Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 476
Membres
1 012 370

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Et s'ils reviennt tous avec des rapports sur des quartiers entiers pris par les spectres? Que ferons-nous?

- Ah,Vashti, mon eternelle pessimiste! Eh bien, si çà arrive, on fera le plein de films de zombies et d'apocalypse pour essayer d'y reperer des stratégies.

Afficher en entier

Elijah se remit debout et fit rouler ses épaules en bombant le torse. Il se sentait déjà mieux. Sentant le regard attentif de Vashti sur lui, il tourna vers elle un oeil inquisiteur.

- Vous allez enfiler des vêtements, oui ou non ? jeta-t-elle.

- Pourquoi vous n’enlèveriez pas plutôt les vôtres ?

Elle découvrit ses crocs.

- Seulement dans tes fantasmes, lycan.

Il haussa les épaules.

- Bon, j’aurai essayé.

Afficher en entier

Elle le contourna et plongea la main dans son décolleté pour en sortir les clefs de sa Jeep. Mais il lui saisit le poignet avant qu’elle ait pu s’éloigner.

- Comment tu fais pour ranger tout ce bazar là-dedans ? Téléphone portable, clef USB, clefs de voiture, on trouve de tout.

Elle se dégagea d’un geste brusque et désigna la combinaison noire, moulante et sans manches qu’elle portait.

- Où est-ce que tu veux que je range mes affaires sinon ?

Malgré la férocité de son mouvement, il n’avait pas écarté sa main. Elle restait suspendue au dessus de son épaule, suffisamment près pour frémir à la perspective de son contact. Lentement, comme s’il s’attendait encore à la voir s’échapper, il ajusta sa posture afin qu’ils se retrouvent face à face. Puis il posa les doigts sur la fermeture Éclair nichée entre ses seins. Les globes gonflèrent douloureusement, en quête de caresses.

Elle avait oublié ce que l’on ressentait à être physiquement excitée, combien c’était enivrant, à quel point ça vous empêchait de penser de façon rationnelle et d’agir avec bon sens.

- Bas les pattes, siffla-t-elle en reculant d’un pas.

- De quoi as-tu peur ?

- Ce n’est pas parce que je refuse d’être déchiquetée que j’ai peur, imbécile.

Les yeux émeraude s’allumèrent d’une lueur de défi sous le clair de lune, et il leva les deux mains.

- Je promets de garder mes pattes dans mes poches, je me demande juste ce que tu caches encore là-dedans : de l’argent ? des cartes de crédit ? une roue de secours ?

- Ce ne sont pas tes affaires.

- Je t’ai montré les miennes, moi, la taquina-t-il.

Il la titillait exprès, avec sa sexualité naturelle. Les vampires étaient des créatures sexuées elles aussi, mais les lycans étaient païens, leur sang à demi démoniaque stimulant leur animalité. Or, Elijah était encore plus agressif sexuellement parlant que tous les lycans qu’elle avait rencontrés jusque-là. Sa confiance en lui, son autorité naturelle, son corps puissant et la conscience de sa virilité et de sa force lui conféraient un charisme quasi irrésistible.

Elle n’arrivait pas à s’ôter son image de la tête – son corps nu, ses grandes mains sur son membre épais, ses yeux sombres et brûlants de désir pour elle. Ce souvenir l’avait hantée toute la nuit dernière, tandis que lui dormait paisiblement. Le salaud… Irritée par l’attirance perturbante qu’elle ressentait pour lui, Vashti baissa le zip jusqu’au nombril, écartant les pans de sa combinaison. Ses seins libérés exhibèrent leurs pointes érectiles, que caressa la brise nocturne. Son vêtement était suffisamment serré pour qu’elle n’ait pas besoin de porter de soutien-gorge, qui aurait gâché la fluidité de sa tenue. Si moulante qu’elle soit, sa combinaison était confortable, et présentait le double avantage de lui laisser toute liberté de mouvement en même temps qu’elle détournait l’attention de ses adversaires. Autrement dit, tout bénéfice pour elle.

Il la fixa sans ciller, mais son visage se durcit sous un masque d’austère et féroce avidité. Il laissa lentement retomber les bras le long de ses flancs, poings serrés.

- Doux Jésus, souffla-t-il.

Afficher en entier

— De quoi est-ce que tu as rêvé, Vashti ?

Elle se crispa soudain et essaya de s’écarter, mais il avait anticipé sa réaction et la tenait fermement.

— Laisse-moi, répliqua-t-elle d’un ton irrité.

— Pas question.

— Je peux t’y obliger.

Il lui prit les cheveux à pleine poignée, tirant sa tête en arrière pour river ses yeux aux siens.

— Demande-le-moi gentiment et j’y réfléchirai.

— Va te faire foutre.

— Ça n’est pas vraiment une façon de demander gentiment, mais d’accord.

Un rire lui échappa qu’elle s’empressa de maîtriser, mais le temps qu’il dura, ce fut à couper le souffle. Profond et grave, ce rire semblait un peu rouillé, mais tout aussi plein et puissant qu’elle.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode