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Extrait ajouté par romaneee02 2021-04-25T22:02:10+02:00

— Un viol, c’est un meurtre Isaac. Il ne s’agit ni de désir ni de pulsion, le viol n’a rien à voir avec la sexualité. C’est une violence monstrueuse, préméditée, qui utilise la sexualité comme arme.

La féminité et le sexe de la victime sont instrumentalisés ; son intimité et son identité sont niées : elles volent en éclats. Ce que le violeur tue, c’est ce qui fait d’elle un être désirant, aimant, confiant. Vivant, donc. Toi, tu ne vois que le côté

sexuel de la chose, ses blessures à elle sont plus psychologiques et émotionnelles.

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Une odeur de poisson pourri a envahi chaque recoin de ma chambre et me donnerait presque envie de vomir.

— Il doit y avoir un animal mort là-dedans, ce n’est pas possible !

Maggy me fait les gros yeux maintenant, les poings sur les hanches.

— En même temps, si vous me laissiez ranger ce foutoir, ça n’arriverait pas. Il y a tout un écosystème personnel qui s’est formé ici !

— Maggy ! je crie, exaspéré.

La gouvernante que j’adore, même si je ne lui dis jamais, lève les yeux au ciel, avant d’entrer dans mon QG et d’en faire le tour.

— Il faudra tout désinfecter ! Ranger et aérer cette pièce une fois qu’on aura trouvé cette immondice ! Vous devrez dormir dans une des chambres d’amis ce soir.

Je grogne d’énervement. Fait chier !

Sloan est à moitié morte de rire. Je lui signe un « ta gueule » qu’elle me rend.

— Eh ben voilà ! Mais… qu’est-ce que c’est que ça…

Maggy a ouvert le coffre au bout de mon lit, qui sert à stocker les coussins en principe, mais que je n’utilise jamais. Elle observe à l’intérieur, interdite.

Je me bouche le nez et avance pour voir.

Un poisson est allongé sur mes cousins. Un poisson mort et en décomposition.

— Du poisson ?! Isaac !

Maggy me regarde comme si j’étais cinglé.

— Quoi ? Ce n’est pas moi bon sang !

Elle est folle ou quoi ? Comme si j’avais moi-même pu faire un truc aussi barré.

Sloan me signe.

— Ce sont les garçons qui ont fait ça ?

Je réfléchis. Pourquoi feraient-ils ça ? Ashton semble bien énervé contre moi depuis que j’ai lancé cette nouvelle idée pour avoir Mia sous notre joug. Et depuis que je l’ai remis à sa place aussi.

Mais aucun d’eux ne ferait quelque chose contre moi sans craindre des représailles en retour.

Il n’y a qu’une personne pour me défier ces derniers temps, sauf que…

— Putain !

Se pourrait-il que…

— Quoi ? me demande Sloan.

— Mia, je signe.

La seule personne qui soit venue dans ma chambre quand je n’y étais pas et qui m’en voudrait suffisamment pour me faire un truc comme ça.

Non, mais quelle connasse ! Et quel culot aussi !

Ma perplexité se transforme en rire insensé. Je ris en me passant les mains dans les cheveux. C’est absurde.

Sloan me regarde comme si j’étais timbré, en secouant la tête.

Peut-être que je le suis, taré.

Mais bon Dieu, elle a un sacré toupet. Des fois, j’ai du mal à suivre. Elle pleure dès que je la touche de trop, mais elle ose des trucs complètement fous comme ça aussi. Elle n’a pas peur de moi et n’a pas froid aux yeux. Elle me plaît cette petite valkyrie.

Aussitôt cette pensée formulée, je fronce les sourcils et arrête de rire.

Elle me plaît ?!

C’est bon Zac, respire.

Elle me plaît juste. Et alors ? Des tas de filles me plaisent.

Il y a le petit Zac démoniaque assis sur une de mes épaules qui me fait son sourire pervers.

« Il y en a des tas qui te plaisent, mais il n’y en a qu’une qui te fait passer des nuits blanches. »

Tout ça est en train de me mettre de plus en plus de mauvaise humeur. Je déteste penser autant à elle, et que ses conneries me fassent rire aussi.

Comment est-ce que je vais bien pouvoir la punir de cette farce débile…

Maggy aère déjà la pièce en ouvrant les fenêtres.

Je renfile ma veste. Je suis crevé et j’ai sommeil. Faut que je dorme. À cause d’elle, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. L’imaginer avec M.J., ajouté au fait que je l’ai touchée et embrassée, tout ceci m’a perturbé.

— Où est-ce que tu vas ? me demande Sloan en tapant sur mon épaule.

— Faire la guerre.

Elle fronce les sourcils, mais je dévale déjà les escaliers et récupère mon casque ainsi que mes clés dans le vestiaire de l’entrée.

Je grimpe sur ma bécane et il ne me faut pas cinq minutes pour arriver chez elle : la maison sur l’eau.

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Extrait ajouté par Pajalita 2017-04-23T20:28:11+02:00

Ils s'imagine quoi ? Que parce que c'est sa mère, Mia se pliera à sa volonté ? Les parents pensent bien trop souvent que les enfants doivent tout leur pardonner car ils sont les géniteurs, tout simplement. Mais ça ne marche pas comme ça. Pas du tout.

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