Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Le troll le remarqua et voulut lui faire un clin d'œil. En l'occurrence, il ferma les deux yeux, car Détritus n'était pas doué pour les manœuvres compliquées. Si on lui apprenait suffisamment à lire et à écrire pour lui faire passer un test d'intelligence, pensait-on généralement de lui, il se révélerait à peine moins malin que la chaise où il serait assis.

Afficher en entier

"Est-ce que j'entends des voix ou est-ce que ce p'tit cabot parle? fit Planteur

- Lui prétend que non" répondit Victor.

Planteur hésita l'émotion lui embrouillait un peu les idées. "Ben, fit-il, j'imagine qu'il doit savoir d'quoi il parle."

Afficher en entier

Voyez…

Voici l’espace. On l’appelle parfois l’ultime frontière.

(Sauf, bien entendu, qu’il ne peut exister d’ultime frontière, car il n’y aurait rien derrière à délimiter, on devrait donc parler de pénultième frontière…)

Et sur fond de lavis stellaire flotte une nébuleuse, immense et noire, où une géante rouge luit comme la folie des dieux.

Puis la lueur se précise comme le reflet d’un œil monstrueux qu’éclipse régulièrement le battement d’une paupière, les ténèbres dévoilent une nageoire, et la Grande A’Tuin, la tortue stellaire, fend le vide de l’espace.

Sur son dos, quatre éléphants géants. Sur leurs épaules, bordé d’eau, étincelant sous son minuscule soleil en orbite, en rotation majestueuse autour des montagnes de son Moyeu glacé, repose le Disque-monde, à la fois monde et miroir des mondes.

Afficher en entier

Un dicton prétend que toutes les routes mènent à Ankh-Morpork, la plus grande cité du Disque-Monde.

Du moins, un dicton prétend qu'il y a un dicton qui prétend que toutes les routes mènent à Ankh-Morpork.

Ce qui est faux. Toutes les routes mènent loin d'Ankh-Morpork, mais parfois les voyageurs les prennent dans le mauvais sens.

Afficher en entier

J’étais un lapin heureux de ma condition de lapin, et vlan, la seconde d’après, voilà que je me mets à penser. C’est un sérieux handicap pour un lapin en quête de bonheur, moi je te le dis. Tout ce qu’on demande, c’est de l’herbe et du sexe, pas des idées du style : À quoi bon tout ça quand on y réfléchit ?

— Ouais, mais toi, au moins, tu manges de l’herbe, fit observer Gaspode. L’herbe, au moins, ça ne te répond pas. La dernière chose dont on a envie quand on a faim, c’est un putain de cas de conscience dans sa gamelle.

— Tu crois avoir des chouchis, toi, intervint le chat comme s’il lisait dans l’esprit de Victor. Moi, j’en chuis réduit à manger du poichon. Tu pojes la patte chur ton déjeuner, et il ch’met à crier au checours, t’es bien avanché. »

Afficher en entier

Parce que dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s’est passé.

Afficher en entier

Puis elle lui tendit une épée recourbée.

« Pourquoi elle est tordue ? demanda-t-il.

— J’pense que c’est comme ça, chéri, répondit-elle sans assurance.

— Je croyais que les épées devaient être droites », fit Victor. Dehors, il entendait Planteur demander au ciel pourquoi tout le monde était si bête.

« Peut-être qu’elles sont droites au début et qu’elles se tordent à l’usage, dit la vieille femme en lui tapotant la main. Ça arrive à des tas de choses. »

Afficher en entier

— Vous savez quelle est la plus grande tragédie du monde ? demanda Ginger sans lui accorder la moindre attention. Ce sont les gens qui ne découvrent jamais ce qu’ils veulent vraiment faire ni pour quoi ils sont doués. Tous les fils qui deviennent forgerons parce que leurs pères l’étaient déjà. Tous ceux qui pourraient devenir des flûtistes fantastiques mais qui vieillissent et meurent sans avoir jamais vu un seul instrument de musique, après avoir fait de mauvais laboureurs. Tous les gens doués qui ne découvrent jamais leurs talents. Peut-être qu’ils ne naissent jamais au bon moment pour les découvrir. »

Elle prit une profonde inspiration. « Ce sont tous les gens qui n’arrivent jamais à savoir de quoi ils sont réellement capables. Toutes les occasions gâchées. Eh ben, Olive-Oued, c’est mon occasion à moi, vous comprenez ? Faut que j’en profite ! »

Victor ne comprenait pas. « Oui », fit-il. De la magie pour le commun des mortels, avait dit Gauledouin. Un type tournait une manivelle, et votre vie changeait.

Afficher en entier

Boum.

L’explosion souffla les fenêtres, la porte et la majeure partie de la cheminée.

C’est le genre d’incident auquel on s’attend dans la rue des Alchimistes. Les voisins préfèrent les explosions à tout le reste ; au moins, les explosions, on arrive à les identifier et ça ne dure pas. C’est préférable aux odeurs qui rappliquent toujours en douce.

Afficher en entier

N’allez pas croire que les alchimistes détestaient leurs confrères. Les trois quarts du temps, ils ne les remarquaient même pas, ou ils les prenaient pour des morses. Aussi leur toute petite guilde méprisée n’avait-elle jamais aspiré au statut, disons, de celles des Voleurs, des Mendiants ou des Assassins, et se consacrait-elle plutôt à soutenir les veuves et les familles des collègues qui avaient traité un peu trop à la légère le cyanure de potassium, par exemple, ou distillé quelques champignons intéressants avant d’en boire le produit et de franchir le bord du toit pour jouer avec les fées.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode