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Le fait est peu connu mais authentique : un bipède peut battre un quadrupède à la course sur une courte distance, uniquement à cause du temps que met le quadrupède à faire le tri dans ses pattes.
Afficher en entierTout le centre de Morpork était désormais livré aux flammes, et les citoyens plus riches et plus honorables d'Ankh, sur la rive d'en face, affrontaient bravement la situation en démolissant frénétiquement les ponts.
Afficher en entierUn des avantages de la mort, c’est qu’elle libère comme qui dirait des liens du temps.
Afficher en entierLa Mort, pourtant débordé de travail, sans une minute à lui, décida qu’il venait de se trouver un passe-temps. Quelque chose chez le mage l’agaçait au plus haut point. Pour commencer, il ne venait jamais à ses rendez-vous.
« TOI, JE T’AURAI, DUSCHNOCK, fit-il d’une voix comme le claquement de couvercles en plomb qui se referment sur un cercueil, TU VAS VOIR. »
Afficher en entierRincevent songea que si Deuxfleurs rencontrait la plupart des clients du Tambour, il ne rentrerait jamais chez lui, à moins d'habiter en aval du fleuve et d'y passer au fil du courant.
Afficher en entier- Je vous assure que cette idée ne m'est même jamais venue à l'esprit, monseigneur.
- Vraiment ? Alors moi à ta place, je poursuivrais ma figure en justice pour diffamation.
Afficher en entierCertains pirates s'assuraient l'immortalité par de grands actes de cruauté ou de bravoure. D'autres en amassant de grandes richesses. Mais le capitaine avait depuis longtemps décidé qu'il préférait, en fin de compte, s'assurer l'immortalité évitant de mourir.
Afficher en entierOn meurt tout pareil quand on tombe de dix mètres ou de dix mille.
Afficher en entier- Vous n'arrêtez pas de dire que vous êtes mort... s'empressa de signaler Deuxfleurs.
- Et alors ?
- Ben, les morts, euh... ils... vous savez, ils ne parlent pas beaucoup. En général.
Afficher en entierLiessa leva les mains et ôta son casque, laissant cascader ses boucles de cheveux roux. Puis elle dégrafa la broche de sa robe. En dessous elle était nue.
Tandis que Hrun la parcourait du regard, son cerveau mît en branle deux machines à calculer imaginaires.
L'une évaluait l'or de ses bracelets, les rubis tigrés qui ornaient ses bagues d'orteil, le diamant qui paraît son nombril et deux tortillons en filigrane d'argent fort originaux. L'autre était directement branchée sur sa libido.
Toutes les deux dressèrent un bilan nettement positif.
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