de l'empathie chez les humains, vis à vis des animaux, vis à vis et entre les créatures artificielles... je pense que ce livre a inspiré tellement de romans et de séries ensuite que c'est un must read. Le genre de truc qu'on a besoin de méditer longtemps ensuite... mais qu'on ose pas méditer, au risque de tomber dans les même circonvolutions métaphysiques que les personnages. En gros, un bouquin extrêmement puissant (au sens "powerfull")

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Or

Blade runner : Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?

Dans un futur proche, post-apocalyptique, la planète est ravagée par les conséquences d’un conflit nucléaire suffisamment limité pour laisser survivre quelques humains toujours organisés en nations nourries à la publicité ainsi qu’à la télévision, mais assez cataclysmique pour avoir éradiqué presque toute sorte de vie sauvage.

Une araignée vaut de l’or, un chat domestique est une rareté. Le système solaire a été colonisé, plus par dépit que par motivation de repousser la frontière. Les hommes ont développé des séries d’androïdes parfaitement homomorphes. C’est un des rares domaines ou le progrès semble encore sans limite. Ces machines dépassent l’homme dans la plupart de ses aptitudes sauf l’empathie, qui est leur véritable talon d'Achille.

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Lu aussi

Un roman d'une grande finesse psychologique, politiquement très intéressant, l'auteur nous plonge dans un univers pessimiste avec cette dystopie pleine d'un espoir présent, mais aussi étrangement inaccessible au point qu'il en devient presque inexistant

Une réflexion sur la condition humaine, brillamment adaptée au cinéma par Ridley Scott : les deux œuvres se complètent et se superposent sans pour autant être copies conformes

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Or

J’ai tout de suite aimé l’histoire, on accroche rapidement à ce monde qui ait voué à sa perte. De plus, j’ai été troublé par le fait de comment tout cela a commencé, comment l’espèce humaine a réagi fasse à cela. Les chouettes ont été les premières touchées par les retombées nucléaire. Mais l’être humain au lieu de réagir face à ce problème et se remettre en question, a ri de cette situation, il a ri au fait que des animaux chutés pour s’écrasaient au sol. Ce passage fait réfléchir sur notre manière de vivre aujourd’hui en 2023, on peut critiquer les humains de ce livre en disant qui sont des monstres à avoir fait cela mais à bien réfléchir rien n’a changé, nous agissons sans même penser aux générations futures, des espèces animales continue de disparaitre presque tous les jours mais on ne fait rien pour éviter cela, on fait même le contraire on empire la situation. J’ai beaucoup aimé le personnage d’Isidore, il est attachant, sincère et il est pour moi celui qui est le plus sensible face au monde qui l’entoure alors qu’il est un « spécial » il a reçu des radiations, par cela il a été atteint mentalement et par ce fait il a perdu la faculté de réfléchir. Et malheureusement on le traite injustement de tête de piaf car il est moins intelligent que la moyenne. Mais par ce fait il est naïf et ne cherche pas à tromper les autres. Je trouve ce personnage intéressant car je trouve que c’est le seul personnage qui aime les animaux sincèrement, il n’aime pas les animaux en vus de ce qu’ils peuvent offrir ou de leurs valeurs car dans ce monde-là, la plus grande partie des animaux se sont éteins et donc le peu qu’il reste sont vendu à des prix élevés. Et ils sont devenus un moyen de montrer une position sociale. Mais Isidore lui, apprécie simplement les animaux. J’ai aimé aussi la façon dont Isidore a réagi face aux androïdes car même s’ils le traité mal, il été heureux de se faire des amies et de se dire qu’il dispose d’une responsabilité. J’ai été triste pour ce personnage qui est mis toujours en retrait par rapport aux autres, j’éprouve de la compassion pour lui. Mais je trouve cela dommage qu’Isidore n’a pas une grande place dans le roman, il n’y a que seulement 4 ou 5 chapitres où on le suit, au contraire de Nick où lui apparait tout le long. J’aurais aimé en savoir plus sur lui et savoir si les choses changeront pour lui et qu’il puisse être heureux. Le livre aborde des thèmes intéressants, qui font réfléchir sur notre monde qui nous entoure et qui sont des sujets que nous questionnons toujours. Par exemple sur les androïdes et leurs limites avec l’homme, sont-ils vivants ? ou juste un programme ? J’aime les passages dans lequel les deux personnages se questionnent sur les androïdes. Rick lui va se rendre compte qu’il peut ressentir de l’amour envers des androïdes qui ont une apparence de femme. A cause d’une de ses rencontres, il va avoir du mal par la suite à tuer des androïdes, avant pour lui ils n’étaient pas vivants mais juste des composants électroniques qui disposent d’une intelligence mais par la suite son regard change sur les androïdes, notamment ceux qui disposent d’une intelligence supérieure aux autres machines. Car ils arrivent à avoir une réelle sensation sur le monde qui leurs entourent et éprouvent eux aussi des sentiments comme des humains même s’ils les méprisse. Ils se sentent supérieurs à l’homme et sont alors orgueilleux, ils sont aussi parfois égoïstes comme l’homme. Ils pensent à leur propre survie individuelle plutôt qu’à celle du groupe, et parfois même l’inverse ils donnerons tout pour protéger le groupe, ils sont aussi jaloux comme l’androïde Rachael qui pour se venger de Rick tue sa chèvre. J’ai vraiment aimé la complexité des androïdes, sur ce point-là ils sont comme des humains. Chacun est vraiment unique, avec un caractère fort. J’ai été aussi attristé au fait de savoir que les androïdes n’étaient pas des modèles uniques mais ils été produit à la chaine avec la même apparence, en se mettant à leurs places cela doit être compliqué de vouloir se sentir vivant et réel en sachant que plusieurs milliers te ressemble, il est difficile de croire qu’on est unique. Le fait que l’auteur est imaginé que les humains coloniseront mars après que la terre commencera à se détériorer je trouve cela incroyable que l’auteur a pu anticiper à l’avance ce que l’homme cherche à faire aujourd’hui.

Même si j’ai aimé la lecture de ce roman, je n’ai pas aimé plusieurs choses, notamment le traitement des femmes et l’image que l’on crée d’elle. Iran la femme de Rick, est considérée comme un poids pour lui, car elle est dépressive mais il n’arrive pas à comprendre donc il ne la voit que comme inutile. Il lui fait croire qu’il achète un animal pour elle pour la réconforter mais en réalité c’est seulement pour lui pour se réconforter lui-même. Il ne la consulte pas pour savoir si elle serait d’accord d’avoir un animal alors que le prix d’un animal est assez élevé. Mais même si à la fin, il arrive à comprendre ce qu’elle ressent après avoir tué 6 androïdes en une seul journée, je trouve cela triste pour sa femme qui arrive à être enfin comprise après 2 ans mais il laisse l’impression que son état à lui est plus grave. Les femmes dans le roman sont à l’image que l’auteur se fait des femmes, aucune femme n’a un métier dans son roman sauf une seule qui est la secrétaire de Rick. Aucune femme ne dispose d’un métier qui est supérieur à un homme. Je n’aime pas cet aspect du livre, l’image de la femme est dégradée. Le seul personnage féminin qu’on peut voir qui tient tête à Rick est l’androïde Rachael, mais elle est montrée comme menteuse, facile, qui a des rapports sexuels facilement avec les hommes, et elle agit par jalousie et la colère en tuant la chèvre de Rick. Mais aussi le fait que la boite à empathie permet de faire obéir sa femme car c’est un devoir conjugal, je trouve cela sexiste. Le personnage de Rick j’ai du mal à l’apprécier, il est égoïste, il ne cherche que son propre bien pas celui de sa femme, quand il a fini par avoir un rapport sexuel avec le personnage de Rachael il n’a eu aucun remords envers sa femme, pas une pensée envers elle. Même s’il dit qu’il a été perturbé par le fait qu’il tue des androïdes à chaque mort d’un androïde la mort n’est presque pas décrite. Il ne cherche à avoir un animal car il est jaloux de son voisin qui possède une jument. Je n’aime pas le « nouveau » titre du roman Blade Runner car en anglais cela veut dire chasseur de prime. Le titre du livre fait référence au film qui porte le même nom. Mais le film et le roman non presque aucun lien en commun, je ne trouve pas cela pertinent comme nom de roman, car même si Rick est un chasseur de prime cela n’a grande importance avec l’intrigue du livre et cela peut tromper un lecteur qui ne connait pas le contenu du roman. Alors que l’ancien nom choisi par l’auteur est plus pertinent, car il montrait directement l’enjeux du livre « les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? »., la dualité entre l’homme et le robot. J’ai eu du mal à comprendre le concept de la religion de Mercer, car je le trouve qu’il a été maladroitement intégré même si on en parle depuis le début du livre, le passage du livre où l’auteur en reparle on ressent une maladresse de sa part, cela est montré comme forcer et on comprend alors que cela aura une importance pour la fin du livre. L’impact de cette religion sur les hommes, on ne la ressent pas réellement, l’auteur essaye de rajouter une intrigue supplémentaire à son livre mais je la trouve assez lourde et je trouve cela un peu dommage. Pareillement au passage de la fin du livre où Nick se retrouve dans une pleine dans le désert où il fusionne avec le Mercer. Ce passage est assez difficile à comprendre, il m’a donné l’impression que l’auteur ne savais pas réellement comment finir son roman. Je trouve cela dommage que le concept de « boite à empathie » ne soit pas expliqué et exploité, puisqu’ au début du roman cela est utilisé plusieurs fois mais par la suite plus du tout. Je trouve cela étrange que l’histoire se déroule sur une seule journée, avec tous les évènements qui se déroulent cela ne me parait peu cohérant, mais cela il peut y avoir une symbolique d’un renouveau car après il ne sera plus le même, en sachant qu’il vécut tout cela on ressent tout de même pour lui de la peine car cela n’est pas évident à vivre, on souhaite à Rick qu’il puisse être heureux et qu’il mérite un long repos après tout ça.

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Diamant

La grande guerre nucléaire a gravement pollué la Terre, une majeure partie de la population est partie dans les colonies sur Mars. Les rêves cyclopéens se sont mus en cauchemars de bidonvilles de métal.

Les humains ont créé les androïdes pour les aider, ces derniers refusant la servitude se sont rebellés.

La Terre est à l'agonie, quelques rares humais restent l'habiter, pour leur travail (comme le chasseur de primes Rick Deckard) ou par leur condition de "spécial" (comme JR Isidore), dans des structures prévues pour une population dense. La nature détestant le vide, la tropie (objets inutiles) semble même se reproduire.

Vrai paradoxe, alors que l'humain dépend de plus en plus des machines, l'Empathie est mise au centre de ses valeurs. Les animaux, devenus rares, sont protégés, et leur hotter la vie est un crime grave et immoral.

C'est sur ce point qu'a été développé le test Voight-Kampff, afin de démasquer les androïdes, qui ne ressentent pas d'empathie.

Véritable guide le l'Humanité, le Mercérisme consiste à se connecter à une boîte à images et à ressentir, en communion, l'ascension de Mercer, sa douleur, ses sensations, la vie en fait.

L'adaptation cinématographique est bien loin du livre.

Plus noire et cryptique, elle se focus sur la vie de Rick Deckard (un des personnages du livre) en en transformant les événements.

Enorme coup de cœur pour ce récit post-apo sur la défaite de l'humanité et sa volonté de rattraper le tir, on est très vite pris dans ce tourbillon kdickien, profondément humain, et soulevant des questions toujours d'actualité.

Une pépite.

Chronique à retrouver sur mon instagram ;

https://www.instagram.com/p/CqAU-tsozjP/?igshid=YmMyMTA2M2Y=

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Argent

On ne peut pas vivre sans animaux. Ceux artificiels peinent à remplacer les vivants, alors qu'on peut désirer voire être amoureux d'une androïde. Paradoxal.

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Lu aussi

Assez déçue par rapport au film... souvent les livres me confortent dans mes coups de coeur ciné, mais là vraiment pas... dommage.

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Diamant

Blade Runner, voilà un livre qui fait tourner la tête. Loin du film qui est une adaptation partielle du sublime roman. L'auteur nous entraîne dans un monde où les animaux réelles ne sont plus, seul subsiste des animaux mécaniques. Ces animaux qui sont la quête de notre chasseur et de sa femme. Pourquoi me direz-vous ? À vous de lire.

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Dates de sortie

Blade Runner : Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?

  • France : 1976-01-01 (Français)
  • France : 1985-01-01 - Poche (Français)

Activité récente

Manu48 l'ajoute dans sa biblio or
2024-02-21T21:29:02+01:00
Youbs l'ajoute dans sa biblio or
2024-02-14T21:42:28+01:00

Titres alternatifs

  • Blade Runner - Français
  • Blade Runner, tome 1 : Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? - Français
  • Robot Blues - Français
  • Do androids dream of electric sheep ? - Anglais

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Les chiffres

lecteurs 788
Commentaires 95
extraits 17
Evaluations 235
Note globale 7.93 / 10

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