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Je réprimai l'envie de le repousser vers la porte. Ses mots résonnaient dans ma tête. Rebellé ? Les archanges viendraient immédiatement le chercher chez moi ! Se montrait-il délibérément imprudent ?

-Tu es devenu fou ?

-Fou de toi, oui.

-Patch !

-Ne t'en fait pas, nous avons un peu de temps.

-Comment peux-tu en être certain ?

Il recula de quelques pas, une main sur la poitrine.

-Vraiment, Nora, ton manque de confiance en moi me blesse.

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J'avais fait quelques pas seulement lorsqu'on m'attrapa par un pan de ma blouse. Je me retournais, pensant que Patch n'en avait pas fini avec moi ou, plus terrifiant encore, qu'il s'apprêtait à braver l'interdit pour m'embrasser.

Mais c'était Scott qui se tenait derrière moi, l'air béat. Il écarta une mèche sur mon visage et se pencha vers moi, posant ses lèvres sur les miennes. Son baiser avait un goût de menthol. Je voulus le repousser, mais après tout, je me moquais que Patch nous voie. J'avais moi aussi le droit de passer à autres chose. Puisqu'il n'avait pas de scupule à se consoler dans les bras de Marcie, je ferais de même avec Scott.

Je remontais mes mains le long de son torse et les croisai sur sa nuque. Saisissant l'occasion, il ressera son étreinte en dessinant la courbe de mon dos. Pour la première fois, j'embrassai quelqu'un d'autres. Patch était lent, assuré et prenait son temps. Scott, lui, était plus empréssé et maladroit. C'était différent, nouveau... mais pas tout à fait désagréable.

- Ma chambre? me murmura-t-il à l'oreille en glissant ses doigts dans les miens pour m'attirer dans le couloir.

Je levais les yeux vers la cuisine et surpris le regard de Patch. La main dans le cou, il paraissait figé, dans son geste comme si, perdu dans ses pensées, il m'avait soudain aperçue dans les bras de Scott.

Voilà ce que ça fait, pensais-je.

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Les artificiers tiraient les fusées depuis les docks, deux cents mètres plus loin, et je sentais chaque explosion résonner dans le sable, sous mes pieds. Au bas de la dune, les vagues se brisaient sur le rivage et la musique du parc battait son plein. L'air était imprégné des odeurs de barbe à papa, de pop-corn et de barbecue. Soudain, je me rendis compte que je n'avais rien avalé depuis le déjeuner. —   Je vais m'acheter un cheeseburger, dis-je à Patch. Tu veux quelque chose ? —   J'ai bien peur que ça ne figure pas sur le menu... —   Faut-il y voir un sous-entendu ? demandai-je avec un sourire. —   Pas encore, répliqua-t-il en déposant un baiser sur mes cheveux. Je vais chercher ce cheeseburger. Profite du bouquet final. Je le retins en glissant mon doigt dans le passant de sa ceinture. —   Merci, mais je préfère commander moi-même. J'aurais mauvaise conscience. » Depuis combien de temps la fille du stand de hamburgers ne te fait plus payer ? repris-je devant son air surpris. —   Un moment

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-A ta place, j'esquiverais, reprit Vee en faisant claquer ses talons hauts sur les marches vermoulues. C'est toujours ce que je fais dans une situation embarrassante. Appelle Scott, explique-lui que ton chat a avalé une souris de travers et que tu dois l'emmener chez le vétérinaire après les cours.

-Il était chez moi hier. Il sait pertinnement que je n'ai pas de chat.

-Voilà pourquoi, à moins qu'il n'ait de la bouillie en guise de cervelle, il comprendra qu'il ne t'intéresse pas.

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-Tu ne crains rien avec moi, me souffla Patch en me carressant le bras. [...]

-Ce qui nous mène où ?

-Ensemble, me répondit-il en croisant les doigts avec un air interrogatif

-On se dispute souvent.

-Mais on se réconcilie souvent.

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-Tu crois qu'un jour, tu pourras me débarrasser de ce cabot ?

-Comment ?

-Tâche d'être inventive.

-En lui donnant du poison ?

J'épongeai mon front avec le dos de ma main.

-J'imaginais plutôt l'enfermer dans le placard...

-Tu veux dire, LE TOUCHER ?

-Vee !

-Ca va, ça va ? Je vais trouver une solution.

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-Cinq billets que tu n'arrives pas à le refaire, lançai-je en le rejoignant.

Patch se retourna et sourit.

-Ca n'est pas ton argent que je veux, mon ange.

-Dites, les enfants, restons corrects, s'il vous plaît, intervint Rixon.

-Tu fais tomber les trois dernières quilles ? dis-je d'un air de défi.

-Qu'est-ce qu'on met en jeu ?

-Vous pourriez attendre d'être seuls ? gémit Rixon.

Avec un sourire amusé, Patch se cambra, la balle serrée contre sa poitrine. Il relâcha son épaule droite et envoya le projectile aussi fort qu'il le put. Avec un craquement sourd, les trois quilles volèrent dans les airs.

-Ca sent les ennuis, ma jolie ! me cria Rixon par-dessus les exclamations des badauds qui félicitaient Patch.

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J'ouvris plusieurs tiroirs, regardai sous le lit, dans son coffre et étagère en haut de son placard. En passant la main entre le matelas et les lattes du sommier, je sentis quelques chose : son journal. La tentation de le lire était trop forte... Qu'avait-elle écrit au sujet de Patch ? Quels secrets renfermaient ces pages?

Le talkie-walkie émit un crépitement.

-Oh, merde, siffla Vee dans le talkie-walkie.

Je sors le récepteur de mon jean et pressai le bouton.

-Quoi?

-Un chien.Un énorme cerbère .Il vient de traverser le salon, enfin, cette salle de bal qui leur tient lieu de salon. Et il me regarde. Je te jure que c'est moi qu'il observe.

-Quel genre de chien?

-Je ne suis pas une pro, mais je pense que c'est un doberman. Il a un museau pointu et l'air agressif.La ressemblance avec Marcie est flagrante. Oh, oh. Il dresse ses oreilles. Il s'avance vers moi. Il a un sixième sens, j'en suis sûre. Il sent que je ne suis pas là par hasard.

-Reste calme.

-Allez, oust, le toutou. Ouste !

Le grognement sourd du molosse résonna dans le récepteur.

-Euh, Nora, on a un problème, reprit Vee.

-Le chien n'est pas parti ?

-Pire : il vient de se précipiter à l'étage.

Au même moment, des aboiements rauques retentirent derrière la porte. Ils redoublèrent d'intensité, entrecoupés par des grognements menaçants.

-Vee ! soufflai-je dans le talkie-walkie. Débarrasse-moi de ce cabot !

Sa réponse se perdit dans le raffut du couloir. Je pressai une main contre mon oreille.

-Quoi?

-J'ai dit : Marcie arrive ! Sors de là !

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Depuis onze secondes exactement, j'avais la tête sous l'oreiller et tentais vainement d'ignorer la voix nasillarde de Chuck Delaney qui donnait l'état du trafic de Portland à la radio. J'essayais aussi de faire taire ma conscience qui m'ordonnait de me lever, de m'habiller avant de le regretter. Mais mon démon intérieur l'emporta. Je m'accrochai à mon rêve, ou plutôt au protagoniste de mon rêve, avec ses cheveux noirs ondulés et son irrésistible sourire. Nous étions assis face à face sur la selle de sa moto. Nos genoux se touchaient. J'agrippais sa chemise et l'attirais vers moi pour l'embrasser

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-Nora et moins étions nostalgiques ce matin en repensant à votre enfance. Il paraît que tu voulais la persuader de manger des cloportes !

Avant que Scott ait pu nier, je renchéris :

-Il s'amusait à les faire griller sous une loupe et il n'essayait pas de me "persuader". Il s'asseyait sur moi, me pinçait le nez et me mettait les cloportes dans la bouche.

Mme Parnelle et ma mère échangèrent un regard entendu.

-Scott a toujours fait preuve de... magnétisme, répondit-elle à la hâte.

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