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Sur le Disque-Monde, un alchimiste d’Ankh Morpork a découvert la Magie des images animées. Finie la fastidieuse et toujours incertaine corvée consistant à transformer le plomb en or, il y a bien plus amusant et rentable : transformer la lumière en or ! Le principe est simple : il faut une boîte appelée caméra dans laquelle on enferme six diablotins, deux qui regardent par le trou à l’avant de la boîte et peignent les images de ce qu’ils voient sur une membrane transparente et quatre qui soufflent dessus pour sécher la peinture. Un séchage rapide étant essentiel car, chaque fois que l’on tourne la manivelle de l’appareil, la bande de pellicule descend d’un cran pour l’image suivante. Aussitôt, une activité fébrile s’empare d’une petite colline déserte au bord de l’océan : Olive Oued ! Mais à jouer comme cela avec réalité et illusion, ne risque-t-on pas de provoquer une catastrophe d’ampleur proprement cosmique ?
Le troll le remarqua et voulut lui faire un clin d'œil. En l'occurrence, il ferma les deux yeux, car Détritus n'était pas doué pour les manœuvres compliquées. Si on lui apprenait suffisamment à lire et à écrire pour lui faire passer un test d'intelligence, pensait-on généralement de lui, il se révélerait à peine moins malin que la chaise où il serait assis.
Encore un tome haut en couleur ! Beaucoup plus long que le précédent, je n'ai cependant pas eu de mal à le lire. Même si je n'ai pas été autant captivé pas l'histoire que lors de certains autre tomes, mais j'ai tout de même apprécié ma lecture pour celui-ci. J'ai trouvé toutes les références absolument tordantes, et surtout toujours incroyablement intelligentes !
Dans cette nouvelle aventure du disque-monde, l’auteur dresse un portrait plein d’humour et caricatural du monde du cinéma avec un léger détour parle mythe de l’Atlantide. Un excellent livre qui tombe juste dans les excès du cinéma et plein de références détourner avec humour pour le plus grand amusement du lecteur
J'ai été assez déçu par ce tome, je l'ai trouvé assez long, moins drôle que les autres, et je n'ai pas aimé les personnages, que je n'ai trouvé ni intéressent ni attachants (à part Gaspode et Détritus ^^)
Bref, c'est comme ça avec le Disque-Monde, il y a des tomes que j'adore, d'autres moins, c'est normal ! ^^
Un tome que j'ai trouvé un peu long mais j'ai beaucoup aimé les animaux parlants. Ils sont une grande source de comique et je les ai même préférés aux "vrais" personnages.
Un de mes tomes favoris et pour cause, un tome qui parle à tout le monde! Parodie d'Hollywood et de ses dérives (l'histoire à peu près, les publicités, etc...), ce tome est un petit trésor d'imagination et d'humour. On y retrouve certaines figure déjà connues du Disque et on y découvre un nouveau venu chez les mages. Bref, un roman comme on les aime, drôle et incisif.
J'aime la critique de l'industrie cinématographique, des films de série Z, de ceux qui les dénigrent, de ceux qui les regardent, avec quelques dégâts collatéraux sur les films historiques sérieux, sur les marchands, et sur l'autre grande industrie américaine du cinéma. Et j'en oublie.
Résumé
Sur le Disque-Monde, un alchimiste d’Ankh Morpork a découvert la Magie des images animées. Finie la fastidieuse et toujours incertaine corvée consistant à transformer le plomb en or, il y a bien plus amusant et rentable : transformer la lumière en or ! Le principe est simple : il faut une boîte appelée caméra dans laquelle on enferme six diablotins, deux qui regardent par le trou à l’avant de la boîte et peignent les images de ce qu’ils voient sur une membrane transparente et quatre qui soufflent dessus pour sécher la peinture. Un séchage rapide étant essentiel car, chaque fois que l’on tourne la manivelle de l’appareil, la bande de pellicule descend d’un cran pour l’image suivante. Aussitôt, une activité fébrile s’empare d’une petite colline déserte au bord de l’océan : Olive Oued ! Mais à jouer comme cela avec réalité et illusion, ne risque-t-on pas de provoquer une catastrophe d’ampleur proprement cosmique ?
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