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Si tu pouvais voir mon passé rien qu'en touchant mon dos, tu aurais sans doute du mal à résister à la tentation. —J'ai suffisamment de mal à me retenir comme ça. J'éclatai de rire, mais repris immédiatement un air sérieux. En dépit de tous mes efforts, j'étais incapable de me rappeler ma vie sans Patch. Le soir, immobile dans mon lit, je me remémorais avec une précision limpide le timbre grave de son rire, le coin de sa lèvre droite légèrement retroussé lorsqu'il souriait, ses mains chaudes, douces et veloutées sur ma peau. Mais il me fallait lutter pour retrouver les souvenirs des seize années qui avaient précédé. Peut-être ne souffraient-ils pas la comparaison. Ou peut-être n'en restait-il rien de bon

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Je respirai profondément, redressai les épaules et visualisai un grand mur, derrière lequel je plaçai Marcie. Après tout, je me fichais pas mal de ce qu'elle pensait. Je ne l'aimais pas. Son opinion m'indifférait. Ce n'était qu'une petite peste grossière et égocentrique. Elle ne me connaissait pas et ne savait rien de mon père. Je perdais mon temps en l'écoutant cracher son venin. Passe à autre chose, me répétai-je. J'attendis de retrouver un visage plus serein pour quitter les toilettes. Je fendis ensuite la foule, tout en cherchant Patch des yeux. Je l'aperçus au jeu de massacre, Rixon à ses côtés, sans doute à parier sur sa maladresse. Rixon était un déchu ainsi que le plus vieil ami de Patch, presque un frère. Peu liant, Patch n'accordait pas facilement sa confiance. Mais s'il y avait une personne pour qui il n'avait aucun secret, c'était bien Rixon

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pach enfouit son visage au creu de mon cou et ses mains glisserent au bas de mon dos. il poussa un profon soupir.

- je t'aime souffla t il dans mes cheveux. je ne me rapelle pas avoir été plus heureux qu'aujourd'hui.

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-L'un de ses ex est assis derrière moi en cours d'espagnol. Il m'a dit que tous les soirs, à dix heures précises, elle se déshabille devant sa fenêtre. Quelquefois, quand ses copains et lui s'ennuient, ils viennent se rincer l'oeil. D'après lui, elle prend tellement de temps qu'il attrape des crampes à rester le nez en l'air. Il racontait qu'une fois, elle a...

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-Tu sens bon le Coca, ajouta-t-elle en me léchant l'avant-bras. Ca me donne soif.

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Par le judas, j'aperçus Scott qui m'offrait le signe de la paix.

-Battle of bands ! m'écriai-je en me frappant le front.

J'avais complétement oublié de décommander. Je baissai les yeux vers mon pyjama et poussai un soupir exaspéré. J'ébourrifai vainement mes cheveux mouillés et tirai le verrou. Scott m'observa de haut en bas.

-Tu avais oublié.

-Attends, tu plaisantes ? Je n'ai pensé qu'à ça toute la journée ! Je suis juste un peu en retard...

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-Tu veux un conseil ? Un conseil valable, de mec à fille ? Laisse tomber ce Patch. Passe à autre chose. Trouve-toi un type qui partage tes gôuts. Les études, les échecs, les collections d'insectes rares... Et envisage sérieusement de te teindre les cheveux.

-Pardon ?

Scott toussota, cherchant à dissimuler un sourire.

-Soyons honnêtes. Etre rousse est un handicap.

-Je ne suis pas rousse, répliquai-je en plissant les yeux.

Son sourire s'élargit.

-Ca pourrait être pire. Ca pourrait être carotte.

-Tu es toujours aussi désagréable ? Ca expliquerait la pénurie d'amis.

-Juste un peu trop franc.

Je relevai mes lunettes de soleil pour mieux le regarder.

-Pour info, je n'aime ni les échecs ni les insectes.

-Mais tu passes ta vie dans les bouquins. Ca se voit. Tu transpires le sérieux. En deux mots : maniaque obsessionnelle. Un cas classique.

-Daccord, Dr Freud, répondis-je sidérée. Je prends peut-être mes études au sérieux. Mais je ne suis pas quelqu'un de barbant.

Du moins, je l'espérais.

-A l'évidence, conclus-je, tu ne me connais pas.

-C'est ça.

-Parfait, répliquai-je. Donne-moi une chose qui te plaît et qui, selon toi, ne me conviendrait pas. Arrête de rire, je suis sérieuse. Une seule chose.

-Battle of bands ? Ca te dit quelque chose ? Des groupes de rock qui s'affrontent sur scène. Du gros son bourrin. Une foule survoltée. Des toilettes qui se transforment en bordel. L'adrénaline du Z multipliée par dix.

-Euh, non, bredouillai-je.

-Je passe te prendre dimanche soi Et n'oublie pas ta fausse carte d'identité, c'est interdit aux mineurs.

Il m'observa, les sourcils levés et l'air moqueur.

-Pas de problème, répondis-je pour donner le change.

Techniquement, je m'étais jurée de ne jamais ressortir avec lui, mais il n'était pas question de me laisser traiter de fille rasoir. Et encore moins de rousse.

-On s'habille comment ?

-Le moins possible.

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-Scott ! m'exclamai-je, une main sur la potrine. Ne me dis pas que tu chapardais les panneaux de signalisation pour les accrocher dans ta chambre !

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Je songeais à l'envoyer promener, mais notre professeur de chimie ne plaisantait pas avec les retardataires. D'après la rumeur, il aimait presque autant distribuer les heures de colle que la classification périodique des éléments.

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Son amitié m'importait davantage que cent connaissances insignifiantes.

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