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- Attends un peu, tu es chez toi, là ? Comment es-tu rentrée ?

Je me frottai les yeux.

- Patch

- Patch le harceleur ?

- Eh bien, je n'ai pas vraiment eu le choix, tu sais, répliquai-je sèchement. Tu es partie sans moi.

- Tu sembles tendue. Vraiment tendue. Non pas tendue... Agitée, plutôt... Toublée... fiévreuse.

A l'autre bout de la ligne, je l'imaginai ouvrir de grands yeux.

- Il t'a embrassée !

Pas de réponse.

- Mais oui ! J'en étais sûre ! Rien qu'à sa façon de te regarder... je le sentais venir gros comme une maison !

Je n'avais pas vraiment envie d'y repenser.

- Alors ? ça donnais quoi ?

- Hein ?

- Un baiser volé ? Un baiser plus long ? Langue, pas langue ? Oh puis non, pas besoin de préciser, Patch n'est pas du genre à s'embarasser de formalités. La langue était au menu.

J'avais beau être seule dans la pièce, je cachais mon visage derrière mes mains.

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Il saisit ma main et tira sur ma manche, recouvrant complètement mon poing. D'un geste tout aussi furtif, il fit de même avec l'autre manche. Maintenue par l'extrémité de mon pull, j'étais incapable de me libérer. J'ouvris la bouche pour protester, mais il m'attira à lui.

Soudain, il me hissa sur le plan de travail. Nos deux visages étaient maintenant à la même hauteur. Il me fixait, sous la visière de sa casquette, mais je n'apercevais que ce sourire mystérieux, envoûtant. C'est là que je compris: depuis plusieurs jours déjà, ce fantasme s'était invité dans mon esprit.

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Mon corps avait bâillonné ma raison. Remontant mes mains le long de son torse, je les croisai derrière son cou. Agrippant mes hanches, il me souleva et je passai mes jambes autour de sa taille. Mon cœur battait à tout rompre, mais je ne m'en préoccupais plus. Je me jetai sur lui, laissant mon corps s'imprégner du sentiment d'extase que provoquait le contact de ses lèvres, de ses mains et cette impression que j'allais éclater...

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(chapitre 21) vingt minutes plus tard,trempés jusqu'aux os,Patch et moi arrivions en vue d'un motel moins deux étoiles.

J'étais restée muette durant notre course effrénée et à

présent,j'étais non seulement frigorifiée,mais aussi passablement énervée.

L'averse redoubla d'intensité.Hors de question de refaire le trajet inverse à moins que la pluie ne se calme.L'équation dangereuse semblait prolongée jusqu'à nouvel ordre.

Patch poussa la porte et une sonnette tinta.Un employé se dressa aussitot,brossant son pantalon constellé

de miettes de chips et suçant ses doigts gras.

-Bonsoir.Une chambre pour deux?

-N-nous voudrions utiliser v-votre t-téléphone, grelottai-je,espérant qu'il me comprenne.

-Impossible.Les lignes sont coupées.L'orage,probablement.

-C-comment ça les lignes sont coupées? Vous avez un p-portable?

Médusé,il se tourna vers Patch.

-Elle préférerait une chambre non-fumeur,intervint celui-ci.

-T'es malade? soufflai-je en faisant volte-face.

-Malheureusement,je crois que...,répondit le réceptionniste en pianotant sur son clavier.Non attendez...J'ai une chambre double non-fumeur.

-On la prend,dit Patch avec un regard en coin, esquissant un sourire moqueur.

Les lumières du plafond s'éteignirent,nous regardions le réceptionniste farfouiller sous son bureau.

Enfin,il mit la main sur une grande lampe torche.

-J'étais scout,dans ma jeunesse.Toujours pret!

-Alors v-vous avez sans doute un p-portable...

-J'en est un.Jusqu'à ce que je ne puisse plus payer les factures,ajouta-t-il en haussant les épaules.

Que voulez-vous? Ma mère est radine.

Sa mère? Il avait au moins la quarantaine. Après tout,ça n'était pas mes affaires. C'était ma propre mère qui m'inquiétait. Comment allait-elle réagir en revenant du mariage,lorsqu'elle s'apercevrait de mon absence?

-Comment comptez-vous régler?

-Liquide, répondit Patch.

-Oui, s'esclaffa-t-il,c'est assez répandu comme mode de paiement.

Il se pencha vers nous en baissant la voix:

-Certains clients préfèrent que leurs activités, disons "hors programme", n'apparaissent pas sur les relevés bancaires.

Un hémisphère de mon cerveau m'avertit que tout ceci était une très très mauvaise idée.

-C'est complétement dingue,chuchotai-je à Patch.

-Mais je suis dingue,répondit-il,sur le point d'éclater de rire.De toi, évidemment...

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- J'ai refusé ton sacrifice.

[...]

- Tu veux dire que tu as renoncé à devenir humain pour moi ?

[...]

- A quoi me servirait d'être humain sans toi ?

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- [...] C'est ça le pire, avec la peur. Ca réveille en nous ce qu'il y a de plus laid.

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- [...] Mais si on ne m'avait pas banni, je ne t'aurais jamais connue.

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- Tu cherches à posséder mon corps ?

- Je désire ton corps de bien des façons, Nora, mais pas dans ce but.

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- Vas-y, dit-il lentement. Mais rappelle-toi : les gens changent, pas le passé.

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- Mes vêtements sont trempés, je n'ai plus rien à me mettre.

Je reconnus le froissement du tissu mouillé glissant sur sa peau.

- Tant mieux pour moi, répondit-il en laissant tomber son T-shirt à nos pieds.

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