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Liste des extraits

" Il m'entraîna à l'intérieur, de couloirs en pièces bondées, à la recherche d'un endroit plus tranquille. Enfin, il m'attira vers la salle de bains, claqua la porte d'un coup de pied et poussa le verrou. M'adossant au mur, il joua avec l'une des cornes rouges sur mon serre-tête, le regard assombri par le désir.

-Joli costume, observa-t-il.

-Toi aussi. Je vois que tu t'es donné du mal.

Un petit sourire se dessina sur ses lèvres.

-Ca ne te plaît pas ? Je peux l'enlever si tu veux.

-Mmmh, c'est sans doute la proposition la plus tentante qu'on m'ait faite ce soir, répondis-je en me caressant le menton.

-Mes propositions ne se refusent pas, mon ange.

-Quoique, toute à l'heure, Marcie m'a demander de nouer le lacet de ses leggins en cuir. Vraiment, difficile de départager, ajoutai-je, faisant mine de peser le pour et le contre.

Le visage enfui au creux de mon cou, il ôta son masque avec un rire, en écartant mes cheveux de mon épaule. Son parfum m'envoûtait. Il émanait une impression de chaleur, de solidité, de proximité... Le coeur battant, j'étais rongée par le remords.Je lui avait menti. Impossible de l'oublier. Je fermai les yeux tandis que ses lèvres cherchaient les miennes, et tâchait de me laisser aller. Mais les mensonges me rattrapaient, cognaient, tambourinait dans ma tête. Je l'avais manipulé afin d'absorber du démonium. Depuis, je n'avais pas cessé d'en prendre...

[...]

Il fit glisser plus haut l'ourlet de ma robe, passant son pouce sur ma cuisse nue. La tendresse de son geste effaça aussitôt ma mauvaise conscience. Cette sensation me procurait des frissons. Une fois encore, je fermai les paupières, involontairement cette fois. Toutes mes angoisses se dissipèrent et je respirai soudain un peu plus fort. Patch savait exactement comment me toucher.

Il me souleva sur le lavabo, les mains sur mes hanches. J'eus brusquement très chaud. J'avais l'impression de fondre de l'intérieur. Lorsqu'il m'embrassa fougueusement, je crus voir des étincelles. J'avais beau prendre l'habitude de son contact, de ses baisers, je ne me lassais pas de cette sensation enivrante qui palpitait en moi dès que nous étions ensemble, de l'impression de sentir mon corps entrer en fusions. Cette électricité palpable semblait même s'intensifier. J'avais envie de lui et, dans ces moments-là, je ne jurais plus de rien.

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Extrait ajouté par Soso83 2012-08-26T17:56:03+02:00

"Mes offres sont toujours les meilleurs, mon anges" de Patch Cipriano.

"Si nous allons au bout de ça, tu ne pourra pas me contacter. Pas au Paradis. Toute communication sera coupée jusqu'à ce que je finisse." de Patch Cipriano

"Fais une dernière chose pour moi, reviens-moi saine et sauve, ce soir." de Patch Cipriano

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Extrait ajouté par Shaki 2012-11-07T20:52:01+01:00

— Mon ange, tu es glacée, remarqua-t-il en m'entrainant vers le fond de l'appartement. Viens t'allonger. Je vais allumer le feu. ce dont tu as besoin pour l'instant, c'est de te réchauffer et de te reposer. Je vais aussi te faire couler un bain.

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Extrait VO:

- All I can think about is bed.

- We're sharing the same thought.

- You're thinking about bed too?

- I'm thinking about you in my bed.

Source: http://oiseausecret.canalblog.com/archives/2012/01/16/23250479.html

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- Je vais le tuer.

- Essaie une minute de surmonter ton aversion pour Dante. Et ta colère ?

- Ma colère ? ricana-t-il, le ton menaçant. Oh, mon ange ... C'est un mot bien faible pour décrire ce que je ressens en ce moment. Tu m'apprends qu'un néphil t'a contrainte à absorber du démonium. Je me fiche qu'il n'ait pas réfléchi ou qu'il soit désespéré. Il a commis une erreur qu'il n'est pas près de réitérer. Et au cas où tu serais tentée de le plaindre, sache qu'il avait pertinemment conscience de ce qui l'attendait. Je l'avais prévenu : tant que tu étais sous sa responsabilité, à la moindre égratignure, je le ferais payer.

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-Ca n'a rien de drole. Elle s'arrange pour faire de ma vie un enfer. De quel cote es-tu, a la fin ?

-Oh, moi je reste en dehors de ca ! repliqua-t-il en levant les mains en l'air.

-J'ai besoin d'un cavalier pour cette fete debile. Et j'ai bien l'intention d'en mettre plein la vue a Marcie, repris-je, soudain inspiree. Je veux un garcon plus sexy et un costume plus recherche qu'elle. Et trouver une idee plus originale que Tristan et Yseut.

-On ne doit pas nous voir ensemble, grommela-t-il en me regardant a peine.

-Tu seras deguise. Prends ca comme un defi : il faudra etre d'une discretion absolue. Et puis, tu dois bien avouer que tout ce mystere pimente un peu les choses, non ?

-Les soirees costumees, ca n'est vraiment pas mon truc.

-Oh, aller, s'il te plait, s'il te plait, s'il te plais, suppliais-je en battant des cils.

-Arrete, tu vas me tuer.

-Je ne connais qu'une personne plus cannon que Scott, ajoutais-je, cherchant a flatter son ego.

-Ta mere ne me permettra pas de franchir la porte. J'ai vu la carabine qu'elle cache sur la derniere etagere du cellier.

-Je le repete : tu seras deguise, espece d'andouille. Elle ne pourra pas te reconnaitre.

-Quelque chose me dit que tu n'as pas l'intention de laisser tomber.

-Non ! Que penses-tu de John Lennon et Yoko Ono ? Samson et Dalila ? Robin des Bois et Lady Marianne ?

-Patch et Nora ? demanda-t-il en haussant les sourcils.

(Patch & Nora)

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Extrait ajouté par Shaki 2012-11-07T21:34:41+01:00

— Moi je ne pense qu'a une chose: me glisser dans mon lit!

— Les grands esprits se rencontrent.

— Ah? Toi aussi?

Il m'avait pourtant expliqué qu'il dormait peu.

— Non, je pense a te glisser dans mon lit.

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- Un arbre. Déracine-le et tu pourras rentrer chez toi.

J'ouvris la bouche, soufflée.

- Dante ...

- C'est le b-a, b-a de l'entraînement, annonça-t-il en me donnant une tape dans le dos qui se voulait sans doute encourageante, avant de s'allonger sur le rocher. Et c'est beaucoup plus drôle à regarder que les épreuves d'athlétisme à la télé.

- Je te hais.

- Non, pas encore. On en reparle dans une heure.

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Extrait de Finale

« Je suis à la maison ! Ai-je dit à ma mère, la lumière dans le séjour loin de me donner son emplacement. Je laissait choir mes clés sur le buffet et me mit à sa recherche.

Elle écorna sa page, se leva du canapé, et me serra dans ses bras.

– Comment s'est déroulée votre nuit ?

Je suis officiellement vidée de chaque once d'énergie, ai-je avouée tout en grimpant. Si j'arrive jusqu'au lit, ce sera par ma seule et pure force mentale.

- Durant ta sortie, un homme s'est arrêté par ici et te recherchait.

Je fronça les sourcils. Quel homme ?

– Il n'a pas voulu me dire son nom, et il ne m'a pas dit comment il te connaissait, continua ma mère. Dois-je m'inquiéter ?

- A quoi ressemblait-il ?

- Visage rond, le teint rougeaud, les cheveux blonds.

Lui, alors. L'homme qui, apparemment, avait des comptes à régler avec Patch. J'ai feint un sourire.

– Oh, c'est vrai. C'est un vendeur.

Ma mère m'embrassa sur le front.

– Fais de beaux rêves.

Je suis montée dans ma chambre, ferma la porte, et me laissa aller sur mon lit. La musique du Sac du Diable résonnait toujours dans mon crâne, mais j'étais trop fatiguée pour m'en préoccuper. Mes yeux se fermaient presque quand je me suis souvenu de la fenêtre. Sur un gémissement, je me levais et déverrouillée la serrure. Patch pourrait pénétrer ma chambre, mais je lui souhaitais bonne chance quant au fait de réussir à me tenir éveillée pour obtenir quelques réponses.

J'ai tirée mes couvertures jusqu'au menton, sentit la douce béatitude des rêves me tenir la main...

Et puis le matelas se creusa sous le poids d'un autre corps.

– J'ignore pourquoi tu aimes tant ce lit, déclara Patch. Il est une dizaines de centimètres trop petits, trop étroit de quatre pieds et les draps violets ne sont pas fait pour moi. Mon lit, d'autre part...

- Ah, dis-je, je sais que tu te moques bien du confort de mon lit. Tu serais à l'aise sur une palette de briques.

L'un des inconvénients de Patch à être un ange déchu, c'est qu'il est incapable d'éprouver des sensations physiques. Pas de douleur, mais pas de plaisir non plus. Je devrais être heureuse de savoir qu'il parvient émotionnellement à ressentir mes baisers. J'essaie de faire comme si cela n'avait aucune importance, mais dans le fond, je voulais qu'il se sente électrisé par mon contact.

Il déposa un léger baiser sur mes lèvres.

– De quoi veux-tu me parler ?

Je ne pouvais m'en souvenir. Quelque chose à propos de Dante. Quoiqu'il en soit, cela semblait sans importance. Parler en général semblait sans importance. Je me blottis au plus près de lui, et Patch me caressa de sa main le long de mon bras nu, ce qui procura une sensations de picotement chaud au travers de mon corps, de ma tête jusqu'aux orteils.

Source : http://claire-darkangel.blogspot.fr/2012/09/hush-hush-lextraits-de-finale-de-becca.html

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Extrait ajouté par Eydis 2012-11-06T16:55:01+01:00

Une exclamation rauque lui échappa, entre un rire et soupir.Ses yeux s'illuminèrent émerveillés.

-Je peux te sentir.

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