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Extrait ajouté par lilou68 2016-08-09T18:37:52+02:00

— Mia, petite Mia… tu es mignonne avec ta queue de cheval, tes taches de rousseur et tes prunelles à cristaux liquides. Quel âge tu as ? Dix-sept ? Dix-huit ?… Si jeune…

Son souffle chaud sur ma peau m’enflamme. Fahrenheit est aussi un degré de mesure de la température, non ? Je crois que ma chaleur corporelle vient d’atteindre les deux cents degrés Fahrenheit. Je me souviens de mes cours de chimie. La température notable la plus haute était appelée le « sang du cheval ».C’est ça. C’est un cheval lancé au grand galop à l’intérieur de moi, avec le cœur palpitant comme le sien, la respiration saccadée, la peau bouillonnante.

— Je ne voudrais pas t’abîmer, murmure-t-il. Alors un conseil… casse-toi.

J’essaye de réfléchir normalement, mais mes pensées s’entremêlent.

C’est ma chance ici. Je ne veux pas et ne peux plus partir. Pourquoi le ferais-je ?

— Je ne partirai…

J’ouvre la bouche pour parler et me retourne vers lui. Mais il est si près que nos lèvres se frôlent l’espace d’une demi seconde. Je suis électrisée de la tête aux pieds. Il recule vivement, comme s’il s’était brûlé, en écarquillant les yeux.

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Extrait ajouté par Julie-195 2018-08-30T15:27:33+02:00

La musique est assourdissante. L'instrumental de "Turn the page" du groupe The Streets résonne autour de moi au moment où il passe la porte, sa veste en cuir sur le dos, les mains dans ses cheveux. Il repousse ses mèches en arrière et son regard sonde le bar. Frais, rasé de près, la chevelure plus noire parce qu'elle est mouillée, il est plus sexy que jamais. OK, ça ne va pas le faire.

Ses yeux rencontrent les miens et je sais d'avance que je suis cuite.

Fuis, Mia!

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2018-04-16T18:11:37+02:00

La moto, c'est comme le sexe, sortez couverts. Avec du cuir, c'est encore mieux.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2018-04-10T14:07:14+02:00

Attention, si vous êtes sensibles, à fleur de peau, si vous préférez les récits chamallows et guimauves, si vous n’aimez pas vous endormir en pleurant, si vous avez peur du noir, des fantômes et des monstres qui se cachent sous votre lit et dans vos placards, changez d’histoire. Lisez autre chose.

Mon film d’horreur favori, c’est ma vie.

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Extrait ajouté par Vir_R 2016-06-24T15:51:07+02:00

Je n’ai jamais été très superstitieuse. Ma famille est croyante et mon éducation s’est faite dans la certitude qu’il y a un dieu qui nous observe et absout tous nos péchés. Et même si je ne suis pas très pratiquante, l’idée que tout ce que je peux faire de mal se sait tout là-haut m’a toujours travaillée.

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Extrait ajouté par Lunenoir 2019-01-05T13:21:17+01:00

-Allons, allons, monsieur Miles. Mettez-y un peu du vôtre. Je suis sûre que mademoiselle Gilmore est capable, comme nous tous, de voir en vous autre chose.

Autre chose ? Autre chose que ce qu’il veut bien montrer ?

Zac est sur le point d’ouvrir la bouche pour l’envoyer paître, mais je suis plus rapide et l’interromps.

-Je sais que tu es fils unique. Enfin j’imagine que tu n’as pas de frères. Tes amis, eux, sont comme des frangins. Tu ne fais jamais rien sans eux. Et les bracelets à tes poignets portent le nom de chacun d’entre eux. Je sais aussi que tu aimes faire de la moto. Pas pour la vitesse spécialement, je ne crois pas. C’est un roadster et même si je ne m’y connais pas, je vois bien qu’elle n’est pas forcément plus rapide que les autres. Non, tu aimes la moto parce que tu as ce sentiment de liberté quand tu l’enfourches. Ce sentiment d’être seul au monde. C’est pour ça que tu en as pris une qui n’admet pas une deuxième personne très longtemps. Ce serait inconfortable. Elle est pour toi. Dans ces moments là, tu apprécies ta solitude. Je crois même que tu passes beaucoup de temps à la bichonner dans ton garage ou je ne sais où. Parce que tes doigts sont calleux et le voir de tes ongles abîmés et noircis, comme mon oncle qui est garagiste.

L’expression moqueuse et arrogante d’Isaac se transforme en surprise avant d’évoluer en une espèce d’air suintant de mécontentement. Il ouvre la bouche pour parler, mais je l’arrête en reprenant.

-Je sais que tu portes du Fahrenheit, que ta veste en cuir de vachette est un modèle rare ChevignonXHelstons vintage et qu’elle coûte cher. Je sais que tu fumes trop, car ta voix est rauque est cassée. Peut être le soir à la fenêtre de ta chambre quand tu n’arrives pas à dormir. Parce que je suis sûre que tu ne dors pas. Ça fait trois jours qu’on s’est rencontré et pourtant je vois tes cernes très souvent. Peut être que tu ne dors pas à cause de ton enfance. J’ai vu cette phrase sur ta clavicule « Oublie ce qui t’a blessé dans le passé, mais n’oublie jamais ce que cela t’a appris ». Ah oui... et tu as ce tic de toujours tirer sur ta lèvre inférieur quand tu réfléchis intensément.

A présent, il est abasourdi.

Et ouais, mon vieux.

Je suis pas «  mentaliste », mais je ne suis pas aveugle et si con que ça, non plus. Non, non...

-Tu vois. J’en sais suffisamment.

Madame Diaz tape dans ses mains.

-C’est ça, mademoiselle Gilmore ! Vous avez tout compris. Allez, au travail.

Elle s’éloigne et je me penche pour parler à Zac sur le ton de la confidence.

-Je n’ai pas voulu dire devant elle que je connais aussi la couleur de ton caleçon. Il est bleu nuit aujourd’hui.

C’est vrai que je l’ai vu dépasser en le suivant tout à l’heure.

Et toc !

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2018-04-11T11:01:01+02:00

Mon film d'horreur favori, c'est ma vie.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2018-04-16T18:11:01+02:00

Dans la vie, le meilleur moyen de réaliser l'impossible est de croire que c'est possible.

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Extrait ajouté par leslecturessucrees 2018-04-16T10:22:50+02:00

— Capable ? T’es cap Mia, de me tenir tête ? T’as aucune idée de ce que je peux faire pour te pourrir la vie. Aujourd’hui n’était qu’une mise en bouche.

— Cap, Miles. C’est toi qui ne me connais pas. Tu crois que tu peux m’atteindre, mais tu n’y arriveras pas. Tu sais pourquoi ? Parce que d’autres ont essayé. Les humiliations publiques, le harcèlement, les injures et les menaces, les coups bas et dans le dos, même les attaques physiques, je les ai tous encaissés. Tu n’as aucune idée de ce que j’ai déjà pris avant de te rencontrer. Alors, ne crois pas que tu me fais peur car rien ne m’effraye. Dis-toi une chose, je te rendrai tout, coup pour coup, chaque fois que tu chercheras à m’atteindre. Sans états d’âme. Tu es cruel, mais je peux l’être aussi.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2018-04-11T11:01:33+02:00

- On n'a pas toujours ce qu'on veut dans la vie, Sweetheart.

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